Les contrôles des assainissements débutent

La loi sur l’eau de 1992 prévoit que tous les assainissements autonomes doivent répondre à des normes techniques précises et atteindre un bon niveau de fonctionnement pour limiter les pollutions et les gênes de voisinage. La réglementation prévoit qu’un contrôle des assainissements doit être assuré tous les huit ans.

Les services publics d’assainissement non collectifs ont été institués par la loi pour effectuer ces contrôles. La commune de Saint-Etienne-de-Boulogne dépend de celui de la communauté de communes du Pays d’Aubenas-Vals.

Ils vont maintenant avoir lieu dans les semaines à venir, et une réunion d’information s’est tenue à la salle polyvalente pour faire le point sur le sujet.

reunion_spanc-jpg
David Oconte et Franck Brechon expliquent les contrôles qui seront faits prochainement.

Voici les principales questions qui ont été posées.

Pourquoi maintenant ?

Devant les changements intercommunaux de ces dernières années, et afin de ne pas commencer le travail sans pouvoir le finir avec la communauté de communes de la Roche de Gourdon, le choix a été fait de repousser les contrôles autant que faire se peut.
Ce choix nous a permis aussi de ne pas “essuyer les plâtres” de la mise en place des SPANC. Mais il n’est plus possible de reculer.

Les contrôles se font par secteurs cohérents, commune après commune. Celles de Juvinas et Labastide-sur-Besorgues viennent d’être contrôlées. C’est maintenant au tour de Saint-Etienne et Saint-Michel.

Qui est concerné ?

Les secteurs de la commune dont l’assainissement relève de la filière dite collective ne sont pas concernés : le SPANC ne s’intéresse qu’aux assainissements autonomes. Ces secteurs collectifs dont les effluents sont collectés et traités par la commune ont été définis dans les années 1980 lorsque des réseaux de collecte ont été installés.

Ne sont pas non plus concernés les assainissements qui ont été contrôlés au coup par coup par le SPANC ces dernières années, qu’il s’agisse d’assainissements neufs ou de contrôles réalisés dans le cadre d’une vente.

Les contrôles seront réalisés par secteur afin d’optimiser les déplacements de l’agent de contrôle.

En quoi consistent ces contrôles ?

David Oconte, agent du SPANC, prendra rendez-vous avec tous les propriétaires d’assainissements autonomes afin de visiter les installations et de vérifier leur bon fonctionnement et leur conformité technique.

Et ensuite ?

Si l’assainissement est conforme, le prochain contrôle sera réalisé dans huit ans. Mais ne nous le cachons pas, la grande majorité des assainissements ne sera pas conforme : trop anciens, mal conçus, mal entretenus… Les raisons d’une non conformité sont multiples.

En cas de non conformité, le propriétaire a normalement quatre ans pour faire les travaux de remise aux normes.

Néanmoins, ce délai fixé par la réglementation est à moduler en fonction de la non conformité constatée : mineure les travaux peuvent attendre, majeure et générant une pollution ou un gêne de voisinage ou un problème hygiène public, ils devront être réalisés sans délais.

Combien cela coûte-t-il ?

Le montant des travaux est bien entendu variable en fonction de ce qui est à réaliser. Mais l’Agence de l’Eau peut apporter sous certaines conditions une subvention forfaitaire pour les effectuer.

En outre, David Oconte, du SPANC, est là pour vous apporter des conseils pour ces travaux. Cela fait partie de sa mission et est inclu dans le prix du contrôle, qui lui, est facturé 150 €.

Et pour l’assainissement collectif ?

Le SPANC ne passera pas, mais la commune engage parallèlement les démarches de remise aux normes de ses différents assainissement collectifs (une partie du Village, une partie d’Auzon, zone d’activité, une partie d’Auriolles et Le Pradal). Un bureau d’étude va prochainement être missionné pour cela.

Pour des raisons techniques et financières, il n’est cependant pas envisageable de les étendre à toute la commune et les maisons aujourd’hui en assainissement autonome le resteront.

