Les filles mettent la Boulogne à l’honneur


Les filles de la Pétanque La Boulogne connaissent depuis plusieurs mois des résultats remarquables.

Au championnat des clubs féminins

Afin de pouvoir participer au Championnat des clubs féminins 2013, elles se sont groupées avec les clubs de Mayres et de Meyras. Cette initiative du club de Meyras leur permet de s’aligner sur six têtes à têtes, trois doublettes et deux triplettes en 2ème division, puisque c’est leur première participation.

Leurs équipes sont composées de Saint Etienne de Boulogne : Delphine Estrade et Aurore Goulard pour Saint-Etienne, Colette et Audrey Chamontin de Meyras, et de Corinne Gilles et Karine Comte, de Mayres

Dimanche 23 juin a eu lieu le matin la 3ème journée de rencontre contre Saint-Maurice-d’Ibie, au complexe sportif de Saint-Marcel-d’Ardèche. Les stéphanoises ont gagné au score de 22 à 14 avec trois têtes à têtes, deux doublettes et deux triplettes gagnées.

Dimanche 23 juin a eu lieu aussi la 4ème journée de rencontre l’aprés-midi contre la Petite Boule Bourguésanne. Elles ont encore gagné au score de 26 à 10 avec quatre têtes à têtes, trois doublettes et une triplette gagnées.

Les filles de la Boulogne se sont aussi illustrées au fédéral d’Ardèche de pétanque à Coucouron, où la doublette Delphine Estrade et Auroure Goulard sont allées jusqu’en en quart de finale !

Aussi à la lyonnaise

A la lyonnaise, Aurore Goulard est vice championne d’Ardèche en tête à tête en 4ème division, lors d’une compétition perdue 10 à 11 au temps contre Virginie Moulin, d’Annonay.

Toujours à la lyonnaise, Noa Goulard est champion d’Ardèche en moins de 9 ans et Manon Goulard vice championne !

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La commune complète l’équipement de la salle polyvalente.

photo1704-jpgUne machine à glaçons neuve vient d’être acquise pour équiper la salle polyvalente. Elle vient en remplacement de celle qui y était depuis 20 ans et qui est tombée en panne l’année dernière. Bien utile les jours de manifestations associatives, elle faisait défaut ces derniers mois.

Pour plus de commodité, elle a été installée sous le comptoir de la salle, et non dans les réserves comme auparavant. Une nouvelle implantation qui a nécessité des aménagements du bar réalisés par la commission municipale des bâtiments.

Cette année, de la vaisselle sera aussi achetée, notamment des verres, pour compléter celle mise à disposition des associations.

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Les chemins ruraux prêts pour l’automne

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Chaque automne avec les récoltes de châtaignes, les chemins ruraux sont très empruntés. Il est donc nécessaire de programmer une intervention sur les plus dégradés afin de les améliorer avant le début de la campagne de ramassage.

C’est chose faite avec le passage du broyeur de pierre de l’entreprise Comte, de Valvignères (www.broyeurdepierres.com). Imposant, il met en œuvre un tracteur de taille peut fréquente chez nous. Les pierres et la terre du chemin sont broyées sur place et l’engin laisse derrière lui une couche de grave mêlant cailloutis et matières fines prête à être compactée.

Cette année, les chemins du Col d’Auzon, de la Morelle et des Pins ont été traités. Le chemin du col de Valaurie a aussi été broyé, les frais induits par ce chemin étant partagés à moitié avec la commune de Saint-Laurent-Sous-Coiron, puisqu’il dessert uniquement des habitants du hameau de Louyre.

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La gym en assemblée générale

L’association de gymnastique la Boulognette tenait son assemblée générale le 8 octobre

En terme de bilan, l’année écoulée a été bonne, avec 29 membres, et des séances de gym encadrées par Ginette Coste tous les mardis de 18 h 15 à 19 h 15 puis de 19 h 15 à 20 h 15 pour une seconde heure plus intensive. L’été les séances de gym ont été remplacées par des randonnées.

Le bureau a été ensuite partiellement renouvelé, Jean-Luc Bouchon remplaçant Marie-Françoise Volle en tant que secrétaire, Pierre Lascombe restant président et la trésorerie étant toujours assurée par Joëlle Caujolle.

