Les aînés rassemblés

La commune organisait son repas d’hiver pour les habitants et les aînés ce week-end. En raison d’un mois de décembre bien chargé, il a été déplacé en janvier. Au programme pour les 54 personnes présentes, un bon repas concocté par l’auberge l’Arbre à pain, puis une après-midi de chanson, qui s’est terminée par la projection du film Les Chèvres de ma Mère.
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Sur un air de Fandango

Ce dimanche 20 mars, l’association « Yod Kistin » de Saint-Etienne-de-Boulogne a organisé un stage de Fandango, une danse du Pays Basque très technique et pleine de vie. Cet apprentissage rassemblant quinze stagiaires a été conduit par Perrine Privas pendant plus de deux heures. La soirée s’est terminée par un bal folk avec « Duo reflets » dans une ambiance très conviviale comme c’est l’habitude dans la commune.
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Le secourisme à l’ordre du jour

La commune de Saint-Etienne-de-Boulogne organisait le 28 mai une formation “premiers secours” pour le personnel municipal et l’enseignante de la commune. La formation a aussi été ouverte dans la limite des places disponibles aux gérants de l’auberge l’Arbre à pain et aux membres des associations.

Ont ainsi été abordés la mise en sécurité des victimes, la prise en charge des étouffements, des hémorragies ou encore des accidents cardiaques. L’usage du défibrillateur a aussi été mis en pratique.

Une formation complète qui a intéressée les participants et qui pourrait être suivie d’une autre sur l’usage des extincteurs.

Merci à Mustapha Saidou pour sa patience et sa pédagogie.
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“Je, tu elles” au village.

La prochaine séance de cinéma au village sera consacrée à un film portant sur la place des femmes dans l’agriculture et le monde rural intitulé “Je, tu, elles, femmes en agriculture”. Elle aura lieu le 23 septembre à 20 h 30 à la salle polyvalente en présence de la réalisatrice.
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Cathy est chevrière sur la montagne ardèchoise ; Julie s’installe en Drôme ; Monique a vécu la vie à la ferme au sein de sa belle famille et est maintenant retraitée ; Frédérique s’est installée seule avec deux jeunes enfants ; Claire s’est battue pour obtenir son statut d’exploitante agricole ; Guillaine se demande si elle peut s’installer seule en élevage ; toutes vivent leur activité d’agricultrice au sein d’un territoire rural où leur place de femme les questionne régulièrement.

Accompagnées par les CIVAM, elles et douze autres femmes agricultrices de la Drôme et de l’Ardèche s’autorisent durant l’hiver à faire un pas de côté ; prendre un peu de recul par rapport à leur quotidien et se poser certaines questions, plus ou moins confortables, parfois bien plus bouleversantes qu’elles n’y paraissent…

Cette aventure est à la fois une réflexion collective via la recherche action, et une introspection individuelle d’un groupe de femmes qui se questionnent, qui avancent, qui se rencontrent.

Le film retrace le projet dans ses différentes étapes, sa méthodologie et son approche innovante: ce sont les femmes participantes qui, elles-mêmes, définissent le contenu des entretiens qu’elles partent réaliser auprès de 44 autres femmes.

Entre paires, elles interrogent leurs parcours, leurs réalisations, leurs difficultés et parfois leurs combats, pour se réaliser dans ce métier.

Éclairé par la caméra d’Aurélia Étienne, ce film part à la rencontre de ces femmes et présente quelques résultats de l’étude réalisée tout au long de ce projet. Ce film de 38 minutes vous propose un regard dynamique sur l’agriculture au féminin et peut servir de support pour animer des débats sur la place des femmes en agriculture auprès de publics divers (Ex: Lycées, médiathèques, centres culturels, cafés associatifs, centres de formation agricoles, …).

Teaser Je, tu, elles par aureliaetienne

A la production : Les CIVAM de Drôme et d’Ardèche

Les Centres d’Initiatives pour Valoriser l’Agriculture et le Milieu rural (CIVAM) sont des groupes d’agriculteurs et de ruraux qui, par l’information, l’échange et la dynamique collective, innovent sur des territoires pour des campagnes vivantes et solidaires.

