Une souscription pour Pramailhet

La chapelle Notre-Dame de Pramailhet est un lieu bien connu, et le pèlerinage qui s’y déroule chaque année y contribue grandement. Mais cette chapelle, dont les murs ont été rénovés en 2002, suivi de travaux sur les vitraux en 2006 puis que le campanile en 2012 a encore besoin de travaux.

En effet la toiture qui a été refaite en 1984 a été réalisée avec des tuiles anciennes de type “marseillaises” qui, c’est de notoriété publique, sont très fragiles. Si la charpente est encore en bon été, il n’est plus possible aujourd’hui d’éviter les gouttières sans changer la totalité des tuiles et sans refaire la zinguerie. Un chantier conséquent estimé à près de 30 000 €, montant qui sera affiné par une consultation en bonne et due forme selon les prescriptions du Code des Marchés Publics.

C’est une charge importante pour la commune qui ne peut aujourd’hui mobiliser aucune subvention sur ce projet dans le contexte de baisse des dotations financières. C’est pourquoi, comme lors de la rénovation des vitraux financée par la paroisse, une souscription vient d’être lancée par le diocèse afin d’accompagner ses travaux.

Organisée en accord entre la mairie et le père Michel Martin, cette souscription ouvrant droit à une défiscalisation des dons permettra aux fidèles mais aussi aux amoureux du lieu, de contribuer à son entretien. En effet, sans cette aide, la commune ne serait pas en mesure de prendre en charge seule cette dépense.

Renseignements et dons : contacter

Calligraphie ou l’art de bien écrire

_ Dans la cadre de la Semaine Bleue en octobre, un atelier de calligraphie avait eu lieu à Saint-Etienne. Les personnes alors présentes avaient souhaité renouveler l’expérience, tandis que des absents avaient manifesté leur intérêt. L’expérience a donc été renouvelée avec un autre atelier de calligraphie de type médiéval, toujours mené par Colette Dubreuil.

C’est dans une ambiance amicale et non moins studieuse que quatre apprenties calligraphes ont pris la plume pour tracer des lettres avec précision, après avoir choisi un style de lettres qui lui convenait (onciale, caroline, gothique…), ainsi que la taille adéquate de la plume, et la couleur de l’encre.

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La patience et le calme sont les maîtres-mots. Lettre après lettre, ligne après ligne, sous les conseils, les encouragements et les félicitations de Colette, la gestuelle s’apprivoise.

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C’est un travail de longue haleine et de persévérance.

Rendez-vous l’an prochain pour une nouvelle séance.

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Un repas des jeunes réussi

Près de 140 personnes ont pris part au repas des Jeunes de Boulogne organisé samedi 6 janvier.

Une belle réussite qui a permis de se retrouver dans une très bonne ambiance autour d’un excellent coq au vin, qui fut aussi… abondant !

Merci aux jeunes pour l’organisation de cette soirée qui s’est prolongée en musique jusque tard dans la nuit.
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Les hostilités sont ouvertes au bar.
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Des cuisiniers de talent s’affairent en cuisine. Merci à Julien qui a piloté ce gros travail.wp_20160206_009-jpg
L’équipe rassemblée

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Zone de l’Escrinet : une nouvelle entreprise s’installe

La zone d’activité intercommunale de l’Escrinet voit arriver une nouvelle entreprise. Les travaux de construction du bâtiment viennent de démarrer le 7 novembre.

Il s’agit de M. Mermier, ébéniste, qui déplace son activité à Saint-Etienne-de-Boulogne.

L’occasion pour lui de se réorienter sur un nouveau créneau. Après la création de meubles anciens, il s’oriente maintenant vers les créations contemporaines et vers de l’agencement intérieur. D’expliquer que son choix de venir à Saint-Etienne-de-Boulogne est lié à la qualité de la zone, dédiée à l’artisanat, pas isolée mais pas non plus perdue dans une grande zone commerciale sans cachet.

Les travaux qui débutent maintenant se poursuivront jusqu’à l’été 2017 et seront suivis immédiatement du démarrage d’activité sur les lieux.zaec_ebeniste-jpg

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Les logements d’Auzon terminés

Depuis un an, les travaux d’aménagement de logements locatifs que la commune réalise dans des ruines acquises au hameau d’Auzon battaient leur plein. Ils sont terminés et la réception du chantier a eu lieu.

La commission municipale des travaux accompagnée des entreprises et de l’architecte, Fabrice Burtheret, a ainsi fait le tour des logements afin de constater le parfait achèvement des travaux.

-Pourquoi ces travaux ?