Enfin, le programme d’activités a ensuite été arrêté avec :

 20 octobre 2013 : rando châtaigne à Privas,

 17 novembre 2013 : la résurgence de Bourbouillet (Lablachère),

 15 décembre 2013 : Vogüé,

 Participation au Téléthon 2013

 1 et 2 février 2014 : séjour neige à Méaudre,

 7, 8 et 9 juin 2014 : séjour rando sur un lieu à définir,

 24 juin 2014 : repas de fin d’année.

Autant d’activités qui témoignent de la bonne santé de l’association et du dynamisme de ses membres.

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Affluence à la bourse aux jouets

901985_10202296277358884_583878571_o-jpgLes parents d’élèves, les enfants et les habitants avaient rendez-vous à l’invitation de l’Amicale Laïque pour une bourse aux jouets organisée à la salle polyvalente.1462592_10202296279718943_2128903884_o-jpg

Heureuse initiative à l’approche de Noël, qui a permis à plus d’un de vider les placards et de remplir les cadeaux. Une journée fort sympathique à laquelle de nombreux Stéphanois ont répondu présent, pour le plus grand plaisir des organisateurs.

La journée était aussi agrémentée d’un barbecue puis d’une rôtie de châtaignes. Merci aux organisateurs de cette journée.

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Arrêt de car du Col d’Auriolles : les travaux se terminent.

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Les travaux d’aménagement de l’arrêt de car du Col d’Auriolles se terminent. Ils sont le fruit d’un partenariat entre la Région, gestionnaire de la ligne de car, le Département, gestionnaire de la voirie et la Commune, coordinateur local. Ce partenariat a permis d’obtenir plus de 90 % de financement de la Région et du Département sur l’ensemble du projet.

Alors que les premiers courriers de la commune, signalant le problème de sécurité de l’ancien arrêt, datent de 2005, il aura fallu de nombreuses années et de nombreuses interventions pour que les choses bougent, mais c’est fait !

Pour la sécurité, l’arrêt a été déplacé de 150 m, plus au sud afin de l’éloigner de la sortie du virage, et pour l’implanter en ligne droite. De la même manière, le cheminement jusqu’à l’arrêt se fait de manière sécurisée à l’extérieur de la route, sur un ancien délaissé. La chaussée a été partagée avec un îlot central qui coupe la traversée en deux en plaçant les piétons en sécurité au milieu de la chaussée. A ce sujet, le choix de ne pas tracer de passage piéton est délibéré, ce marquage sur une route à grand trafic créant une fausse impression de sécurité pour les piétons alors qu’il n’en est rien.

En ce qui concerne les arrêts eux-mêmes, les anciens mesuraient 8 mètres de longueur et moins de 1 mètres de largeur. Ils en font maintenant 45 de long pour 4 de large. Ils sont dimensionnés pour que les cars puissent stationner totalement hors de la chaussée le temps des mouvements de passagers et de bagages. Ce point a d’ailleurs été vérifié avant travaux par le chef d’exploitation de la compagnie et un chauffeur qui se sont déplacés sur les lieux avec un car pour essayer l’arrêt. Les nouveaux cars équipés de monte-personnes pour les personnes à mobilité réduite pourront même les mettre en œuvre, la largeur étant suffisante ce qui n’est pas le cas partout.

Pour le confort des voyageurs, l’arrêt est maintenant doté de deux abribus fabriqués au village, en bois ardéchois, d’un éclairage solaire autonome, de nouveaux poteaux indicateurs de la Région, et de bancs.

Leur entrée en service se fera à l’occasion de l’entrée en vigueur des horaires d’hiver 2013-2014 au 15 décembre prochain.

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Les bornes incendies bonnes pour le service

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Les poteaux incendie répondent à des normes précises de débit et de pression d’eau, comme de branchement : ils doivent distribuer de l’eau pendant deux heures avant assèchement, à une pression de 1 bar minimum et un débit de 60 m3/heure.

Les trois nouveaux poteaux installés sur la conduite d’eau qui vient d’être changée entre Le Village et Les Gouzis ont été vérifiées par les services d’incendie et de secours. Ils ont été déclarés bons au service. Cela signifie qu’ils figurent maintenant sur tous les atlas cartographiques disponibles dans les camions des casernes du secteur, ce qui permettra en cas de besoin aux pompiers de les repérer rapidement et de connaître leurs caractéristiques.