Avec le concours de la région Rhône-Alpes, les CIVAM de la Drôme et de l’Ardèche ont animé le projet « Place des Femmes en Agriculture » et produit ce film.

A la réalisation : Aurélia Étienne

Agronome de formation, Aurélia a travaillé auprès d’associations de paysans et de ruraux en France et à l’étranger.

Elle a réalisé 3 films documentaires depuis 2007.

2007: « Chemins de développement, rencontres et non-rencontres », un film co-réalisé avec Nicolas Bordier, tourné au Pérou et qui propose une réflexion sur les programmes de coopération au développement agricole.

2011: “Je suis là”, retrace sa rencontre avec René Chautard, paysan ardéchois de 99 ans ; lui est fasciné par ses voyages, elle par son ancrage.

2015: “Je, tu, elles… Femmes en Agriculture”.

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L’occitan à l’honneur

Durant l’été, la commune de Saint-Etienne-de-Boulogne a posé des panneaux d’entrée de village en occitan. Une installation complétée par une conférence qui vient d’avoir lieu le 9 décembre.

Bernard Salques est revenu le temps d’une soirée sur les origines de l’occitan, sur sa géographie, sur son évolution actuelle. Mais il a aussi très utilement rappelé ce qu’est une langue, comment elle naît et évolue en permanence, en lien des mouvements de populations et des influences multiples. Il a aussi fortement insisté sur l’absurdité qu’il y a à vouloir figer la langue dans une “pureté” imaginaire, comme à la régler par la Loi.

Autant de principes généraux déclinés à la naissance et à l’évolution de l’occitan, passant du statut de langue culturelle élaborée du Midi de la France actuelle à celui de langue régionale déprécié sous la domination linguistique française.

Enfin, Denis Capian, responsable de l’Institut d’Études Occitanes pour l’Ardèche a présente de nombreux ouvrages ainsi qu’une exposition sur la toponymie.

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Les renforcements électriques sont engagés

Les travaux de renforcement électrique du centre du hameau d’Auzon se terminent le 13 mars. Rendus nécessaires par l’aménagement de deux logements de plus, ils ont été conduits et financés par le Syndicat Départemental d’Énergies de l’Ardèche pour le compte de la commune.
Ce renforcement a donné l’occasion d’enfouir la ligne qui dessert le centre du hameau, améliorant ainsi la vue.

Une opération retardée par un riverain s’opposant aux travaux, mais qui se termine et qui permettra dans les prochains jours d’alimenter les nouveaux appartements, et donc aux locataires d’emménager.

D’autres travaux de renforcement ont été planifiés au Mas de Chevalier, ou à l’Escrinet. Par contre, les mesures d’affaiblissement réalisées dans le secteur du Moulin Artige n’ont pas démontré la nécessité d’y réaliser le renforcement, un temps envisagé.

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Colette Levine, peintre de La Conchy

_ Née à Paris, où elle vit, Colette travaille majoritairement dans son atelier parisien, mais elle passe quelques séjours dans sa maison en Ardèche où elle s’inspire des paysages, des lumières, ou des visages de Saint Etienne de Boulogne.

Après des études artistiques chez André Lhote (Montparnasse, 1954) puis chez Yves Hersent (La Grande Chaumière, 1956) et enfin chez Robert Lesbounit (Place des Vosges, 1960) elle entame une recherche autour du corps et de sa lumière.

Puis elle aborde le paysage et la nature dans une facture plus ouverte, plus colorée où les frontières entre le figuratif et l’abstraction disparaissent, laissant la couleur et le trait s’exprimer de façon plus éclatée. Elle utilise plusieurs techniques : fusain, sanguine, pastel, huile.

On la sollicite pour de nombreuses expositions en France et à l’Etranger ; et ses toiles demeurent en permanence dans plusieurs galeries.