Le centre du hameau d’Auzon était totalement en ruines. La commune a engagé il y a quelques années une procédure d’abandon manifeste à l’encontre des propriétaires de ces ruines, et les a donc expropriés après qu’ils aient fait connaître leur refus de faire eux-mêmes des travaux. Ce choix a été fait pour des raisons de sécurité et de salubrité sur les ruines les plus dégradées alors.

-Les travaux ont consisté en quoi ?

Ceux qui connaissent les lieux savent que ces deux logements étaient en ruine totale, mais qu’il présentaient un caractère architectural intéressant. L’ensemble a aussi été traité en sauvegardant au mieux le caractère architectural de ces vieilles pierres datant du XVIIIè siècle.

Un soin particulier a été apporté à la performance énergétique de ces logements afin qu’ils puissent répondre aux meilleurs impératifs en vigueur actuellement : isolation renforcée, pose de panneaux solaires en toiture, VMC double-flux, chauffage au bois granulés et par le sol.

-Pourquoi des logements locatifs conventionnés ?

À ce jour, la demande de logements locatifs est forte sur la commune, et la municipalité a souhaité répondre à son niveau aux préoccupations générales en matière de politique du logement.

Aujourd’hui, plus de 60 % des ardéchois ont accès au logement conventionné, et nous avons donc décidé de conventionner ces logements avec l’Etat, comme les quatre autres appartements que la commune possède (à la cure et au-dessus de la Mairie).

Ces logements ont fait l’objet du même type de conventionnement que les autres logements communaux situés sur la place (au-dessus de la mairie et à l’ancienne cure). Ils sont donc destinés au même profil de locataires. Des locataires qui ont d’ailleurs été choisis par la commission d’attribution prévue par la réglementation et qui vont prochainement entrer dans les lieux.

-Et d’un point de vue financier ?

Après plusieurs années de procédure, lancée étant donné la vétusté de lieux qui menaçait la sécurité, la commune est devenue propriétaire des parcelles par expropriation. Avec le soutien de la Région, du Département, du Pays de l’Ardèche Méridionale et de la Communauté de communes, elle a pu investir près de 200 000 € dans cette opération. Un programme financièrement excédentaire qui permettra de proposer à la location de nouveaux logements mais aussi de dégager quelques revenus propres pour la commune.

-Et ensuite ?

Les logements sont terminés, mais leur raccordement électrique n’est pas effectif suite à un retard lié au refus d’un voisin de laisser enterrer les réseaux d’alimentation. Ce contretemps est maintenant réglé et les travaux de branchement vont se faire, mais cela aura fait perdre trois mois de location pour la commune. C’est stupide et dommageable pour la collectivité.

Si les travaux des logements eux-mêmes sont terminés, les abords des logements restent encore à traiter, par l’aménagement d’une place publique au cœur du hameau.

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Une fête des “P” arrosée

L’association de parents d’élèves de Saint-Étienne et Saint-Michel organisait la fête des “P” le 6 mai. Au programme Pain et Pizza cuits au four à bois, Pédale, avec une démonstration de vélo électrique, aPéritif, randonnée Pédestre, Produits locaux et tours en Poney. Sans compter un P de plus qui s’est malheureusement invité, avec la Pluie.

La fête n’en fut pas moins réussie grâce à l’implication de tous dès les jours qui ont précédé, en particulier d’Olivier Volle, boulanger en retraite, qui n’a pas compté sa peine pour que tout soit une réussite.

Un beau moment à mettre au crédit des bénévoles de l’Amicale Laïque et de leur Présidente Amélie Mazeyrat.

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Yves Willaert expose à la Mairie

Les pastels et dessins d’Yves Willaert accueillent les visiteurs à la Mairie jusqu’au 3 novembre.

D’origine Bruxelloise, il vit et travaille à Paris et se rend régulièrement dans sa maison non loin de Privas. Ses voyages en Afrique, notamment dans un cadre professionnel, lui ont fait découvrir d’autres espaces, d’autres lumières, d’autres paysages, dont il s’inspire pour ses pastels et ses fusains.

Le dessin, à partir de résonance intérieure, révèle un univers personnel oublié, ignoré et à construire. Le pastel et le fusain, qui sont pour lui des moyens d’expression artistique à part entière et ouvrent la voie à d’infinies associations à explorer. Travailler en lien étroit avec les matières, élaborer, construire, créer, à partir de ces éléments sont les leitmotivs de sa recherche.

