Quatre-vingt personnes se sont donné rendez-vous à l’église de Saint-Etienne-de-Boulogne pour écouter la Squadra di Genova, ensemble polyphonique italien accueilli par l’association Labeaume en Musique, et la commune de Saint-Etienne-de-Boulogne. C’est la première fois que les « quartiers d’hiver » de Labeaume en Musique montaient leur scène au pied de l’Escrinet.
Les huit chanteurs de Gênes ont ravi le public avec une série de chants traditionnels des dockers de la cité Ligure. Leurs voix puissantes et amples ont empli les voûtes de l’église. Comme dans les bars de Gênes, ils chantent en cercle des chansons populaires mais surtout le « trallalero » très ancien chant, transmis de façon orale.
Chansons des champs, chansons des villes, éloges de Gènes ou odes à la mer, la Squadra a du tempérament avec des chants des bars à vin les « osterias » d’ouvriers, de marins et de dockers.
Les sapeurs forestiers au travail
Les sapeurs forestiers du Département viennent d’entreprendre le débroussaillement des réserves d’eau de défense de la forêt contre l’incendie présentes sur la commune et ses abords. A ce jour, il y a en a deux, à Poumarès et dans la montée de l’Escrinet. La cuve de 120 m3 située au col de l’Escrinet ne rentre pas juridiquement dans ce cadre, mais elle aurait la même fonction en cas d’incendie.
Jusqu’à présent, ces cuves étaient propriété de la communauté de communes de la Roche de Gourdon qui en assurait la gestion et qui a financé leur installation. Avec l’intégration de la commune à la communauté de communes du Pays d’Aubenas-Vals, elles vont être restituées à la commune qui en assurera la charge, excepté leur entretien courant relevant des sapeurs forestier.
L’intervention de ces derniers sur la cuve de Poumarès – Les Molières, située à la limite de Saint-Etienne et Saint-Michel, a permis de nettoyer une large zone afin de sécuriser l’accès à la cuve tant par le sol que par hélicoptère. Un gros travail réalisé par une équipe de cinq sapeurs forestiers équipée d’un tracteur-broyeur.
Dans les semaines à venir, c’est le chemin de Poumarès, fortement dégradé par les pluies de ce printemps, qui fera l’objet d’un reprofilage, et d’aménagements pour faciliter l’écoulement des eaux. Une intervention qui sera aussi prise en charge par les sapeurs forestiers. En effet, la commune a demandé et obtenu le classement du chemin au titre des pistes DFCI du Département.
La chasse en assemblée générale
L’Association Communale de Chasse Agréée de Saint-Etienne-de-Boulogne a tenu son assemblée générale vendredi 7 juin au soir. Une quinzaine de personnes étaient présentes.
L’occasion tout d’abord de dresser un bilan de la saison écoulée, qui est bon, en terme de sécurité (aucun accident ou incident recensé) et au niveau du tableau de chasse. Ainsi, une centaine de sangliers et 21 chevreuils ont été tués au cours de 124 battues organisées par les trois équipes de chasseurs. A cette occasion, 11 renards ont aussi été prélevés.
Un effort de chasse qui n’empêche pas les dégâts indemnisés par la Fédération des Chasseurs sur la commune de s’élever à près de 15 000 € sur la saison 2011-2012, soit un reste à charge pour l’ACCA de 718 €. Une charge financière lourde qui s’ajoute à la location des bois de l’Etat, pour plus de 2000 €, et qui contribue à fragiliser la situation financière de l’association, même si elle reste encore saine avec un excédent des années antérieures qui lui permet d’envisager l’avenir sereinement. L’organisation d’un repas a été évoquée afin de renflouer les caisses.
En terme d’avenir justement, il a aussi beaucoup été question de la saison prochaine, qui se présente sous les meilleurs hospices, avec plus d’une soixantaine de fusils membres de l’ACCA, dont seize membres extérieurs à la commune. Nouveauté de l’année, la réglementation impose de partager le territoire de chasse de l’ACCA en trois parties, une par équipe de battue, soit celle du Cabanon, celle d’Auzon, et celle de La Conchy. Afin de préparer la saison, il n’est pas prévu cette année de lâcher de lapins, et ceux de faisans seront réduit à 75 têtes contre une centaine les années précédentes.
Pour finir, l’accent a été mis sur la sécurité, avec la projection d’un film de sensibilisation sur les accidents de chasse réalisé à partir de témoignages de chasseurs impliqués dans un accident.