Exposition d’une vingtaine de ses tableaux en mairie toute la semaine du 07 au 11 août 2017 inclus.

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http://www.colette-levine.com/index.html

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Débroussaillage et châtaignes à La Conchy

Les habitants de La Conchy se sont retrouvés pour une matinée débroussaillement des chemins autour du hameau. En particulier, ils sont intervenus sur le chemin des Richards à Maumalle ouvert l’année dernière.

Une intervention citoyenne qui permettra aux promeneurs de découvrir de nouveaux secteurs de balade.

La matinée s’est terminée par une sympathique castagnade sur la place du hameau.

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” Boudin et chansons ” à l’auberge l’Arbre à pain

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Boudin et chansons à l’Arbre à pain vendredi 19 avril… Non, il ne s’agissait pas d’une soirée cochonaille en musique, mais du spectacle de Sara Amari, alias Selma Dolorès, et de Anne-Fleur Inizan, alias Fleur, toutes deux Belges. Tout un programme quand même, à notre époque morne où les yaourts hypocaloriques et anxiogènes squattent les rayons de nos réfrigérateurs.

« Boudin & Chansons » entament à Saint-Etienne une croisade pour rétablir le cochon avec les honneurs dus à son rang. C’est ainsi que débutent les folles aventures de Fleur et Selma Dolorès, nos deux justicières de l’andouille, amies de la Confrérie des Goûte-Boudins, le tout sous la forme d’un spectacle musical humoristique.

Non contentes de lancer un cri d’amour à la gloire de la charcuterie, des rillettes et des côtelettes, « Boudin & Chansons » profite aussi de cette clameur pour régler ses comptes avec la gent masculine en particulier, et avec les hommes en général.

Fleur, la mezzo-soprano, chante de sa voix cristalline, tout en jouant sur son piano à bretelles, tandis que Selma Dolorès l’accompagne de sa voix rauque et de son hachoir !

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Pour plus de propreté

Les abords de la route de l’Escrinet se transforment souvent en véritables poubelles, avec moult déchets jetés par les fenêtres de voitures. Il suffit de faire quelques mètres à pied dans le caniveau pour constater le nombre de déchets jetés : sacs plastiques, paquets de cigarettes vides, canettes et bouteilles, sacs et emballage Mac Donald, etc… Lamentable !

Mais les différents délaissés routiers et autres sections abandonnées se transforment aussi vite en décharges sauvages. Le délaissé sur lequel se situe le réservoir d’eau communal le long de la RD 104 n’échappe pas à la règle : dépôt de gravât, de plaques de plâtres, de branches, voir poubelles y fleurissent souvent. Une plainte a d’ailleurs été déposée il y a quelques années contre une entreprise de maçonnerie qui a vidé un plein camion de démolition, et qui a été identifiée. Elle est venue recharger ses déchets pour les conduire en décharge agréée et a payé une solide amende !

photo1565-jpgPour se protéger de cela, une chaîne avait été mise en place, mais elle n’a pas tenu longtemps. Pour faire plus solide, une barrière basculante a été posée, fermée par un cadenas. En espérant que cela permettra de conserver les lieux plus propres…

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Elections cantonales de 2008

1er tour

269 électeurs inscrits

222 votants

217 suffrages exprimés).

  • Georges FANGIER (PS), 105 voix, 48,39 %
  • Bernard PERRIER (DVD), 66 voix, 30,41 %
  • Guillaume VERMOREL, (EELV) 21 voix, 9,68%
  • Mireille PONTON (PC), 15 voix, 6,91 %
  • Georges RIOUAL (FN), 10 voix, 4,61 %

2ème tour

269 électeurs inscrits

190 votants

179 suffrages exprimés

  • Georges FANGIER (PS), 112 voix, 62,57 %
  • Bernard PERRIER (DVD), 67 voix, 37,43 %

L’école au Moulin de Mandy

mandy-jpgTout au long de l’année, les enfants de l’école de Saint-Etienne ont travaillé autour du thème du pain. Olivier Volle, boulanger en retraite, est venu leur expliquer comment on pétrit et cuit le pain, puis ils ont planté du blé dans la cour de récréation.