De plus, beaucoup imaginent que l’assainissement collectif est gratuit pour la maison qui y est branchée et que la collectivité prend en charge le coût des réseaux et du traitement : c’est faux. Une taxe est perçue sur chaque mètre cube d’eau vendue à une maison en assainissement collectif, de sorte que les frais d’assainissement reposent uniquement sur les personnes en assainissement collectif : elles ne payent pas leur installation, pas le SPANC, mais payent leur assainissement sur chaque facture d’eau. Cette taxe n’est pas encore mise en place à Saint-Etienne, les systèmes collectifs anciens n’étant pas adaptés. Elle le sera après leur remise à niveau.

partager-sur-facebook.

Les voisins de La Conchy se retrouvent

fete_des_voisins_la_conchy-jpgLes habitants de La Conchy se sont retrouvés comme chaque année depuis trois ou quatre ans devant la maison de Mimi Vieu pour passer une soirée conviviale ensemble.

L’occasion de se retrouver et d’intégrer les nouveaux arrivants, Sébastien Anzio et Amandine Durand, ainsi que la famille Fayolle.

Une soirée qui s’est prolongée fort tard dans une très bonne ambiance.

partager-sur-facebook

L’Amicle Laïque en assemblée générale

Le début de l’année scolaire marque aussi la reprise des activités de l’Amicale Laïque intercommunale Graine d’école, qui vient de tenir son assemblée générale.

La réunion a été l’occasion de renouveler le bureau, avec Amélie Mazeyrat-Coulomb, Présidente, Vanessa Nicod, vice présidente, Florence Vandewattyne, trésorière, Geneviève Vidal, trésorière adjointe, Alice Vanderplaetsen, secrétaire, Fleur Gamory, secrétaire adjointe.

Le bilan de l’année écoulée a ensuite été dressé et fait apparaître 4257 € de recettes pour 3779 € de dépenses destinées à financer des activités pour les enfants (sorties, voyages, rencontres, spectacles…).

A cette occasion, le programme des manifestations à venir a aussi été arrêté, avec le loto, le 29 novembre, le spectacle de fin Noël, le carnaval en mars, la fête du pain et des plantes les 14 et 15 mai, et bien entendu la fête de l’école juste avant les grandes vacances.

Un programme bien rempli qui saura attirer les habitants en toute convivialité.

partager-sur-facebook

L’entrée du chemin de Combe Chaude refaite

L’entrée du chemin rural de Combe-Chaude, sur la RD356 non loin du Pont des Gouzis était problématique avec un fossé à franchir. Chaque pluie importante creusait un peu plus le passage au point qu’il était devenu difficile à passer pour un véhicule normal.

Le fossé a été busé sur 6 mètres de sorte que le passage se fait maintenant sans difficulté ni chaos. Une opération réalisée par Robert Weber, cantonnier de la commune. Reste maintenant à ce que le terrain se tasse lorsque le remblai aura séché.
wp_20160106_001-jpg

partager-sur-facebook

Logements d’Auzon : les travaux avancent

La commune a engagé les travaux de rénovation des ruines qu’elle a acheté à Auzon suite à une procédure de bien en état d’abandon.

Ces travaux importants consistent à aménager deux logements de type t2 et t3. Ils ont été conventionnés avec l’Etat au titre du logement social, comme les logements situés au dessus de la mairie et dans le presbytère.

Les travaux d’un montant global de 180 000 € ht sont financés par la commune, le Département de l’Ardèche, la Région Auvergne Rhône-Alpes et la communauté de communes du Pays d’Aubenas-Vals. Ils bénéficient d’un soutien financier de l’Etat au travers d’un prêt à taux réduit accordé par la Caisse des Dépôts et Consignations.

Le chantier est prévu pour se terminer en octobre-novembre. Ces deux logements seront à haute performance énergétique, avec une isolation renforcée et un chauffage au granulés de bois. Des panneaux solaires seront aussi posés en toiture. C’est d’ailleurs grâce au conventionnement avec l’Etat et aux choix de performance énergétique que les autres financeurs ont décidé d’apporter une subvention au projet.