Avant le renouvellement de conduites d’eau, le diamètre des tuyaux était trop réduit pour permettre d’en installer avec un débit suffisant, ce qui explique qu’il n’y en avait pas.

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Un aven sous la route !

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Les pluies de ces dernières semaines ont nécessité des curages de fossés réalisés par les services du Conseil Général. Qu’elle ne fut pas la surprise des agents des routes en travaillant sur la RD 356 au débouché du pont des Gouzis. Un aven s’est ouvert sous le godet de la pelle, au milieu du fossé.

Fermé par une mince épaisseur de pierre, la couverture naturelle a cédé. La grotte, longue de quelques mètres, s’oriente sous la route départementale. Le Comité Départemental de Spéléologie a été appelé pour tenter d’explorer cette cavité, mais elle s’avère vite trop étroite pour permettre le passage de l’homme. Ouverte dans des calcaires très marneux, il n’est pas surprenant qu’elle soit étroite et rapidement obstruée.

En tout cas, elle est sans danger pour la stabilité de la route.

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Les enfants exposent à Vogüé

reduit-jpgLes enfants de la classe de CE2, CM1 et CM2 du regroupement pédagogique se sont rendus en octobre dernier à Vogüé pour visiter l’exposition “Chasses magiques” organisée au château par le Musée des Arts Premiers de Paris.

De retour en classe, sous la houlette de Christine Collet leur enseignante, ils se sont inspirés des œuvres exposées, principalement des totems, pour créer leurs propres sculptures avec les matériaux de leur environnement. Ils ont laissé libre cours à leur imagination pour créer leurs attributs magiques, à l’image des chasseurs primitifs.

Des travaux qui viennent à leur tour d’être exposés au château de Vogüé où les parents ont pu les découvrir.

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Le nouveau conseil installé

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Le nouveau conseil municipal s’est réuni pour la première fois vendredi 28 mars au soir pour sa première séance.

A l’ordre du jour, l’élection du maire, des adjoints et l’organisation des commissions, ou la désignation des délégués dans les structures extérieures.

La séance placée initialement sous la présidence de Janine Walter a permis d’élire à l’unanimité :

 Franck Brechon, Maire

 Claudine Dubois, Jérôme Le Bellego et Jacques Noury adjoints.

Les différentes commissions ont été constituées et les conseillers qui les composent ont été désignés.

 Voirie et bâtiments : Jacques Noury, Philippe Girard, Amélie Mazeyrat, Jérôme Le Bellego.

 Eau et assainissement : Cédric Guénard, Philippe Girard, Jérôme Le Bellego.

 Administration, personnel et finances : Alexandra Daigneau, Claudine Dubois, Samuel Carpentier, Marianne Schuhler, Jérôme Le Bellego.

 Urbanisme et gestion de l’espace : Amélie Mazeyrat, Jérôme Le Bellego, Samuel Carpentier, Janine Walter.

 Environnement, cadre de vie et ruralité : Jacques Noury, Cédric Guénard, Alexandra Daigneau, Philippe Girard.

 Développement économique et agriculture : Jérôme Le Bellego, Jacques Noury, Marianne Schuhler, Samuel Carpentier.

 Solidarité, animations, associations, culture : Janine Walter, Jacques Noury, Alexandra Daigneau, Marianne Schuhler, Cédric Guénard, Claudine Dubois.

 Affaires scolaires, enfance : Claudine Dubois, Jacques Noury, Marianne Schuhler, Jérôme Le Bellego.

Enfin, les représentants dans les différentes structures et associations auxquelles la commune appartient ont été désignés.

 Communauté de communes du Pays d’Aubenas-Vals : Franck Brechon titulaire, Jérôme Le Bellego suppléant ;

 Parc Naturel Régional : Franck Brechon titulaire, Cédric Guénard suppléant ;

 Syndicat intercommunal d’électrification : Franck Brechon titulaire, Philippe Girard suppléant ;

 Syndicat intercommunal de la Roche de Gourdon : Franck Brechon et Jérôme Le Bellego titulaires, Cédric Guénard suppléant ;

 Syndicat d’informatique AGEDI : Sarah Pilato titulaire ;

 Association des communes forestières d’Ardèche : Samuel Carpentier titulaire, Claudine Dubois suppléante ;

 Association Huilétic : Cédric Guénard titulaire ;

 Commission d’attribution des logements ADIS : Janine Walter titulaire ;

 Comité de ligne TER : Marianne Schuhler, Alexandra Daigneau, Franck Brechon ;

 Correspondant défense : Amélie Mazeyrat ;

 Commission scolaire intercommunale : Claudine Dubois et Franck Brechon.