Mais ce mardi, ils sont allés plus loin, jusqu’au Moulin de Mandy, à Pranles.
Accueillis sur le site par une animatrice qui leur a fait découvrir les différents blés, ils ont ensuite visité le moulin à eau et son four, avant de poursuivre par une promenade vers la béalière qui alimente la roue.

Les enfants ont ainsi vu le travail et la technicité de nos ancêtres, entendu le chant et le voyage de l’eau, senti l’odeur du blé et de la farine, touché et apprécié la douceur de la mouture, goûté le pain au levain tout juste sorti du four à bois.

Une journée qui leur laissera un excellent souvenir.

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La cloche de Pramailhet sonne à nouveau

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Descendue pour réparation il y a trois semaines, la cloche de la chapelle de Pramailhet vient d’être reposée. Le mouton en bois qui la tenait était en très mauvais état et constituait un risque bien réel de chute de la cloche. C’est pour cela qu’il a été refait à neuf en acier. Cloche refixée, il vient d’être ressoudé dans le campanile en fer forgé.

L’occasion aussi de traiter le campanile à l’antirouille et de le repeindre, tout en rénovant l’étanchéité de ses pieds au niveau de la toiture.

Un travail inhabituel par la hauteur des lieux réalisé par l’entreprise VD Métal Service, le cantonnier de la commune et la commission des travaux.

La cloche sera donc prête à teinter en sécurité pour le pèlerinage annuel de septembre.

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Procédure d’agrément pour les sources

Les sources alimentant le réseau d’eau potable doivent faire l’objet d’une procédure d’agrément. Cette procédure, qui existe depuis le début des années 1980, n’a pas encore été réalisée pour toutes les sources. Les premières procédures ont été lancées en 2004, avec la source des Traverses nouvellement acquise. Restait à résorber le retard en la matière. Étant donné le coût de ces procédures et leur longueur, il n’est pas possible d’en réaliser plus d’une ou deux tous les trois ou quatre ans.

C’est maintenant au tour des sources alimentant Auzon, et de la source Issartoux, alimentant le réseau principal et Auriolles.

Chaque procédure de mise en conformité suit un déroulé précis qui passe par la désignation d’un hydrogéologue agréé par les services de l’Etat, puis par la remise d’un rapport par ce dernier, avant que le Préfet ne déclare d’utilité publique la source et l’agrée. L’hydrogéologue définit les conditions d’utilisation de la source en fonction de sa vulnérabilité aux pollutions, heureusement faible ou très faible chez nous. Il détaille aussi les aménagements à réaliser sur chaque source pour optimiser son captage et la qualité des eaux.

Cette étude débouche sur un programme de travaux, subventionné à 80 % par le Conseil Général et l’Agence de l’Eau, permettant de remettre à niveau des captages anciens et parfois en mauvais état.

La visite détaillée de l’hydrogéologue et des services de l’Etat accompagnés de la commission municipale des eaux vient d’avoir lieu sur chaque source : au programme, analyse de l’eau, examen des sources elles-mêmes et des ouvrages de captage, de leur environnement, mesures de débit, observation des roches par exemple.
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Le téléthon se prépare

img_4531-jpgL’association du Téléthon des Deux Vallées qui regroupe les communes des vallées de l’Ouvèze et de la Payre, plus Saint-Etienne-de-Boulogne se réunissait à la salle polyvalente à l’invitation de Ginette Coste.

Au programme de la rencontre pour la quarantaine de participants, l’organisation de la prochaine édition de cette manifestation les 6 et 7 décembre 2013. Chaque association partenaire dans chaque commune a ainsi pu présenter les festivités envisagées et échanger sur leur organisation.