Au final, cette opération permettra à la commune de résorber les ruines présentes dans le hameau, d’augmenter l’offre de logement locatif sur Saint-Etienne, et de trouver une petite source de financement grâce à l’excédent financier dégagé par la location des appartements. En effet, les loyers seront chaque année excédentaires par rapport à l’amortissement de l’investissement réalisé.

Après l’achèvement des travaux sur les immeubles, la place publique qui est devant sera à son tour aménagée en espace convivial (jeu de boule, espace enfants…).
auzon-jpg

partager-sur-facebook

L’Arbre à pain à l’heure américaine

Vendredi 20 mai au soir, Franck Mac Halon a animé l’auberge l’Arbre à pain avec un concert dédié au folk américain des années 60-70. Joan Baez, Bob Dylan, Pete Seeger et bien d’autres ont été au programme de cette soirée des plus agréable organisée dans le cadre de Mon Pays Ma fête.
getv3-aspx-5-jpg

[partager-sur-facebook->http://www.facebook.com/sharer.php?u=http://www.saint-etienne-de-boulogne.fr/spip.php?article565

La gym en randonnée dans le Queyras

L’association de Gymnastique La Boulognette a terminé son programme annuel par trois jours de randonnée dans le Queyras les 8 9 et 10 juillet.

L’occasion de découvrir de nouveaux paysages remarquables dans une ambiance conviviale et détendue mais néanmoins sportive, ainsi qu’en témoignent les dénivelés franchis.

L’occasion aussi de laisser libre court çà la discussion pour l’établissement du programme des activités de l’année prochaine avant la trêve estivale.
13667880_10209532445896841_1175271540923110677_o-jpg
_ partager-sur-facebook

Un 11 novembre pour la Paix

La cérémonie de commémoration de l’Armistice du 11 novembre a eu lieu à Saint-Etienne-de-Boulogne. L’occasion pour le Maire de rappeler à l’assistance le carnage insensé qu’ont été les guerres du XXè siècle et qu’elles n’ont en rien préludé à la paix, que seule la construction européenne a su préserver sur notre continent.

Une trentaine de personnes assistaient à la commémoration avant de prendre part à la projection du film de Frédéric Rossif Mourir à Madrid. Ce documentaire sur le Guerre d’Espagne, qui éclatait il y a 80 ans en prélude à la Seconde Guerre Mondiale, a rappelé le poids des forces nationalistes et réactionnaires dans le déclenchement de la guerre civile, en refusant le verdict démocratique des urnes qui portait la République au pouvoir en Espagne.

15055736_10206804950073337_9177549116818443000_n-jpg14976215_10211095883583540_1818786781_o-jpg

partager-sur-facebook

Allocution du Maire

Mesdames, Messieurs,

Nous sommes réunis ici en ce 11 novembre 2016 pour commémorer le retour temporaire de la paix en Europe à l’issue du Premier conflit Mondial.
Rappelons seulement qu’entre 1796 et 1815, ce sont les armées napoléoniennes qui déferlèrent sur l’Europe, alors que la France tentait d’asservir les états et les peuples voisins jusqu’en Russie, dans un projet impérial fou. Puis ce furent les guerres coloniales, en Afrique, en Asie, puis la Guerre de 1870. Il suffit de se souvenir qu’en 200 ans la France a quasiment été en guerre à un moment ou un autre contre tous les pays d’Europe.
Cette longue litanie couvre le XIXè siècle et culmine entre 1914 et 1918 dans un conflit d’une ampleur et d’une intensité jusqu’alors inégalées : la détermination à vaincre et les progrès techniques macabres, comme les enjeux de domination, débouchaient sur la Premier Guerre Mondial.