Pour finir les délégations que le conseil accorde au maire dans plusieurs domaines ont été débattues. Il s’agit de délégations accordées afin de faciliter la gestion des affaires courantes de la commune dans des domaines où il y a lieu de décider rapidement. Il est rappelé qu’à chaque conseil, le maire rend compte des décisions prises dans le cadre de cette délégation.

A l’unanimité, le conseil a décidé d’accorder huit délégations sur les 24 possibles au maire, à savoir :

 de prendre toute décision concernant la préparation, la passation, l’exécution et le règlement des marchés et des accords-cadres, lorsque les crédits sont inscrits au budget et que leur montant n’excède pas 4 000 € ht ;

 d’accepter les indemnités de sinistre versées par les assurances de la commune jusqu’à un montant de 4 000 € ;

 de prononcer la délivrance des concessions dans les cimetières ;

 d’accepter les dons et legs qui ne sont grevés ni de conditions ni de charges ;

 de décider l’aliénation de gré à gré de biens mobiliers jusqu’à 2 000 € ;

 de fixer les rémunérations et de régler les frais et honoraires des avocats, notaires, huissiers de justice et experts jusqu’à 4 000 € ht ;

 de régler les conséquences dommageables des accidents dans lesquels sont impliqués des véhicules municipaux dans la limite de 5 000 € ;

 d’autoriser, au nom de la commune, le renouvellement de l’adhésion aux associations dont elle est membre.

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Centenaire de la guerre de 14-18

a_785-jpgL’année 2014 est celle du centenaire du début de la Première Guerre Mondiale. L’État a d’ailleurs lancé une mission de la mémoire de la guerre de 14-18. La commune de Saint-Etienne souhaite relayer localement ce travail.

Si vous possédez des documents de tout ordre concernant les poilus et la vie de Saint-Etienne durant les années 1914 à 1918, aidez-nous à rassembler les souvenirs d’un moment majeur de notre histoire commune.

Les commémorations du centenaire de la guerre de 14-18 sont l’occasion de mettre en œuvre une dernière collecte de la mémoire familiale et collective sur ce tragique conflit, sur le front, dans les tranchées, mais aussi ses conséquences à l’arrière notamment pour les familles des habitants de Saint-Etienne. Tous les témoins de cette époque sont morts, restent les souvenirs matériels.

Ces commémorations seront aussi l’occasion de mieux comprendre les ressorts de la guerre en Europe, de réfléchir à ses mécanismes et à ses causes.

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La collecte de la mémoire

Afin de restituer le plus concrètement possible « Saint-Etienne durant 14-18 » notamment aux jeunes générations, nous recherchons les dernières traces de cette mémoire qui ont marqué les générations précédentes (nos grands-parents ou arrières grands-parents).

Si vous possédez des documents personnels ou publics de tout ordre concernant les poilus, la vie à Saint-Etienne durant les années 1914 à 1918, les premières commémorations et constructions de monuments, merci de vous faire connaître à la Mairie.

Les documents seront numérisés, les objets photographiés sur place chez vous si vous le souhaitez. Pour vous aider, voici des pistes de recherches :

DOCUMENTS PAPIER CONCERNANT LES POILUS

 lettres ou témoignages d’anciens poilus,

 photographies de poilus,

 livrets militaires,

 courriers officiels reçus,

 cartes postales anciennes,

 carnets de guerre,

 documents officiels des soldats morts pour la France,

 articles de presse concernant des hommes de Saint-Etienne,

 rôle des femmes au front dans les services de santé.

DES OBJETS

 cadre historié avec diverses décorations,

 vêtements et objets de la vie quotidienne du poilu,

 objets fabriqués par les poilus dans les tranchées,

 obus transformés.

LA VIE QUOTIDIENNE A ST-ETIENNE

 faits sociaux à Saint-Etienne durant les quatre années de guerre,

 les services à la population mis en place,

 rôle des femmes pendant l’absence des hommes,

 la vie scolaire et en général la vie des enfants,

 la souscription publique pour l’érection du monument aux morts.

