La gym en assemblée générale

L’association de gymnastique La Boulogne vient de tenir son assemblée générale annuelle. L’occasion de dresser le bilan de l’année écoulée pour une association qui reste dynamique avec deux séances chaque mardi soir, suivies par une trentaine d’adhérents. L’assemblée profite de ce moment pour remercier chaleureusement Ginette Coste qui assure ces cours bénévolement.

En terme administratifs, les membres ont élu un nouveau bureau composé de Andrée Marion, présidente, qui succède à Pierre Lascombe après neuf ans de mandat. . Pour leur part, Joëlle Caujolle et Jean-Luc Bouchon restent trésorier et secrétaire. Il a aussi été décidé, les comptes étant équilibrés, que la cotisation restait fixée à 40€.

En terme d’activités, il a été décidé de reconduire les séances qui auront lieu à partir de 17 h 30 pour la première (nouvel horaire après les vacances d’automne), puis à 18 h 30. Au-delà des séances de gym, les randonnées du dimanche et séjours pour la saison à venir ont été planifiés.Tout cela sans publier la participation de la gym au Téléthon avec l’organisation d’un début décembre.

Comme d’habitude, l’AG s’est terminée par un bon repas partagé dans une ambiance conviviale …
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Les Genêts d’Or tirent les rois

Le club des aînés ruraux a réuni ses membres mercredi 6 janvier pour tirer les rois. Les adhérents ont répondu présents en nombre afin de partager la galette en toute convivialité et sympathie.

Un agréable moment suivi tout l’après-midi de parties de belote et de jeux pour le plus grand plaisir de tous.
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“La Fabrique à Histoires” se termine.

La commune et l’association Rézonance ont engagé depuis l’année dernière la réalisation d’un film documentaire participatif sur la mémoire du village intitulé La Fabrique à Histoires. Dans ce cadre, de nombreux entretiens et enregistrements ont été réalisés auprès d’une quarantaine de personnes détentrices de souvenirs.

A ce stade, se sont plus d’une centaine d’heure de film qui ont été enregistrés, et le montage commence. C’est pour faire le point sur l’avancée du dossier que les partenaires du projet se sont retrouvés à la mairie autour des premiers montages.

L’occasion de constater que le travail avance bien, puis d’envisager la première projection publique qui aura lieu le vendredi 3 mars à 18 h à la salle polyvalente.

Seront alors invités, outre les financeurs du projet (CAF, fondation SNCF, Région, Département), l’ensemble des habitants et bien entendu, les personnes ayant participé à la réalisation du film.

Alors que l’achèvement du projet se profile, les participants à la réunion ont aussi envisagé une seconde étape permettant de valoriser sous forme de web-doc l’ensemble de la matière collectée.
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Les premiers extraits du film présentés lors de la réunion.

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À la découverte du vélo électrique

À l’occasion de la Fête des “P” à Saint-Etienne-de-Boulogne qui a eu lieu le 15 mai, Syndicat de Transport urbain Tout’enbus d’Aubenas-Vals était présent pour une démonstration de vélo électrique.

Une trentaine de personnes ont ainsi pu essayer ce nouveau mode de déplacement qui offre les avantages du vélo en terme de commodité, d’environnement, sans en avoir les inconvénients pour les moins sportifs.
Certains ont même pu voir que le vélo à assistance électrique les conduisait jusqu’au sommet de la montée du hameau d’Auzon sans difficulté et presque sans efforts.

Yohan Deleuze, du syndicat Tout’enbus était d’ailleurs présent pour en expliquer le fonctionnement, et présenter le système de location mis en place par le syndicat.

À quand des vélos en location sur la commune ? Telle est la question qui a été posée par plus d’un utilisateur…
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Sentiers de randonnée : le balisage se poursuit

Les sentiers de randonnée sont, selon les sections, entretenus par la communauté de communes ou par les habitants eux-mêmes, ou nettoyés à l’épareuse par la commune.

Le balisage, quant à lui, est assuré par les bénévoles de l’association de gym La Boulognette, qui assure le travail peinture à la main. Une opération qui vient d’être lancée et qui se poursuivra dans les semaines à venir.

Un engagement bénévole au service de la collectivité que la mairie salue et remercie vivement.
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Castagnade à La Conchy

Les habitants de La Conchy se sont retrouvés sur la place du hameau dimanche 13 novembre pour une castagnade amicale. Une vingtaine de personnes ont partagé ce moment convivial qui renouvelle la rencontre de la fête des voisins qui a lieu en été.
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Ordures ménagères : encore des incivilités !