Que dire ? Qu’en dire ? Une sinistre et froide comptabilité rend déjà compte de toute son horreur, à l’énumération des 19 millions de morts civils et militaires, des 21 millions de blessés et des 12 millions de déplacés et exilés en Europe. N’oublions pas que chaque guerre de destruction massive entraine des exils d’hommes et de femmes qui veulent juste sauver leur vie et la vie des leurs, trouver un toit. Nos grands-parents fuyant les conflits en 14-18 comme entre 1936 et 1945 ont été accueillis, hébergés, aidés.

Préparés psychologiquement et culturellement au conflit, les poilus les tommies comme les feldgrau ont tenus des mois et des années durant, dans l’enfer, sans faillir, avec courage, détermination jusqu’à l’abnégation ultime. Les noms de ceux qui ne sont pas revenus figurent ici dans la pierre, auxquels il faut associer ceux qui sont revenus et dont la mémoire a été oubliée. Plus chanceux, ils n’ont pas démérité pour autant et sont restés marqués dans leurs chères et leur esprit à tout jamais eux-aussi.
Ces terribles années 1914-1918 doivent nous hanter, non par gout du morbide, non par simple commémoration nationale, mais pour nous interroger dans nos positions de citoyen, dans nos positions d’homme. Simplement.

Qui peut encore aujourd’hui trouver un sens et une gloire à un tel élan nihiliste ? Qui peut encore considérer nos voisins Allemand tels qu’ils étaient considérés en ce début de XXè siècle ?
C’est justement faute d’avoir accompli ce travail que la Paix retrouvée en ce 11 novembre 1918 ne fut qu’un leurre et que la mémoire fut confisquée à tous ceux qui crièrent alors « Plus jamais ça, c’était la der des der » !

La Guerre comme la Paix ne sont pas les fruits du hasard, ne sont pas les fruits de prédispositions des peuples à l’un ou l’autre. C’est le fruit de choix politiques, de choix économiques, diplomatiques, de choix éducatifs et philosophiques qui font qu’une société s’oriente vers la concorde et la paix, ou vers la guerre. C’est le fruit d’une volonté sans faille et d’un engagement sans relâche de la part des dirigeants du monde pour montrer par les faits que la Paix est possible.

L’Europe avait-elle compris cela en 1918 ? Pas le moins du monde. Au contraire, toute à l’arrogance des vainqueurs et à l’humiliation des vaincus moins de vingt ans après, il y a 80a sn cette année, la guerre d’Espagne éclatait. Cette répétition générale de la seconde guerre mondiale qui allait voir s’affronter les forces républicaines et fascistes sonnait comme la fin d’une courte période de répit, premier révélateur atroce de la montée des totalitarismes.

Faute d’avoir voulu, ou su, fonder le respect et la concorde entre les peuples, l’Europe sombrait à nouveau dans la guerre et le totalitarisme, insulte à la mémoire de ceux que nous honorons aujourd’hui.
Cette Europe, qui fut le continent le plus marqué par les guerres modernes, qui en fut le berceau et qui peut en revendiquer la sinistre paternité est aussi l’exemple que rien n’est inéluctable à condition que les hommes le veuillent et en fassent leur volonté supérieure.

À l’issue de ces décennies d’horreur, une génération qui a connu les deux guerres mondiales, qui y a participé, souffert, y a été blessée, emprisonnée, s’est levée pour mettre en place les cadres de coopération entre les peuples. Unissant leurs efforts pour transcender nos différences à l’échelle du continent, la réconciliation européenne a été leur but ultime dont rien ne les a fait dévier.

Ils nous ont légué une construction politique, l’Union européenne. Certains voudraient n’y voire qu’une technostructure, ou un espace économique de libre échange, critiquent tel ou tel aspect de son fonctionnement, promettant d’en sortir pour restaurer une prétendue souveraineté populaire nationale. Comme si le retour à la discorde des nations, aux frontières, aux exclusions, au repli sur soi pouvait être une voie d’avenir pour l’humanité. Jouant dangereusement d’une nostalgie nauséabonde et sans fondement, ceux-là mettent en péril la Paix en Europe et au final oublient le sacrifice de nos pères et grands-pères, tout en s’en réclamant pourtant.