Merci pour votre participation

Le cimetière ne sera plus désherbé, santé publique oblige

Il est plus que nécessaire de prendre en compte maintenant la grande dangerosité des pesticides et herbicides, en particulier du glyphosate contenu dans les désherbants courants. Ainsi, plus de 75 % des rivières et ruisseaux de la région sont contaminés au glyphosate (substance active du Roundup) ou avec son produit de dégradation (AMPA). En savoir plus.

La commune a décidé de ne plus en employer, excepté pour la dévitalisation des souches d’arbres en injection dans la partie coupée.

Les places et espaces publics sont ainsi moins désherbés, et lorsqu’ils le sont, c’est au désherbeur thermique que le travail est fait.

Pour d’autres espaces comme le cimetière, le choix a été fait de le laisser s’enherber et de tondre les allées.

La commune devance donc de quelques années l’interdiction d’usage des pesticides sur les espaces publics, prévue en 2016. De même, la loi interdit l’usage des pesticides à moins de 200 m des écoles et lieux accueillant des enfants si aucun dispositif de prospection spécifique n’est mis en place. Il n’est donc plus envisageable d’en utiliser au village. En savoir plus.

Un mois de stage à la Mairie

Depuis un mois, les habitants qui sont venus à la mairie pour diverses démarches ont fait la connaissance d’Angélique Anzio, de Vesseaux, qui les accueillait.

En 1ère bac pro accueil, elle a effectué un mois de stage fructueux au sein de la mairie pour seconder Sarah Pilato sur diverses tâches administratives et d’accueil tout en apprenant les bases du métier.

Un stage qui s’est très bien déroulé avec une stagiaire qui a fait preuve de compétences et de volonté d’apprendre.
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Réseaux d’eau : les travaux se poursuivent

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Il y a deux ans, les conduites d’alimentation en eau potable étaient changées entre Le Village et les Gouzis, permettant d’achever le renouvellement de la branche principale du réseau desservant l’essentiel des abonnés.

Cette année, les travaux portent sur les branches de La Conchy et Auriolles, et concernent encore des changements de conduites âgées de plus de 70 ans et affectées par des fuites récurrentes parfois importantes.

Une opération d’un coût globale de plus de 35000 € ht, financée par le service de l’eau communal et subventionnée à hauteur de 50 % par l’Agence de l’Eau au titre d’un appel à projet sur les économies d’eau, auquel la commune a été candidate et retenue. C’est le travail de détection de fuites réalisé ces dernières années qui a permis de prouver le besoin de changement de conduites et de repérer les secteurs sur lesquels intervenir en priorité, donc d’aider à obtenir les fonds nécessaires.

Des travaux qui vont durer trois semaines et occasionner quelques dérangements. Dans tous les cas, la prudence au passage devant le chantier et la patience si la route et coupée s’imposent.

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Réparations sur le réseau d’eau

Des travaux ont eu lieu sur le réseau d’eau qui alimente Lestrade, occasionnant des coupures d’alimentation et des problèmes de pression.

Il s’agissait de réparer une fuite importante sur une canalisation ancienne qui n’a pas encore été renouvelée. Ce secteur, au sol argileux, présente assez régulièrement des problèmes et c’est sans doute dans ce secteur qu’auront lieu les prochains renouvellements de conduites.

Des travaux réalisés par le cantonnier de la commune et l’entreprise Sanchez pour la partie plomberie.
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Les sapeurs forestiers interviennent

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Les sapeurs forestiers du Département viennent d’entreprendre le débroussaillement des réserves d’eau de défense de la forêt contre l’incendie présentes sur la commune et ses abords. A ce jour, il y a en a trois, à Poumarès, dans la montée de l’Escrinet et à Andiges. La cuve de 120 m3 située au col de l’Escrinet ne rentre pas juridiquement dans ce cadre, mais elle aurait la même fonction en cas d’incendie.

L’intervention des sapeurs forestiers sur la cuve de Poumarès – Les Molières, et celle des Blaches, a permis de nettoyer une large zone afin de sécuriser l’accès à la cuve tant par le sol que par hélicoptère. Celle d’Andiges qui vient juste d’être posée n’a pas eu besoin d’être débroussaillée.