De nouvelles incivilités étaient constatées dans les bacs à ordures ménagères de Saint-Etienne-de-Boulogne.

Des verres et des objets relevant des encombrants y ont encore été déposés par des habitants indélicats. Aujourd’hui au hameau d’Auriolles, la semaine dernière à ceux d’Auzon et du village, aucun point de collecte n’est épargné. Les consignes sont pourtant simples et les conteneurs à verre comme à papier ou à tri sélectif se trouvent à proximité immédiate de bacs ordures ménagères.

Certains, peu nombreux, se moquent du bon fonctionnement du service, tout en se plaignant sans doute de payer trop cher alors que leurs gestes sont à l’origine de surcoûts importants. C’est aussi un manque de respect pour le personnel qui assure la collecte des ordures, ce qui est déjà un travail ingrat et difficile.

Rappelons que l’année dernière, le montant de la taxe d’enlèvement des ordures avait baissé, entre autres à cause d’un meilleur tri. Qu’en sera-t-il cette année si de tels gestes se multiplient ? La réponse est entre les mains des citoyens qui, par leur comportement, ont la possibilité de favoriser ou non le bon fonctionnement du service.

À chacun de prendre ses responsabilités.

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Les conteneurs à verre sont pourtant à coté des bacs dont ces bouteilles ont été sorties ! La flemme de faire un mètre de plus ? Le manque d’esprit civique ? Le plaisir d’emmerder le monde ?

La lutte contre le frelon asiatique

Le frelon asiatique est aujourd’hui présent sur la quasi-totalité du territoire français. Il est source de difficultés du fait de sa présence dans les zones urbanisées, mais également d’un point de vue environnemental, par la prédation qu’il exerce sur certaines espèces et notamment l’abeille domestique.

Bilan 2016

Un nombre de nids découverts en forte hausse
En 2015 et 2016, le climat lui a été très favorable, ce qui lui a permis de coloniser de nouvelles zones géographiques et de se développer sur sa zone de présence connue :

Le dispositif de surveillance régionale

Un dispositif régional de surveillance et de lutte, assuré conjointement par l’Organisme à Vocation Sanitaire animal et végétal (FRGDSi et FREDONii) a été mis en place et décliné au niveau départemental.

Aucun dispositif de piégeage sélectif et efficace n’ayant encore été mis au point, la lutte consiste principalement à repérer et détruire les nids. Elle contribue ainsi à maintenir la population de frelons asiatiques à un niveau acceptable et à garantir la sécurité des populations.

A ce titre, toute personne suspectant la présence d’un frelon asiatique sur une zone est invitée à en faire le signalement en utilisant les coordonnées ci-dessous :

 GDSA 07 : 06 08 92 26 67 / pascal.binon@orange.fr

 FREDON : 04 75 64 92 12 / fdgdon07@yahoo.fr

 GDS 07 : 04 75 64 91 85 / gds07@cmre.fr

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Merci de votre contribution au signalement de nouveaux cas éventuels !

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11 novembre 2017

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Il y a 99 ans en ce 11 novembre 1918 à 11 heures le silence revenait sur les champs de bataille. Mais quel sens avait ce silence résigné, atterrant, abattu. Sinistre après quatre année de guerre qui a laissé sur l’ensemble des champs de bataille, parce que pour un humaniste tous les morts se valent, plus de 18 millions de morts et 21 millions de blessé. Autant d’orphelins, de veuves elles aussi victimes du conflit. 6 millions de combattants sont rentrés blessés, mutilés, physiquement, amputés, défigurés, gazés. Dans tous les cas traumatisés à tout jamais.

Le courage force le respect, dans cet enfer moderne de fureur et d’acier, de front fixe où les troupes attendent terrées dans les tranchées le massacre qui viendra par la mitraille d’en face, par les airs avec une artillerie nouvelle, ou par la terre avec la guerre des mines et des sapes. _ Puis cette guerre insidieuse, celle du gaz moutarde. Rien ne leur a été épargné, jusqu’à la faim à l’issue de journées d’attentes dans d’immondes boyaux boueux qu’ils partageaient avec les rats et les épidémies.

L’année 1917 résonne avec un son particulier dans l’histoire de la Première Guerre mondiale.