Plus que jamais depuis des décennies, nous sommes confrontés aux défis de la Paix. Face à l’obscurantisme religieux, face à la misère humaine, à la désolation, à l’inconséquence de nos propres actions, ce n’est pas en jouant des sentiments xénophobes les plus bas, en jouant à exciter la haine de l’autre comme fonds de commerce politique, que la paix sera acquise.
S’il devait n’y avoir qu’une seule leçon à retenir de la Première Guerre Mondiale et de l’engagement de nos Poilus, c’est bien que la guerre ne construit pas la Paix.

Parfois passage hélas obligé pour faire cesser les hostilités, pour mettre un terme provisoire à la folie immédiate des hommes, elle n’est toutefois jamais la solution pour assurer une concorde durable entre les peuples et au sein des peuples eux-mêmes.

C’est à cette idée – que maudite soit la guerre et ceux qui l’ordonnent – que nous dédions la minute de silence que je vous demande d’observer en la mémoire de toutes les victimes de guerre.

Bibliothèque : la mairie remercie les bénévoles

La bibliothèque municipale de Saint-Etienne-de-Boulogne fonctionne avec des bénévoles qui assurent les permanences d’ouverture au public, la gestion des fonds d’ouvrages ou encore les relations avec la BDP de l’Ardèche lors du passage des bibliobus et des navettes. Un travail conséquent pour la dizaine de personnes regroupée sous la houlette de Jocelyne Pélissier, responsable du service.

La municipalité a souhaité comme chaque année les remercier en les conviant à partager le 1er février un gâteau et une bolée de cidre à la Mairie. En effet, sans elles, le service n’existerait probablement pas ou serait réduit à sa plus simple expression.

Le meilleur des retours que les habitants puissent faire est bien entendu de s’abonner à la bibliothèque. Elle les attend le mercredi de 16 h à 18 h et le samedi de 10 h 30 à 12 h 30 pour la modique somme de 5 € par famille.

partager-sur-facebook
img_9865-jpg

Sentier de l’Escrinet : le livret de découverte géologique arrive

La commune de Saint-Etienne-de-Boulogne et l’association Clapas ont aménagé un sentier de découverte géologique autour du col de l’Escrinet. Les livrets pédagogiques et de visite viennent de sortir de l’imprimerie le 17 mai.

Ce sentier permet d’aller au travers de paysages remarquables à la découverte des ères géologiques, de l’histoire des roches et des paysages. Long d’une dizaine de kilomètres, il se parcourt en quatre heures environs pour une difficulté moyenne.
Le sentier est jalonné de cinq grands panneaux explicatifs et le livret nouvellement édité permet de compléter les informations sur le tracé comme sur la géologie.

Ce dernier a été écrit par Maryse Aymes, de l’association Clapas, et illustré par Alain Brechbuhl. Sur une trentaine de pages très abordables et toutes en couleurs, il explique la mise en place du relief, de la mer initiale qui recouvrait la région, jusqu’aux montagnes actuelles. Il fait aussi un détour par la flore et par l’architecture, toujours en lien avec les sols et les roches.

Un outil pédagogique nouveau pour les amateurs d’espaces naturels, de sciences de la terre, ou tout simplement pour les curieux et les marcheurs.

Un projet qui prend place dans le cadre du “Géoparc des Monts d’Ardèche”, label accordé par l’UNESCO au Parc Naturel Régional des Monts d’Ardèche.

À découvrir dès les premiers beaux jours. Livret en vente en librairie à la Mairie de Saint-Etienne-de-Boulogne, au Parc Naturel Régional, dans les Offices de Tourisme d’Aubenas et de Privas, ainsi bien entendu que dans toutes les bonnes librairies au prix de 7 €.
getv3-aspx-30-jpg