La distribution des cartes aura lieu le 28 juillet et le 1er septembre de 10 h à 12 h.
Le facteur ne passe toujours pas…
Affluence à Pramailhet
Jazz à l’auberge
Une cinquantaine de personnes a répondu à l’invitation de l’auberge l’Arbre à pain qui dans le cadre du week-end des Bistrots de Pays organisait un concert de jazz.
Le groupe Magnétic orchestra a fait swinger le public qui a apprécié à sa juste valeur la prestation de Benoit Thévenot au piano, Nicolas Serret à la batterie et François-Régis Gallix à la contrebasse.
Cet automne sera aussi marqué la participation de l’auberge l’Arbre à Pain aux castagnades du Parc Naturel Régional. A cette occasion, le “Menu castagnades” sera proposé aux clients.
Pour en savoir plus sur les castagnades :
http://castagnades.fr/autour-des-fetes-castagnades/menus-castagnades.html
Le Préfet en visite
La châtaigne, le trésor d’automne de l’Ardèche. C’est l’ensemble de la filière que Bernard Gonzalez, préfet, est venu découvrir dans le Sud-Ardèche. La première étape était une halte chez Pascale Augstein, castanéïcultrice à Saint-Étienne-de-Boulogne depuis treize ans.
Durant plus d’une heure, avec passion, elle a présenté son travail, les investissements réalisés, la réintroduction du marron Vincent, une variété ancienne et peu courante. Elle a aussi évoqué son désarroi face aux voleurs, parfois très bien organisés et qui viennent de nuit, et aux dégâts causés par les sangliers, qui sont de plus en plus importants. Elle a d’ailleurs été obligée de clôturer plusieurs parcelles avec des clôtures électriques pour tenter de limiter les dégâts.
Les membres du syndicat de défense de la châtaigne d’Ardèche sont également revenus sur les maladies (encre ou cynips) qui touchent les vergers et qui impactent les productions.
La filière se porte bien mais…
« Planter aujourd’hui, c’est créer une culture pour la génération suivante. C’est pourquoi, en parallèle, la Chambre d’Agriculture et le Parc Naturel Régional mènent une opération de reconquête de l’existant », explique Jean-Luc Flaugère, président de la Chambre. L’exploitante confirme : « C’est un investissement à très long terme ». « Seul un quart des arbres greffés arrivent en production », souligne de son côté Daniel Vernol, président du syndicat de défense de la châtaigne. Mais tous d’assurer : « La châtaigne est un fruit d’avenir ».
Après la découverte de la production de la châtaigne, la suite de la visite a porté sur le conditionnement et la transformation. Christophe Sabaton, président du comité interprofessionnel de la châtaigne d’Ardèche, rappelle que « la filière se porte bien », « que l’AOC a attiré du monde » mais que les problèmes d’approvisionnement vont apparaître à cause du cynips et des changements climatiques.
Ensuite, le préfet de l’Ardèche a découvert le calibrage et le conditionnement de la châtaigne. La coopérative Vivacoop, qui compte 300 adhérents, emploie huit salariés permanents et traite 1 800 tonnes de châtaignes par an, ce qui représente 75 % de son activité.
Durant une après-midi, le préfet a donc pris le pouls d’une filière importante pour le département et de la situation paradoxale dans laquelle elle se trouve.
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Les parents disent non à cette réforme des rythmes scolaires
Le Dauphiné Libéré – 16 novembre 2013
Plongée dans la grotte Chauvet
La grotte Chauvet et l’espace de restitution qui doit permettre prochainement au public d’en découvrir et d’en comprendre les merveilles étaient à l’ordre du jour à Saint-Etienne au travers d’une conférence qui a rassemblé une quarantaine de personnes à la salle polyvalente.
Organisée par la commune et le Syndicat Mixte de Restitution de l’Espace Chauvet, elle était animée par David Huguet, géologue au syndicat mixte et François Jacquart, conseiller régional et vice-président du syndicat mixte.
Après une présentation en vidéo de la grotte elle-même, l’essentiel de la présentation a porté sur le projet d’espace de restitution lui-même, sur les travaux en cours et sur le fonctionnement du site.