C’est d’abord celui de l’entrée en guerre des États Unis d’Amérique aux côtés des alliés d’alors. 150 000 jeunes hommes du nouveau monde laisseront leur vie en 1 an et demi de combat dans l’Est de la France et en Belgique. N’oublions pas ce sacrifice d’un jeune état, qui depuis son indépendance et Lafayette, sait ce qu’il doit à la France des Lumières.

L’année 1917, c’est aussi celle où les soldats russes mettent crosse en l’air, et où les paysans et ouvriers reversent le régime féodal sous lequel ils vivent encore, quittant le champ de bataille de la première guerre mondiale.

Mais sur le front, l’année 1917 est celle du plus complet enlisement du conflit. Celle où plus que jamais l’humanité et les combattants ont perdus tous repères. Devant l’absurdité du conflit, il n’y a plus d’esprit militariste qui vaille. La réalité crue, nue, a rattrapé les soldats de tous les camps, terrassant les discours vindicatifs et guerroyant des années d’avant-guerre.

Las, les poilus ont compris que ce combat ne sert à rien et qu’ils sont réduits à l’état de chair à canon sans valeur, et à des sacrifices sans fin et sans issue. Ils ont devant les yeux et dans les cœurs les 200 000 morts du Chemin des Dames, tombés en deux mois à compter du 16 avril pour aucun résultat territorial. Attaquer, attaquer à tout prix et quel qu’en soit le coût humain. Telle est la stratégie abjecte et inefficace d’un état-major dépassé.

Malgré une concentration de moyens sans précédent, d’effectifs comme jamais, faisant appel en particulier à l’ensemble des troupes coloniales, c’est l’échec patent. La guerre ne sera gagnée que d’épuisement de l’une ou de l’autre des parties, et non de victoire en avant. Il n’y a plus d’espoir que chez les officiers supérieurs

La seule issue de ces hommes, refuser. Refuser de sortir de la tranchée. Individuellement, lorsque le désespoir pousse à se tirer une balle dans le pied, dans la main, ou à se couper les doigts pour ne plus monter au front. Ou collectivement, comme les hommes de Maupas, instituteur devenu caporal.
_« Dès que le jour de l’attaque fut connu, mes hommes avaient la résolution parfaitement arrêtée de ne pas sortir… Au moment de l’attaque, les hommes étaient démoralisés, enfouis dans la tranchée, ayant en eux-mêmes la vue des cadavres alignés devant eux… Au commandement de « En avant ! », je me tournais vers eux. Et plusieurs fois j’ai dit : « Allons mes vieux, debout ! ». Personne n’a bougé et toute l’escouade se cacha d’avantage ».
3 500 condamnations furent prononcées par les conseils de guerre : 1381 condamnations aux travaux forcés ou à de longues peines de prison et 554 condamnations à mort.

C’est là que retenti la Chanson de Craonne. Celle des mutins désespérés, disant

Adieu la vie, adieu l’amour

Adieu toutes les femmes/
C’est bien fini, c’est pour toujours

De cette guerre infâme/

C’est à Craonne sur le Plateau

Qu’on doit laisser sa peau

Car nous sommes tous condamnés/

C’est nous les sacrifiés.

Ces mutins, la France a voulu les refouler, les oublier. Aucun ou presque ne figure sur les monuments aux morts après pourtant des années de combat. Leurs veuves n’ont eu droit à aucune pension et leurs enfants ont connu les regards honteux. 100 ans après ils sont pourtant autant de lumières qui éclairent la compréhension humaine des combats, comme autant de cris de désespoirs.

100 ans après, il est nécessaire que la lucidité l’emporte et que le roman national s’efface pour laisser la place à l’histoire. Celle qui analyse, celle qui fait comprendre, pas celle qui sert tel ou tel dessin politique et usurpe son nom.

La Mémoire seule n’est pas histoire. Elle est sentiment humain et à ce titre, elle n’empêche rien et n’instruit pas. Elle doit laisser la place à l’analyse.

Cette mémoire, odieusement exploitée, a justement été l’un des puissants moteurs de la montée des fascismes dès les années 1920, nourrissant le nationalisme délétère, la poursuite de l’identité fantasmée, de la séparation et de l’opposition des peuples et de leurs prétendues racines qui ne sont que vaines chimères. L’historien lucide le sait. Tout n’est qu’échange, croisement, interaction, hybridation et diversité. C’est ainsi que les sociétés avancent depuis des millénaires, que cela plaise ou non, bien loin de fantasmatiques et prétendues guerres de civilisation dont certains nous abreuvent.