partager-sur-facebook

Chaufferie de la mairie : les travaux se terminent

Alors que l’hiver tarde encore à venir, les travaux d’aménagement de la chaufferie à bois de la mairie se termineront sous peu. La première livraison de granulés de bois a eu lieu le 24 octobre. 6 tonnes de combustible ont été approvisionnées par une entreprise locale. De quoi faire plus d’un hiver de chauffage à la Mairie, à l’École et à la Bibliothèque.
Ce projet d’installation d’une chaufferie automatique valorisant la biomasse, en gestation depuis plusieurs mois, a vu le jour avec le soutien de l’État dans le cadre des territoires à Énergie Positive pour le Croissance Verte, du Département de l’Ardèche et de la Région Auvergne-Rhône-Alpes.
Tout en contribuant à réduire le recours aux énergies fossiles, il permettra de faire sensiblement baisser la facture d’électricité et améliorera le confort des bâtiments.

partager-sur-facebook
getv3-aspx-34-jpg

Spectacle Café frappé ! par les Mobilettes

lors-du-spectacle
Beau spectacle présenté vendredi soir à une 30aine de personnes venues voir la compagnie ‘les Mobilettes’ à l’auberge l’Arbre à pain. Au rythme des airs des années 50, les 3 jeunes femmes alternent séduction, danses et entraînent les spectateurs dans leur chorégraphie qui déménage et met en mouvement tables, couverts et bouteilles. Un spectacle qui a été bien apprécié autant que le buffet.

Bal folk-scène ouverte chez “Yod Kistin”.

artisous-et-seb-jpg
C’est avec beaucoup de plaisir que YOD KISTIN a accueilli le 9 décembre 2012 de nombreux musiciens en scène ouverte en ce dimanche après-midi :

  • FERNAND et ses valses à l’accordéon,
  • IRISH COM CRESUS sur des musiques irlandaises,
  • LES ARTISOUS dans un répertoire traditionnel
  • YOD KISTIN sur des thèmes bretonnants.

Les nombreux danseurs ont été comblés par la diversité des danses et ont souhaité se retrouver rapidement pour renouveler ces rencontres conviviales.

Portes ouvertes au SIDOMSA

Pour savoir ce que deviennent nos poubelles…

L’occasion de poser toutes les questions que vous avez en tête sur le traitement des ordures ménagères, le tri sélectif, le recyclage et bien d’autres sujets encore.
affiche_portes_ouvertes_2013-jpg

partager-sur-facebook

Auriolles en fête

fete_voisins-jpg
Les habitants du hameau d’Auriolles étaient réunis pour la fête des voisins de leur quartier, organisée à l’initiative de Michèle et Claudine Dubois.

Malgré le temps maussade qui leur a imposé de se replier chez Jérémy Robert et Christine Scaillerez, la pluspart des Auriollais ont répondu présent.

Une soirée conviviale qui s’est prolongée tard, jusqu’à ce que Renée Bourdel pousse la chansonnette.

L’amitié a finalement réchauffé l’atmosphère pour le plus grand plaisir de tous.

partager-sur-facebook

Au chevet du pont de Chatunat

photo1646_96_dpi-jpg
Le pont de Chatunat, entre La Conchy et La Farge, est un bel ouvrage, sans doute du XVIIIè siècle. A ce jour, il est en mauvais état et demande des travaux de maçonnerie importants, chiffrés à plus de 30000 € s’ils devaient être réalisés par une entreprise. Ces travaux consistent en un rejointoiement complet de l’ouvrage et une reconstruction des parapets à bonnets, très dégradés.

Lors de sa séance de février, le conseil municipal a décidé que les travaux seraient réalisés par les Ateliers de AIME, dans le cadre d’un chantier d’insertion (comme le mur du cimetière ou encore le dortoir de l’école), mais cette structure a arrêté ses activités fin mai. Il est donc nécessaire de trouver une autre solution pour ces travaux.

Faute d’intervenant dans le champ de l’insertion, la commune s’oriente donc dans une autre direction : celle des chantiers école. A ce titre, contact a été pris avec le lycée professionnel Léon Pavin, à Chomérac. Monsieur Hiroux, professeur de maçonnerie et Monsieur le Proviseur du lycée se sont donc déplacés pour voir l’ouvrage, et juger de l’intérêt pédagogique du chantier mais aussi de sa faisabilité.