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Ordures ménagères : pour plus de propreté

La communauté de communes vient de débuter le lavage et la désinfection de tous les bacs ordures ménagères dont ceux de Saint-Etienne-de-Boulogne.

Une fois vidés normalement, les bacs sont pris en charge par un camion laveur haute pression qui les soulève, les bascule dans le dispositif de lavage complètement fermé et les repose… propres.

Cette opération est assurée par un prestataire de service spécifique car la communauté de communes ne dispose pas du véhicule spécialisé, et que le nombre de bacs à laver ne justifie pas qu’elle s’en équipe.
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Le camion de lavage des bacs

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Communauté d’agglomération : le conseil dit non.

Le Préfet de l’Ardèche vient de publier une carte réformant encore une fois les périmètres des communautés de communes. Autour d’Aubenas, il prévoit la création d’une communauté d’agglomération qui regrouperait 72 communes issues de la fusion de 5 communautés de communes sur les anciens cantons de Burzet, Thueyts, Montpezat, Aubenas, Vals, Villeneuve-de-Berg et Largentière. Elle s’étendrait du Col de la Chavade à Sceautres, de Pereyre à Saint-Maurice d’Ibie et La Souche ou Laurac.

Elle regrouperait 61 000 habitants.

En terme de compétence, cette communauté d’agglomération serait dotée de domaines d’actions très larges, dont l’eau potable, l’assainissement, la voirie, mais aussi l’urbanisme (Plan local d’Urbanisme intercommunal à l’échelle des 72 communes), ou encore les activités périscolaires.

Le conseil municipal de Saint-Étienne du 10 novembre s’est prononcé à l’unanimité contre ce projet. Voici les raisons de ce refus :

Pourquoi le conseil a-t-il refusé ce projet de communauté d’agglomération ?

Les raisons sont multiples, mais c’est d’abord l’ampleur du périmètre et son incohérence qui a motivé cette décision. Trop vaste, sans unité, il ne présage en rien d’une prise en compte correcte des besoins des habitants et des territoires. Il sera impossible de développer des actions cohérentes sur l’ensemble de ce territoire.

N’est-il pas pertinent en termes de moyens ?

Il n’offrira guère de moyens supplémentaires. Seulement une bonification faible de la dotation de fonctionnement, mais qui sera largement compensée par les dépenses de fonctionnement inhérentes à ce type de structures. Le faible argument financier n’est pas suffisant.

Il est en outre illusoire de croire que les moyens seront équitablement répartis sur le territoire et l’ensemble des communes. Les expériences identiques montrent que les interventions et les fonds se destinent généralement aux zones centrales qui se délestent de charges, mais que cela ne permet pas de développer des projets sur l’ensemble du territoire. C’est un constat.

Par contre, le conseil considère que la fusion de la communauté de communes du Pays d’Aubenas-Vals et de celle de Vinobre s’impose en considérant qu’elle permettrait d’agir sur l’ensemble de la zone urbaine d’Aubenas. Le conseil regrette même que cette fusion n’ait pas été décidée dès la vague de fusions précédentes, mais des “impératifs” politiques s’étaient alors imposés, plus qu’une notion de cohérence de territoire.

Et les projets qui sont susceptibles d’être réalisés par cette communauté d’agglomération ?

À ce jour, c’est une coquille vide, un trait sur une carte, sans aucun projet de territoire. Elle n’a pas été concertée, et n’a donc aucun sens. La seule justification très à la mode qui consisterait à dire qu’elle sera performante parce que vaste et concurrentielle ne tient pas. Ce territoire trop vaste nous paraît justement ingouvernable de manière équilibrée et équitable, en interne, avec un conseil d’agglo qui dépassera largement les 120 ou 130 membres.

Faire émerger des projets dans un ensemble aussi vaste est nécessairement long, complexe et usant. Il y a toujours une inertie très forte, sans compter les jeux politiciens détestables qui s’y développent.

Et cette communauté d’agglomération ne sera-t-elle pas de taille à rivaliser avec Valence ou Montélimar?