Pensons juste que cette guerre de 14-18 a eu lieu entre les héritiers de Charlemagne, et ceux de Karl der Große, dont les manuels d’histoire de part et d’autre du Rhin se disputaient l’héritage ! Triste Europe que celle qui s’oublie.

Nous le savons, la seule guerre qui vaille est celle faite à la guerre elle-même. Par la diplomatie, par le respect des peuples, par l’éducation et le développement. Cela ne signifie pas que les armes n’aient pas parfois leur place dans un champ encadré par le concert des nations, non pour dominer mais pour rétablir le calme ou séparer les belligérants. Mais seule les solutions politiques rétablissant la Paix.

Faute d’une solution politique à un conflit politique, nos poilus ont connu le désespoir dans les tranchées au cours d’une guerre qui s’est enlisée, sans perspective.

Vous dont les noms figurent gravés à tout jamais ici, savez comme Antoine de Saint-Exupéry, qui périt en 1944, que « la guerre n’est pas une aventure. La guerre est une maladie. Comme le typhus. ». Puisses nos sociétés travailler à guérir de ce mal.

Spectacle Café frappé ! par les Mobilettes

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Beau spectacle présenté vendredi soir à une 30aine de personnes venues voir la compagnie ‘les Mobilettes’ à l’auberge l’Arbre à pain. Au rythme des airs des années 50, les 3 jeunes femmes alternent séduction, danses et entraînent les spectateurs dans leur chorégraphie qui déménage et met en mouvement tables, couverts et bouteilles. Un spectacle qui a été bien apprécié autant que le buffet.

Bal folk-scène ouverte chez “Yod Kistin”.

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C’est avec beaucoup de plaisir que YOD KISTIN a accueilli le 9 décembre 2012 de nombreux musiciens en scène ouverte en ce dimanche après-midi :

  • FERNAND et ses valses à l’accordéon,
  • IRISH COM CRESUS sur des musiques irlandaises,
  • LES ARTISOUS dans un répertoire traditionnel
  • YOD KISTIN sur des thèmes bretonnants.

Les nombreux danseurs ont été comblés par la diversité des danses et ont souhaité se retrouver rapidement pour renouveler ces rencontres conviviales.

Portes ouvertes au SIDOMSA

Pour savoir ce que deviennent nos poubelles…

L’occasion de poser toutes les questions que vous avez en tête sur le traitement des ordures ménagères, le tri sélectif, le recyclage et bien d’autres sujets encore.
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Auriolles en fête

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Les habitants du hameau d’Auriolles étaient réunis pour la fête des voisins de leur quartier, organisée à l’initiative de Michèle et Claudine Dubois.

Malgré le temps maussade qui leur a imposé de se replier chez Jérémy Robert et Christine Scaillerez, la pluspart des Auriollais ont répondu présent.

Une soirée conviviale qui s’est prolongée tard, jusqu’à ce que Renée Bourdel pousse la chansonnette.

L’amitié a finalement réchauffé l’atmosphère pour le plus grand plaisir de tous.

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Au chevet du pont de Chatunat

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Le pont de Chatunat, entre La Conchy et La Farge, est un bel ouvrage, sans doute du XVIIIè siècle. A ce jour, il est en mauvais état et demande des travaux de maçonnerie importants, chiffrés à plus de 30000 € s’ils devaient être réalisés par une entreprise. Ces travaux consistent en un rejointoiement complet de l’ouvrage et une reconstruction des parapets à bonnets, très dégradés.

Lors de sa séance de février, le conseil municipal a décidé que les travaux seraient réalisés par les Ateliers de AIME, dans le cadre d’un chantier d’insertion (comme le mur du cimetière ou encore le dortoir de l’école), mais cette structure a arrêté ses activités fin mai. Il est donc nécessaire de trouver une autre solution pour ces travaux.

Faute d’intervenant dans le champ de l’insertion, la commune s’oriente donc dans une autre direction : celle des chantiers école. A ce titre, contact a été pris avec le lycée professionnel Léon Pavin, à Chomérac. Monsieur Hiroux, professeur de maçonnerie et Monsieur le Proviseur du lycée se sont donc déplacés pour voir l’ouvrage, et juger de l’intérêt pédagogique du chantier mais aussi de sa faisabilité.