Parmi les questions posées, ont aussi été évoquées les problèmes de transports collectifs pour accéder à l’espace, le classement UNESCO au titre du patrimoine mondial, l’impact sur l’environnement d’un tel site aussi vaste, les questions de l’hébergement des visiteurs, ou encore celle de la restauration et de l’approvisionnement du site en produits locaux.
Une soirée très instructive autour de ce qui s’annonce déjà comme le plus important projet touristique, culturel et pédagogique jamais envisagé en Ardèche. Dès la fin de la conférence plusieurs participants ont d’ailleurs prévu de prendre part à la journée porte ouverte sur le site qui avait lieu le lendemain.
Lire et faire lire
Les enfants de l’école ont régulièrement rendez-vous avec Danièle Nouzareth et Marie-Thérèse Fetel, dans le cadre de l’action “Lire et faire lire” lancée par la Fédération des Oeuvres Laïques de l’Ardèche, à laquelle la commune a décidé de participer. Une action soutenue par la Caisse d’Allocations Familiales de l’Ardèche dans le cadre du contrat local d’accompagnement à la scolarité signé entre cette dernière et la commune.
Chaque vendredi, les deux lectrices bénévoles viennent à l’école pour faire découvrir les livres et pour raconter des histoires aux enfants. L’occasion pour les petits de découvrir de manière vivante le monde des livres et de la lecture, en complément des visites qu’ils rendent à la bibliothèque municipale.
La Communauté de communes de la Roche de Gourdon
Elle fédérait quatre communes : Ajoux, Gourdon, Saint-Etienne-de-Boulogne et Saint-Michel-de-Boulogne. Elle a été créée en 2003 et dissoute le 31 décembre 2014. Le siège social de la communauté de communes et le secrétariat étaient situés en Mairie d’Ajoux.
Elle agissait dans cinq domaines de compétences principaux en synergie avec les communes.
- le développement économique : aménagement de la zone d’activité économique communautaire de l’Escrinet, à Saint-Etienne, diagnostic agricole avec la Chambre d’agriculture, tourisme (équipement des sentiers de randonnée et édition d’un topo-guide, aménagement de l’aire paysagère de Sarrasset, etc).
- la protection de l’environnement : collecte et traitement des ordures ménagères, défense de la forêt contre l’incendie (réalisation d’un plan de défense, mise en place de réserves d’eau), service public d’assainissement non collectif, participation aux contrats de rivières, travail sur la maîtrise des circulations de véhicules motorisés de loisir dans les espaces naturels.
- la petite enfance : création et gestion de la crèche intercommunale et d’entreprise les Petits déboulonnés et du CLSH (centre de loisirs sans hébergement, 6 – 12 ans).
- le patrimoine : réalisation d’un inventaire du patrimoine.
- les équipements sportifs : participation à la construction de la piscine couverte du bassin d’Aubenas (doit ouvrir en 2014).
Frais de campagne
Il est encore des personnes qui imaginent que les frais liés à la campagne électorale municipale sont pris en charge par la commune. C’est faux.
Quant à l’Etat, il ne rembourse une partie des frais que dans les communes de plus de 1000 habitants.
Dans les communes de moins de 1000 habitants, tous les frais de campagne électorale sont à la charge des candidats… et le personnel de la commune ne prête aucunement main forte sous aucune forme à la campagne électorale (rédaction et mise en forme des documents, mise sous plis, etc).
Dans un souci de transparence, voici l’état des frais engagés par les candidats à l’occasion des élections municipales de mars 2014.
Liste “Saint-Etienne-de-Boulogne pour tous
DEPENSES : 595 €
tirage du bilan du mandat 2008-2014 : 298 €
tirage du tract couleur 6 pages : 190 €
tirage du tract noir et blanc et des bulletins : 25 €
enveloppes et expéditions postales : 28 €
apéritif élection : 54 €
RECETTES : 595 €
Contributions des candidats : 595 €
Les factures sont disponibles sur demande auprès du mandataire de la liste.
Des voeux pour 2015
La cérémonie des vœux communaux vient d’avoir lieu, en présence d’une centaine de personnes qui se sont déplacées pour l’occasion. Après un mot de bienvenue, le Maire et ses Adjoints sont revenus sur les diverses réalisations de l’année et sur les projets en cours au nombre desquels différents sujets intercommunaux comme la mise en place d’un service urbanisme, ou la vente de lots sur la zone d’activité. Les travaux et aménagements communaux ont aussi été évoqués, avec des travaux prévus en matière de logements conventionnés.