Il travaille actuellement les thèmes qui touchent à la nature, et traverse régulièrement les frontières de l’abstraction…

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La Squadra remplit l’église

la_squadra-jpgQuatre-vingt personnes se sont donné rendez-vous à l’église de Saint-Etienne-de-Boulogne pour écouter la Squadra di Genova, ensemble polyphonique italien accueilli par l’association Labeaume en Musique, et la commune de Saint-Etienne-de-Boulogne. C’est la première fois que les « quartiers d’hiver » de Labeaume en Musique montaient leur scène au pied de l’Escrinet.

la_squadra_2-jpgLes huit chanteurs de Gênes ont ravi le public avec une série de chants traditionnels des dockers de la cité Ligure. Leurs voix puissantes et amples ont empli les voûtes de l’église. Comme dans les bars de Gênes, ils chantent en cercle des chansons populaires mais surtout le « trallalero » très ancien chant, transmis de façon orale.

Chansons des champs, chansons des villes, éloges de Gènes ou odes à la mer, la Squadra a du tempérament avec des chants des bars à vin les « osterias » d’ouvriers, de marins et de dockers.

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Les sapeurs forestiers au travail

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Les sapeurs forestiers du Département viennent d’entreprendre le débroussaillement des réserves d’eau de défense de la forêt contre l’incendie présentes sur la commune et ses abords. A ce jour, il y a en a deux, à Poumarès et dans la montée de l’Escrinet. La cuve de 120 m3 située au col de l’Escrinet ne rentre pas juridiquement dans ce cadre, mais elle aurait la même fonction en cas d’incendie.

Jusqu’à présent, ces cuves étaient propriété de la communauté de communes de la Roche de Gourdon qui en assurait la gestion et qui a financé leur installation. Avec l’intégration de la commune à la communauté de communes du Pays d’Aubenas-Vals, elles vont être restituées à la commune qui en assurera la charge, excepté leur entretien courant relevant des sapeurs forestier.

L’intervention de ces derniers sur la cuve de Poumarès – Les Molières, située à la limite de Saint-Etienne et Saint-Michel, a permis de nettoyer une large zone afin de sécuriser l’accès à la cuve tant par le sol que par hélicoptère. Un gros travail réalisé par une équipe de cinq sapeurs forestiers équipée d’un tracteur-broyeur.

Dans les semaines à venir, c’est le chemin de Poumarès, fortement dégradé par les pluies de ce printemps, qui fera l’objet d’un reprofilage, et d’aménagements pour faciliter l’écoulement des eaux. Une intervention qui sera aussi prise en charge par les sapeurs forestiers. En effet, la commune a demandé et obtenu le classement du chemin au titre des pistes DFCI du Département.

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La chasse en assemblée générale

ag_acca_96_dpi-jpgL’Association Communale de Chasse Agréée de Saint-Etienne-de-Boulogne a tenu son assemblée générale vendredi 7 juin au soir. Une quinzaine de personnes étaient présentes.

L’occasion tout d’abord de dresser un bilan de la saison écoulée, qui est bon, en terme de sécurité (aucun accident ou incident recensé) et au niveau du tableau de chasse. Ainsi, une centaine de sangliers et 21 chevreuils ont été tués au cours de 124 battues organisées par les trois équipes de chasseurs. A cette occasion, 11 renards ont aussi été prélevés.

Un effort de chasse qui n’empêche pas les dégâts indemnisés par la Fédération des Chasseurs sur la commune de s’élever à près de 15 000 € sur la saison 2011-2012, soit un reste à charge pour l’ACCA de 718 €. Une charge financière lourde qui s’ajoute à la location des bois de l’Etat, pour plus de 2000 €, et qui contribue à fragiliser la situation financière de l’association, même si elle reste encore saine avec un excédent des années antérieures qui lui permet d’envisager l’avenir sereinement. L’organisation d’un repas a été évoquée afin de renflouer les caisses.

En terme d’avenir justement, il a aussi beaucoup été question de la saison prochaine, qui se présente sous les meilleurs hospices, avec plus d’une soixantaine de fusils membres de l’ACCA, dont seize membres extérieurs à la commune. Nouveauté de l’année, la réglementation impose de partager le territoire de chasse de l’ACCA en trois parties, une par équipe de battue, soit celle du Cabanon, celle d’Auzon, et celle de La Conchy. Afin de préparer la saison, il n’est pas prévu cette année de lâcher de lapins, et ceux de faisans seront réduit à 75 têtes contre une centaine les années précédentes.

Pour finir, l’accent a été mis sur la sécurité, avec la projection d’un film de sensibilisation sur les accidents de chasse réalisé à partir de témoignages de chasseurs impliqués dans un accident.

La distribution des cartes aura lieu le 28 juillet et le 1er septembre de 10 h à 12 h.

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Affluence à Pramailhet

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Il y avait affluence à Pramailhet pour le pèlerinage à la chapelle Notre-Dame.