Ils ont été séduits par ce pont et considèrent d’ores et déjà qu’il sera un bon support de stage, pour les BEP et des bac pro maçonnerie. Reste maintenant à finaliser le cadre de leur intervention qui pourrait se faire durant l’année 2013-2014 avec un groupe d’une quinzaine de lycéens.

La Fondation du Patrimoine intéressée.

Dans le même temps, la Fondation du Patrimoine a été contactée par la commune. Monsieur Franck de Pierrefeu, délégué départemental, est lui aussi venu visiter l’ouvrage, avant de conclure qu’une intervention de la Fondation est envisageable, au travers d’une souscription permettant de défiscaliser les dons effectués.

Tout cela reste à finaliser après avis des services de Monsieur l’Architecte des Bâtiments de France.

partager-sur-facebook

Quoi de neuf sur les gaz de schiste ?

La commune s’est engagée contre l’exploitation des gaz de schiste, comme la quasi totalité des communes Ardéchoises. A ce titre, elle est membre du Collectif Stop au gaz de Schiste 07. Un arrêté municipal a été pris interdisant les forages par fracturation hydraulique sur la commune, qui a été déféré au tribunal administratif par le pétrolier Schueppbach en 2011.

Depuis quelques temps, des informations contradictoires circulent, laissant penser soit que tout est fini, soit que la porte va être réouverte aux pétroliers. Un long article publié dans La Tribune fait le point sur ce sujet, et montre que rien n’est réellement terminé, bien au contraire. Pire même, la loi interdisant la fracturation hydraulique pourrait être remise en cause. Voici cet article.

partager-sur-facebook

La Tribune 4 juillet 2013

Cliquez sur l’image pour agrandir l’articledoc04621020130704134009_001-jpg

Le Préau : les travaux débutent

photo1959-jpg

Les travaux d’aménagement du bureau du Préau viennent de débuter dans la cour de la bibliothèque et vont durer deux mois. Au programme des travaux, la transformation du Préau de la cour en bureaux qui seront loués à l’association coopérative Le Préau pour y créer un espace de travail partagé.

Cinq entrepreneurs y partageront un bureau où ils mutualiseront les frais fixes liés à leur activité et un certain nombre de services communs (informatique, reprographie par exemple).

Ces bureaux, dont les travaux estimés à 85 370 €, sont subventionnés à 80 % par l’Union Européenne, l’Etat, la Région, le Département et la Communauté de communes de la Roche de Gourdon, ne coûteront rien à la commune, le loyer mensuel demandé couvrant le reste à charge local. Un lourd travail de recherche de subvention qui a été accompagné par Nicolas Dupuy, chargé de mission au Pays de l’Ardèche Méridionale, dont l’implication a permis d’obtenir le taux maximum légal d’aide.

partager-sur-facebook

Quelques questions à Cédric Guénard, Président de l’association Le Préau :

– Pouvez vous définir le projet du Préau ?

« Le Préau » est né de la rencontre de plusieurs travailleurs indépendants de Saint Etienne de Boulogne, déjà installés, ou en cours d’installation. Souhaitant sortir de l’isolement lié à leurs conditions de travail, nous avons réfléchi à une alternative possible au travail à domicile qui permette également une mutualisation d’un certain nombre de moyens matériels. Notre ambition est aussi de favoriser la rencontre et l’échange entre différents professionnels, de faire émerger de nouveaux projets.
Au travers de ce projet, il s’agit de proposer un lieu de travail partagé, de rencontre et d’échange, ainsi qu’un lieu tiers entre le domicile et le travail.

– Qui participe au projet ?

A ce jour, « Le Préau » associe cinq porteurs de projets :

– « RéZonance », qui travaille pour les médias participatifs et souhaite construire une société de l’information de proximité, privilégiant les rencontres, le contact et les échanges interculturels, en favorisant l’engagement de la population et la participation démocratique au niveau local et régional.