Ils ont été séduits par ce pont et considèrent d’ores et déjà qu’il sera un bon support de stage, pour les BEP et des bac pro maçonnerie. Reste maintenant à finaliser le cadre de leur intervention qui pourrait se faire durant l’année 2013-2014 avec un groupe d’une quinzaine de lycéens.

La Fondation du Patrimoine intéressée.

Dans le même temps, la Fondation du Patrimoine a été contactée par la commune. Monsieur Franck de Pierrefeu, délégué départemental, est lui aussi venu visiter l’ouvrage, avant de conclure qu’une intervention de la Fondation est envisageable, au travers d’une souscription permettant de défiscaliser les dons effectués.

Tout cela reste à finaliser après avis des services de Monsieur l’Architecte des Bâtiments de France.

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Quoi de neuf sur les gaz de schiste ?

La commune s’est engagée contre l’exploitation des gaz de schiste, comme la quasi totalité des communes Ardéchoises. A ce titre, elle est membre du Collectif Stop au gaz de Schiste 07. Un arrêté municipal a été pris interdisant les forages par fracturation hydraulique sur la commune, qui a été déféré au tribunal administratif par le pétrolier Schueppbach en 2011.

Depuis quelques temps, des informations contradictoires circulent, laissant penser soit que tout est fini, soit que la porte va être réouverte aux pétroliers. Un long article publié dans La Tribune fait le point sur ce sujet, et montre que rien n’est réellement terminé, bien au contraire. Pire même, la loi interdisant la fracturation hydraulique pourrait être remise en cause. Voici cet article.

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La Tribune 4 juillet 2013

Cliquez sur l’image pour agrandir l’articledoc04621020130704134009_001-jpg

Le Préau : les travaux débutent

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Les travaux d’aménagement du bureau du Préau viennent de débuter dans la cour de la bibliothèque et vont durer deux mois. Au programme des travaux, la transformation du Préau de la cour en bureaux qui seront loués à l’association coopérative Le Préau pour y créer un espace de travail partagé.

Cinq entrepreneurs y partageront un bureau où ils mutualiseront les frais fixes liés à leur activité et un certain nombre de services communs (informatique, reprographie par exemple).

Ces bureaux, dont les travaux estimés à 85 370 €, sont subventionnés à 80 % par l’Union Européenne, l’Etat, la Région, le Département et la Communauté de communes de la Roche de Gourdon, ne coûteront rien à la commune, le loyer mensuel demandé couvrant le reste à charge local. Un lourd travail de recherche de subvention qui a été accompagné par Nicolas Dupuy, chargé de mission au Pays de l’Ardèche Méridionale, dont l’implication a permis d’obtenir le taux maximum légal d’aide.

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Quelques questions à Cédric Guénard, Président de l’association Le Préau :

– Pouvez vous définir le projet du Préau ?

« Le Préau » est né de la rencontre de plusieurs travailleurs indépendants de Saint Etienne de Boulogne, déjà installés, ou en cours d’installation. Souhaitant sortir de l’isolement lié à leurs conditions de travail, nous avons réfléchi à une alternative possible au travail à domicile qui permette également une mutualisation d’un certain nombre de moyens matériels. Notre ambition est aussi de favoriser la rencontre et l’échange entre différents professionnels, de faire émerger de nouveaux projets.
Au travers de ce projet, il s’agit de proposer un lieu de travail partagé, de rencontre et d’échange, ainsi qu’un lieu tiers entre le domicile et le travail.

– Qui participe au projet ?

A ce jour, « Le Préau » associe cinq porteurs de projets :

– « RéZonance », qui travaille pour les médias participatifs et souhaite construire une société de l’information de proximité, privilégiant les rencontres, le contact et les échanges interculturels, en favorisant l’engagement de la population et la participation démocratique au niveau local et régional.

– « Izinoui » a été créé en 2001. Société spécialisée dans la conception et la réalisation de sites internet à finalité culturelle (spectacle vivant, cinéma, etc) ainsi que la conception de visuels et de mise en page pour l’imprimerie.

– « Alice M » a pour mission de conseiller les administrations, les professionnels et principalement les particuliers en architecture intérieure et décoration. Elle a été créée par Alice Malinowski, architecte d’intérieur, diplômée CESAI et reconnue compétente par le CFAI (conseil français des architectes d’intérieur).