En ce qui concerne Saint-Etienne-de-Boulogne, Ginette Coste et les membres de la gym La Boulognette ont pu présenter leur programme en présence du Maire et du second adjoint de la commune.img_4534-jpg

Dès le 6 un stand de vente se tiendra sur la place du village à partie de 16 h suivi d’une soirée musicale avec le groupe “La clef des champs” (chansons françaises des années 60 à 80).

Le samedi 7 sera consacré à divers stands et à une marche en direction de la Roche de Gourdon.

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Divagation de bétail

lecteurpucesreduit-jpgIl n’est pas rare que du bétail se trouve en état de divagation sur la commune. S’il n’y a maintenant que rarement des bovins, c’est encore trop souvent le cas d’équidés que l’on retrouve dans les champs des voisins, dans les jardins, ou plus gênant sur les routes. A chaque fois, s’en suit une recherche des propriétaires et un déplacement pour tenter de bloquer les bêtes.

Mais depuis 12 jours, c’est une jeune ânesse qui a été attrapée alors qu’elle divaguait au quartier d’Arbres, puis mise dans un pré. Douce et affectueuse, elle recherche le contact humain, mais depuis, personne ne s’est manifesté, et les recherches des mairies de Saint-Etienne et Saint-Michel sont restées infructueuses. Sa puce électronique lue par un vétérinaire permet de savoir qu’elle s’appelle Gribouille et qu’elle est de 2004.

Force a donc été de prévenir la Direction des Services Vétérinaires puis de prendre un arrêté de mise en séquestre de l’animal. A charge pour le propriétaire de se manifester en mairie pour récupérer son animal. Il aura alors à s’acquitter d’une amende pour divagation de bétail pendant au moins 12 jours, et éventuellement pour non déclaration de stationnement d’équidés aux Haras Nationaux.

Au final, une lourde somme à payer pour le propriétaire indélicat. S’il ne se manifeste pas dans les jours qui viennent, l’animal lui sera confisqué et remis à une association de protection animale ainsi que le prévoit le Code Rural.

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Que la lumière soit !

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Depuis un mois, des travaux importants sont engagés sur le réseau d’éclairage public. Certains auront pu remarquer des camions nacelles permettant de changer les lampes les plus anciennes et de modifier les armoires de commande. Sur la place du village, des lampes “de style” remplacent même les vieux candélabres routiers.luminaire-de-style-cilla-94486-jpg

Cette opération se terminera début janvier. Conduite avec le Syndicat Départemental d’Energies de l’Ardèche (SDE 07) et l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME), elle vise à améliorer les performances énergétiques de l’éclairage public grâce à la pose de lampes de nouvelle technologie, et à la dépose de quelques candélabres peu utiles, qui seront soit totalement supprimés, soit déplacés ou réorientés.

D’un coût total de 23000 €, cette opération est prise en charge à 80 % par le SDE 07 et l’ADEME. Par ailleurs, l’économie réalisée sera de plus de 70 % de la consommation actuelle, sans compter sur les économies supplémentaires qui découleront d’une extinction en nuit profonde (de 23 h à 6 h environ, les horaires n’étant pas encore définis, et modulés en fonction des saisons).

Pour mémoire, le coût de fonctionnement électrique de l’éclairage public est de 2500 € par an environ à ce jour, facture divisée par quatre à compter de la mise en service complète des modifications apportées.

Et le tout sans compter les économies de production d’énergie, et donc d’émission de CO2, puissant gaz à effet de serre.

Une opération qui est donc tout à la fois bonne pour le budget communal et pour l’environnement.

Pour une présentation complète du projet d’économies d’énergies

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Le local technique réaménagé

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Le local technique communal est situé sous l’école. Il sert de rangement pour l’ensemble de l’outillage du cantonnier.

Jusqu’à présent, son sol était en terre battue et des entrées d’eau arrivaient parfois lors des fortes pluies. Très humide, il a été drainé et une dalle a été coulée pour plus de propreté.

Cette opération se double par la mise en place de nouvelles fermetures, fenêtre et portail, qui permettront de mieux isoler le local et de le rendre moins humide.

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