Puis une minute de silence a été observée à la mémoire des victimes des assassinats parisiens de ces derniers jours, le Maire soulignant pour conclure que la liberté de la presse a été touchée de la manière la plus ignoble et stupide qui soit. Il a ensuite rappelé que la montée des communautarismes, de la haine de l’autre qui caractérise nos sociétés, tournent le dos aux fondements de notre République. Mais la force de la démocratie est justement de dénoncer ces anathèmes et ce sectarisme, en traitant dans le même mouvement de refus catégorique l’antisémitisme, l’islamophobie, l’antichristianisme et l’antiathéisme, comme toute forme de xénophobie, d’exclusion et de racisme, qui ne sont pas de simples opinions mais des délits pénaux voir des crimes comme aujourd’hui.
Tout cela sans oublier que cette violence est le fruit de notre propre société et de ses contradictions, de ses maux, les assassins étant tout aussi français que nous, et ne venant pas de l’extérieur, mais de nos propres villes.
Des vœux dans un contexte lourd, mais qui n’a pas empêché les participants de poursuivre la soirée de manière conviviale autour du verre de l’amitié.
Lire le texte de l’allocution de la mairie
Un nouvel artisan sur Saint-Etienne
_ A l’heure où « la crise » est dans toutes les bouches, des jeunes se lancent encore à leur compte. Ainsi, David Véron, de La Conchy, après presque 10 ans de travail salarié, vient de s’installer comme ferronnier, métallier et serrurier.
Vaste programme pour un jeune qui a déjà de l’expérience et du métier acquis chez ses précédents employeurs. La volonté de gérer son temps, ses activités, tout en entreprenant un projet professionnel personnel ont fini de le décider.
Au programme maintenant, constructions métalliques, portails, grilles, rampes, escaliers, tonnelles et pergola, mais aussi tous les usages de l’acier dans la maison et en extérieur.
Une activité qui démarre déjà sous les meilleurs hospices avec un carnet de commande entrain de se remplir, qui laisse bien augurer de la suite.
Contact : David Véron, Les Granges, 07200 Saint-Privat, 06 74 15 92 65, david.veron@gmail.com
Les budgets communaux approuvés
Le conseil municipal qui vient d’avoir lieu a approuvé les bilans comptables de l’année 2014 et les budgets 2015.
L’année 2014 se termine avec un excédent consolidé de 79 900€ en fonctionnement sur le budget général et de 12051 € sur le budget de l’eau. Ces deux excédents de fonctionnement constituent la base des budgets d’investissement pour l’année 2015.
Les budgets 2015 s’élèvent à 253 851 € en fonctionnement et 449 950 € en investissement pour le budget général et 44 727 € en fonctionnement et 116 993 € d’investissement sur le budget de l’eau.
Ces budgets 2015 sont marqués par la baisse des recettes, conséquence de la politique d’austérité décidée par l’Etat. Parallèlement à cette baisse des recettes, l’Etat impose des dépenses supplémentaires (rythmes scolaires, urbanisme, etc), de sorte que la situation financière des collectivités se dégrade. Cela impose des économies de fonctionnement qui ne pourront se prolonger sans porter atteinte au bon fonctionnement des services publics locaux.
La principale dépense inscrite au budget 2015 est l’aménagement des logements locatifs d’Auzon, dont les travaux seront engagés pour 210 000 € ht dès le choix des entreprises arrêté. Le budget intègre aussi pour 15 000 € des travaux à la salle polyvalente (aménagement d’un auvent-préau devant le salle, des travaux de voirie pour 18 000 €, et encore l’achèvement de plusieurs opérations engagées en 2014 et non encore terminées : sentier de découverte géologique, amélioration de l’éclairage public, mise en conformité de captage de sources et renouvellement de conduites d’eau.
Afin de faire face aux baisses de dotations importantes imposées par l’Etat, le conseil décide à l’unanimité d’une augmentation des taux de la fiscalité locale de 1 %, soit une recette de 1000 € répartie entre l’ensemble des contribuables locaux.
De même, étant donné les travaux nécessaires sur les captages d’eau, le tarif de l’eau, qui n’avait pas évolué depuis 2009, augmente. L’abonnement est fixé à 65 € (contre 60 € auparavant) et le m3 passe de 1,60 € à 1,65 €. Cela représente une augmentation effective de 11 € par an pour un abonné qui consomme en moyenne 120 m3 par an.