Après la messe dite par le père Souche, les fidèles se sont retrouvés pour partager le verre de l’amitié au son de la cloche de la chapelle, qui tinte à nouveau, après qu’elle ait été réparée par la commune durant l’été.

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Jazz à l’auberge

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Une cinquantaine de personnes a répondu à l’invitation de l’auberge l’Arbre à pain qui dans le cadre du week-end des Bistrots de Pays organisait un concert de jazz.

Le groupe Magnétic orchestra a fait swinger le public qui a apprécié à sa juste valeur la prestation de Benoit Thévenot au piano, Nicolas Serret à la batterie et François-Régis Gallix à la contrebasse.

Cet automne sera aussi marqué la participation de l’auberge l’Arbre à Pain aux castagnades du Parc Naturel Régional. A cette occasion, le “Menu castagnades” sera proposé aux clients.

Pour en savoir plus sur les castagnades :
http://castagnades.fr/autour-des-fetes-castagnades/menus-castagnades.html

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Le Préfet en visite

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La châtaigne, le trésor d’automne de l’Ardèche. C’est l’ensemble de la filière que Bernard Gonzalez, préfet, est venu découvrir dans le Sud-Ardèche. La première étape était une halte chez Pascale Augstein, castanéïcultrice à Saint-Étienne-de-Boulogne depuis treize ans.

Durant plus d’une heure, avec passion, elle a présenté son travail, les investissements réalisés, la réintroduction du marron Vincent, une variété ancienne et peu courante. Elle a aussi évoqué son désarroi face aux voleurs, parfois très bien organisés et qui viennent de nuit, et aux dégâts causés par les sangliers, qui sont de plus en plus importants. Elle a d’ailleurs été obligée de clôturer plusieurs parcelles avec des clôtures électriques pour tenter de limiter les dégâts.

Les membres du syndicat de défense de la châtaigne d’Ardèche sont également revenus sur les maladies (encre ou cynips) qui touchent les vergers et qui impactent les productions.

La filière se porte bien mais…

« Planter aujourd’hui, c’est créer une culture pour la génération suivante. C’est pourquoi, en parallèle, la Chambre d’Agriculture et le Parc Naturel Régional mènent une opération de reconquête de l’existant », explique Jean-Luc Flaugère, président de la Chambre. L’exploitante confirme : « C’est un investissement à très long terme ». « Seul un quart des arbres greffés arrivent en production », souligne de son côté Daniel Vernol, président du syndicat de défense de la châtaigne. Mais tous d’assurer : « La châtaigne est un fruit d’avenir ».

Après la découverte de la production de la châtaigne, la suite de la visite a porté sur le conditionnement et la transformation. Christophe Sabaton, président du comité interprofessionnel de la châtaigne d’Ardèche, rappelle que « la filière se porte bien », « que l’AOC a attiré du monde » mais que les problèmes d’approvisionnement vont apparaître à cause du cynips et des changements climatiques.

Ensuite, le préfet de l’Ardèche a découvert le calibrage et le conditionnement de la châtaigne. La coopérative Vivacoop, qui compte 300 adhérents, emploie huit salariés permanents et traite 1 800 tonnes de châtaignes par an, ce qui représente 75 % de son activité.

Durant une après-midi, le préfet a donc pris le pouls d’une filière importante pour le département et de la situation paradoxale dans laquelle elle se trouve.

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Plongée dans la grotte Chauvet

photo2-jpgLa grotte Chauvet et l’espace de restitution qui doit permettre prochainement au public d’en découvrir et d’en comprendre les merveilles étaient à l’ordre du jour à Saint-Etienne au travers d’une conférence qui a rassemblé une quarantaine de personnes à la salle polyvalente.

Organisée par la commune et le Syndicat Mixte de Restitution de l’Espace Chauvet, elle était animée par David Huguet, géologue au syndicat mixte et François Jacquart, conseiller régional et vice-président du syndicat mixte.

Après une présentation en vidéo de la grotte elle-même, l’essentiel de la présentation a porté sur le projet d’espace de restitution lui-même, sur les travaux en cours et sur le fonctionnement du site.

Parmi les questions posées, ont aussi été évoquées les problèmes de transports collectifs pour accéder à l’espace, le classement UNESCO au titre du patrimoine mondial, l’impact sur l’environnement d’un tel site aussi vaste, les questions de l’hébergement des visiteurs, ou encore celle de la restauration et de l’approvisionnement du site en produits locaux.

Une soirée très instructive autour de ce qui s’annonce déjà comme le plus important projet touristique, culturel et pédagogique jamais envisagé en Ardèche. Dès la fin de la conférence plusieurs participants ont d’ailleurs prévu de prendre part à la journée porte ouverte sur le site qui avait lieu le lendemain.

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