– « Izinoui » a été créé en 2001. Société spécialisée dans la conception et la réalisation de sites internet à finalité culturelle (spectacle vivant, cinéma, etc) ainsi que la conception de visuels et de mise en page pour l’imprimerie.

– « Alice M » a pour mission de conseiller les administrations, les professionnels et principalement les particuliers en architecture intérieure et décoration. Elle a été créée par Alice Malinowski, architecte d’intérieur, diplômée CESAI et reconnue compétente par le CFAI (conseil français des architectes d’intérieur).

– « Laura Colombe » fait du montage de cinéma et travaille en télétravail comme assistante monteuse pour des longs-métrages, des documentaires et des téléfilms, le plus souvent.

– « Ségolène Lardot », intervenante en médiation artistique, propose des ateliers d’expression artistique, véritable outil de prévention de l’exclusion et d’intégration pour des personnes en souffrance et/ou en difficultés sociales.

Outre ces personnes présentes de manière fixe sur les lieux, l’espace de travail disposera de deux postes équipés pouvant être ouverts à la demande à des télétravailleurs extérieurs pour une durée allant d’une journée à minima, jusqu’à six mois. Au-delà, les télétravailleurs deviennent occupants permanents des lieux s’ils le souhaitent.

Dans tous les cas, nous sommes des actifs déjà installés ou en cours d’installation à Saint-Etienne-de-Boulogne et nous souhaitions pouvoir y pérenniser nos activités dans de bonnes conditions.

– Comment va fonctionner Le Préau ?

Les porteurs de projet se sont structurés en association afin d’assurer le fonctionnement de l’espace de co-working. C’est au travers de cette association que le bureau sera géré, ainsi que tous les services proposés aux travailleurs intégrant la structure.

L’association sera le seul interlocuteur de la commune et c’est elle qui sera locataire des locaux. Ensuite, chaque membre payera sa participation en fonction de la durée de sa présence et des services utilisés.

– Pourquoi s’être tourné vers la mairie pour ce bureau ?

Il n’y a sur la commune aucune offre de locaux professionnels de bureaux à louer. C’est donc face à cette carence de l’offre privée que nous nous sommes adressés à la collectivité. C’est aussi logique dans la mesure où il ne s’agit pas d’un projet individuel, mais d’une opération collective développant de nouveaux modes de travail. C’est d’ailleurs à ce titre que la commune et la communauté de communes ont été aidés par l’État, l’Europe, la région et le Département à un taux élevé.

Les genets d’Or en assemblée générale

Le club des aînés ruraux “Les genets d’or” tenait son assemblée générale le 25 septembre dernier.

A l’ordre du jour pour les présents, la définition du planning d’activités pour l’année à venir. D’ores et déjà, les occasions de rencontres et de festivités se multiplient.

Ainsi, le repas de fin d’année est prévu le 27 novembre à Lussas, la galette des rois le 8 janvier.

Le printemps sera marqué par un repas dansant daube au feu de bois qui aura lieu le 15 mars avec l’orchestre ” Les Antibiotiques”.

Et enfin un voyage sur deux jours aura aussi lieu, vers une destination restant à fixer.

Les membres se retrouveront cette année encore les mercredis à la salle polyvalente pour les traditionnels jeux de société, belote, scrabble, sans compter l’initiation à la pâtisserie proposée par Olivier Volle en 2014, ou encore des cours de crochet et de tricot.

Un programme bien rempli pour les mois à venir.

partager-sur-facebook.

La salle polyvalente à l’heure du cirque

dsc03762-jpg
L’association l’Art d’en Faire organisait un stage de cirque à la salle polyvalente durant les dernières vacances scolaires. Elle a accueilli 13 enfants de 6 à 13 ans.

Durant la semaine, les enfants ont découvert ou approfondi les techniques de cirque (certains reviennent pour leur 5ème année) et ont mis en place un spectacle sur le thème d’Halloween : “la colo de la peur”. Le public, venu nombreux le vendredi pour assister à la représentation a fait un triomphe à la représentation qui associait cirque, théâtre et danse.

partager-sur-facebook.