Viva plantes s’installe à Saint-Etienne-de-Boulogne
L’entreprise Viva-plantes confirme son installation sur la zone d’activité de l’Escrinet.
L’Avenir Agricole de l’Ardèche nous fait découvrir cette entreprise qui sera prochainement sur la commune.
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Sur les chemins ruraux
_ Les fortes pluies de ces dernières semaines ont dégradé les chemins ruraux de la commune mais les deux épisodes cévenols enregistrés ces dernières semaines ont été particulièrement violents, surtout le second. 95 mm de pluie ont été relevés en 1 h à la station météo du col de l’Escrinet, soit le record des précipitations connues pour chez nous en aussi peu de temps.
Les travaux de rénovation des chemins ont commencé immédiatement.
Un entretien non obligatoire pour les communes
A ce titre, la mairie rappelle que l’entretien des chemins ruraux n’est nullement une obligation pour les communes et que la Loi ne prévoit pas de travaux impératifs en la matière. Le Code Général des Collectivités Territoriales stipule même que cet entretien des chemins ruraux bien que de propriété communale, puisse être laissé à la charge des riverains, soit sous forme de contributions spéciale, soit sous forme de corvées.
Ce n’est pas le choix qui a été fait et cela représente une charge financière non négligeable pour un service rendu à un nombre d’habitants usager de ces chemins limité. Il suffit d’observer l’état des chemins ruraux sur plusieurs des communes du secteur pour constater que d’ores et déjà nombre d’entre elles ont renoncé à les entretenir, ce qui n’est pas le cas chez nous.
Une charge conséquente
Toutefois il n’est pas possible de dépasser un certain niveau d’intervention, ni en terme de volume de travaux ni de rapidité d’intervention. Afin de mieux maîtriser le coût de ces interventions sur les chemins de terre et de poursuivre le travail engagé, la commune s’est d’ailleurs directement dotée d’une pelle mécanique permettant d’assurer l’entretien à un moindre coût.
Cela fait maintenant deux semaines que le travail est engagé, en intervenant d’abord sur les chemins les plus abimés et coupés à la circulation, ou sur les plus fréquentés, avant de terminer par les moins utilisés.
Spectacle chez l’habitant
Un spectacle musical avait lieu chez l’habitant au hameau du Taupenas. Au programme pour la quarantaine de spectateurs, une soirée musicale offerte par le groupe “Les Autres”.
Un trio associant des compétences variées au service de la musique, tour à tour folk, jazzy, classique, ou du monde. Ce trio aux multiples facettes met en scène trois générations, trois univers musicaux, trois personnalités très différentes.
Tout d’abord, il y a Mireille, multi instrumentiste, qui apporte des notes classiques mais aussi traditionnelles en passant par des arrangements plus personnels à l’aide de son violon, de son alto, de son basson, de sa mandoline, de sa cornemuse ou encore de sa sanza.
Ensuite, il y a Michel, lui aussi multi instrumentiste, mais aussi compositeur de beaucoup des chansons du groupe. Avec sa guitare, dont il s’accompagne, il délivre ses chansons où se mêlent humour et émotions. Plaçant par ci par là de la flûte, des percussions, il s’adonne même à l’art difficile des cuillères.
Enfin, Eléonore envoûte avec sa voix, aux accents tantôt lyriques, tantôt ibériques. Parfois douce et fragile, parfois forte. C’est une chanteuse toujours dans l’envie de nous emmener avec elle, le temps d’une parenthèse musicale et féerique.
Une belle initiative qui participe à la diffusion culturelle en milieu rural et à l’animation de la commune.
Les tontons fligueurs – bande annonce
Rosette Ozil expose tout le mois de mai
_ La mairie accueille Rosette Ozil, artiste pétillante de St Jean le Centenier, pendant un mois pour une expo de tableaux figuratifs.
Rosette s’est mise à la peinture en 2009, une sorte de défi que lui ont lancé ses filles par la question « Que vas-tu faire à la retraite ? ». Elle franchit le pas, pourquoi pas la peinture !
Après un premier stage auprès de Claire Genton, sa technique évolue auprès de Ghani Ghouar. Et elle enchaine les tableaux, encouragée par son mari.
De couchers de soleil en paysages, en passant par les fleurs et l’ambiance orientale, elle ravira les amateurs de couleurs.