C’est ce qu’on entend dire, mais ce n’est pas la bonne approche. Nous ne serons jamais Valence ou Montélimar ! Notre place n’est pas là et ce n’est pas en jouant la concurrence avec plus grand que nous que nous pourrons y gagner quoi que ce soit. C’est stupide. C’est en mobilisant nos propres forces et nos atouts, les initiatives de citoyens, qu’il ne faut pas noyer dans des superstructures lourdes et inertes.

Et si des regroupements sont nécessaires entre collectivités, nous savons les réaliser ponctuellement, de manière souple, en fonction des besoins. C’est par exemple en ce qui nous concerne, la piscine couverte d’Aubenas réalisée par trois communautés de communes qui se sont unies, ou la zone d’activité des Traverses, à Lachapelle-sous-Aubenas.

N’y a-t-il pas un risque de passer à côté d’une opportunité ?

Non, ce n’est pas en ces termes hasardeux “d’opportunité” que la question se pose, en l’absence de projet. Et les délais courts, à peine un an avant la fusion proposée, ne permettent pas de travailler à toutes ces questions correctement. Il est même techniquement impossible de réaliser une fusion dans des délais aussi courts, sauf à la bâcler…

En outre, comment imaginer que les citoyens, qui sont las de ces bricolages institutionnels sur lesquels leur avis n’est jamais requis, vont s’y retrouver. La République a besoin d’institutions de proximité, humaines, qu’on nous demande de saborder au profit d’une technostructure lointaine et vide de sens démocratique. Nous préférons largement une collectivité qui permette l’essor des initiatives et l’autonomie des citoyens à des machines lourdes.

Chaque mandat ne doit pas non plus être celui du bricolage institutionnel. Nous avons été élus pour porter des projets, des réalisations, faire fonctionner des services pour les habitants. Pas pour fusionner des communautés de communes à longueur d’années, réorganiser des services et des administrations. C’est stérilisant pour l’action locale.

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Dix bancs publics à disposition des habitants

Les bancs publics dont le conseil municipal a décidé l’installation en début d’année 2015 viennent d’être posés.

Au nombre de dix, ils ont été disposés dans différents points le long des routes et des chemins de la commune afin de permettre aux personnes se promenant de s’arrêter, ou encore à tout un chacun de passer un agréable moment tranquille.

Une invitation à simplement prendre le temps de vivre et d’imaginer…

Ils ont été choisis simples et économiques, en métal afin de ne pas demander d’entretien. Cela représente une dépense de 1200 € au total.

Bonne promenade.

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Poème d’un anonyme

Dans nos vies

Il y a toujours un banc

Un petit coin offert

Pour arrêter le temps

Banc caché ou perdu

Au fond d’un jardin

A Tokyo, à Paris ou Berlin

Un banc

Pour reposer son âme

Pour ne penser à rien

Mais simplement regarder

Les mouvements du vent

Et entendre le petit silence

Petites larmes

Flaques blanches de l’eau

Un banc

Pour des passants

Des impatients

Pour la joie des enfants

Sur un petit chemin

Un banc tout bariolé

Un banc repeint en blanc

Un banc presque oublié

Délaissé ravagé abandonné

Rouillé et fatigué

Un banc d’été ou d’hiver

Pour les curieux

Le nez en l’air

Un banc d’émotions folles

De saisons qui s’envolent

Un banc poétique

Pour les amoureux de la chanson

Un banc pour la rupture

Un banc pour des blessures

Un banc pour se dire pardon

Si tu viens t’asseoir un moment

Je t’inventerais

Des histoires de bancs

Histoire de faire passer le temps

Sur un petit air d’accordéon

_ Après une initiation au fandango en mars, une dizaine de stagiaires ont partagé un week-end de perfectionnement à la pratique de l’accordéon diatonique et du chant, ces 9 et 10 avril.

Ce stage était conduit par Bruno Escafit (accordéon) et Jehanne Brillet (chant) de l’Association LEZARD-SOLEIL.

Le samedi soir c’est une soirée très conviviale concert et « baluche » qui a ravi les amateurs de bonnes chansons et de danses traditionnelles.

Dimanche après-midi a eu lieu la restitution du travail commun des accordéonistes (Chantal et Hélène au diatonique et Maëlenn au chromatique) et chanteurs (Sandrine, Alain, Martine, Elisabeth).

YOD KISTIN remercie tous les participants (professeurs, musiciens, chanteurs, spectateurs, danseurs…) et vous dit à très bientôt pour un autre moment de partage.

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