– « Laura Colombe » fait du montage de cinéma et travaille en télétravail comme assistante monteuse pour des longs-métrages, des documentaires et des téléfilms, le plus souvent.

– « Ségolène Lardot », intervenante en médiation artistique, propose des ateliers d’expression artistique, véritable outil de prévention de l’exclusion et d’intégration pour des personnes en souffrance et/ou en difficultés sociales.

Outre ces personnes présentes de manière fixe sur les lieux, l’espace de travail disposera de deux postes équipés pouvant être ouverts à la demande à des télétravailleurs extérieurs pour une durée allant d’une journée à minima, jusqu’à six mois. Au-delà, les télétravailleurs deviennent occupants permanents des lieux s’ils le souhaitent.

Dans tous les cas, nous sommes des actifs déjà installés ou en cours d’installation à Saint-Etienne-de-Boulogne et nous souhaitions pouvoir y pérenniser nos activités dans de bonnes conditions.

– Comment va fonctionner Le Préau ?

Les porteurs de projet se sont structurés en association afin d’assurer le fonctionnement de l’espace de co-working. C’est au travers de cette association que le bureau sera géré, ainsi que tous les services proposés aux travailleurs intégrant la structure.

L’association sera le seul interlocuteur de la commune et c’est elle qui sera locataire des locaux. Ensuite, chaque membre payera sa participation en fonction de la durée de sa présence et des services utilisés.

– Pourquoi s’être tourné vers la mairie pour ce bureau ?

Il n’y a sur la commune aucune offre de locaux professionnels de bureaux à louer. C’est donc face à cette carence de l’offre privée que nous nous sommes adressés à la collectivité. C’est aussi logique dans la mesure où il ne s’agit pas d’un projet individuel, mais d’une opération collective développant de nouveaux modes de travail. C’est d’ailleurs à ce titre que la commune et la communauté de communes ont été aidés par l’État, l’Europe, la région et le Département à un taux élevé.

Les genets d’Or en assemblée générale

Le club des aînés ruraux “Les genets d’or” tenait son assemblée générale le 25 septembre dernier.

A l’ordre du jour pour les présents, la définition du planning d’activités pour l’année à venir. D’ores et déjà, les occasions de rencontres et de festivités se multiplient.

Ainsi, le repas de fin d’année est prévu le 27 novembre à Lussas, la galette des rois le 8 janvier.

Le printemps sera marqué par un repas dansant daube au feu de bois qui aura lieu le 15 mars avec l’orchestre ” Les Antibiotiques”.

Et enfin un voyage sur deux jours aura aussi lieu, vers une destination restant à fixer.

Les membres se retrouveront cette année encore les mercredis à la salle polyvalente pour les traditionnels jeux de société, belote, scrabble, sans compter l’initiation à la pâtisserie proposée par Olivier Volle en 2014, ou encore des cours de crochet et de tricot.

Un programme bien rempli pour les mois à venir.

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La salle polyvalente à l’heure du cirque

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L’association l’Art d’en Faire organisait un stage de cirque à la salle polyvalente durant les dernières vacances scolaires. Elle a accueilli 13 enfants de 6 à 13 ans.

Durant la semaine, les enfants ont découvert ou approfondi les techniques de cirque (certains reviennent pour leur 5ème année) et ont mis en place un spectacle sur le thème d’Halloween : “la colo de la peur”. Le public, venu nombreux le vendredi pour assister à la représentation a fait un triomphe à la représentation qui associait cirque, théâtre et danse.

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De la belote pour la pétanque

photo-2-jpgLa Pétanque la Boulogne organisait son concours annuel de belote à la salle polyvalente le samedi 23 novembre au soir.

Au total, 16 équipes se sont affrontées durant une soirée fort longue, ponctuée par la succulente soupe à l’oignon mitonnée par Alfred Noblesse, qui leur a permis de reprendre des forces.

Un régime qui a bien réussi à la paire Mathias Marion et Stéphan Véron, vainqueurs du concours.

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Sur un air de Bretagne

photo2099-jpgJacques et Elisabeth Noury, de l’association Yod Kistin, ont donné rendez-vous aux danseurs dimanche après-midi à la salle polyvalente pour un bal folk.photo2100-jpg

C’est sur un air de bombarde qu’une quarantaine de personnes ont passé plusieurs heures à enchainer les ronds, les branles et autres an der noz dans une très bonne ambiance.

Merci aux organisateurs… et de quoi donner quelques idées de bals folks occitans !

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