
Les sangliers qui prolifèrent sont à l’origine de nombreux dégâts aux cultures, mais aussi aux terrains des particuliers et aux jardins.
Plusieurs secteurs sont touchés, dont le Serre de l’Eglise, avec des terrains fougés jusqu’à l’entrée du village. Afin de tenter d’endiguer cette prolifération sur le secteur, une battue administrative a été organisée samedi dernier justement au Serre de l’Eglise.
Malgré la présence de nombreux chasseurs et d’un lieutenant de louvèterie, seule une mère et ses marcassins a pu être levée, mais elle a réussit à s’échapper sans être tirée.

Déchetteries : la semaine des DEEE !
Que se cache-t-il derrière ce nom barbare de DEEE ? les Déchets d’Equipements Electriques et Electroniques.
Autant dire des concentrés de produits chimiques et de métaux lourds très contaminants pour l’environnement : argent, or, palladium, cuivre, indium, aluminium, plomb, zinc, platine, arsenic, mercure, cadmium, lithium, etc.
Du téléphone portable au lave-linge en passant par l’ordinateur, les outils et les jouets, chaque appareil électrique et électronique bénéficie d’une prise en charge en fin de vie grâce à la mise en place d’un Eco-organisme au niveau national.
Lors de l’achat d’un nouvel appareil, nous payons une éco-participation allant de quelques centimes à quelques euros pour financer la collecte et le traitement d’un ancien appareil, dans des conditions environnementales contrôlées.
Grâce au partenariat qui lie le SIDOMSA avec l’éco-organisme Eco-systèmes vous pouvez déposer vos appareils usagés en déchetterie.
En 2012, 50 633 appareils ont été collectés dans les déchetteries du SIDOMSA, représentant environ 7 kg par an et par habitant. Ces DEEE ainsi collectés sont acheminés depuis les déchetteries vers des sites de traitement pour y être dépollués, puis recyclés. Le traitement de ces déchets permet d’obtenir des matières premières secondaires (métaux, plastique, verre, etc.) essentielles pour économiser les ressources naturelles de notre planète.
Ainsi, le recyclage des DEEE collectés sur le territoire du SIDOMSA en 2012 a permis d’éviter l’émission de 282 tonnes de CO² par rapport à la production de métaux à partir de la matière vierge.
La semaine des DEEE.
Pour toutes ces raisons et pour poursuivre les efforts qui sont faits sur notre territoire, la semaine du 14 au 19 octobre 2013 sera placée sous le signe des DEEE dans nos déchetteries, où nous vous invitons à venir déposer vos appareils électriques et électroniques usagés en déchetterie, à Labégude ou Saint-Etienne-de-Fontbellon.
Travaux d’adduction en eau potable au Taupenas

Alors que la conduite d’alimentation en eau potable du réseau principal de la commune a été changée cet été entre Le Village et Les Gouzis, restait encore dans le secteur à changer l’antenne qui dessert le cente du hameau du Taupenas.
Les travaux viennent de débuter dans la ruelle étroite. Réalisés à la minipelle étant donné l’exiguïté des lieux, ils devraient durer une quinzaine de jours.
Cette tranche de travaux vient clore les chantiers prévus dans le cadre de l’appel à projet “économie d’eau” auquel la commune a répondu et été sélectionnée.
De la sorte, toute la partie en aval du village de même que l’essentiel de la partie située en amont entre le réservoir et la place, aura été changé, les conduites les plus anciennes datant des années 1930.
Le choix de gérer le réseau comme un service public sans délégation coûteuse à une société privée permet de type d’investissements lourds tout en maintenant le prix de l’eau à un niveau plus raisonnable que dans d’autres secteurs du département.
Travaux d’assainissement à la mairie
L’atelier du cantonnier était très humide, avec des entrées d’eau lors des pluies importantes. De même, le dortoir de l’école situé juste à coté était aussi humide au moment des fortes pluies.
Afin de remédier à cela, un drain vient d’être réalisé dans la cour de la bibliothèque, avec décaissement, pose d’une grille de collecte des eaux de pluie, goudronnage de la base du mur et enduit d’étanchéité soigné. Une dépense totale de 2 500 € pour un chantier confié à l’entreprise Laville après consultation conformément au Code des Marchés Publics.
La prochaine étape sera la réalisation d’une chape propre dans l’atelier afin de finir d’assainir les lieux.
Une histoire sans fin

Les pluies des derniers jours de l’année n’ont encore une fois pas épargné le réseau des chemins ruraux et des voies communales : glissements de talus, ornières, affaissement de parapet de pont ont été au rendez-vous.
Cette fois encore, comme en novembre dernier, les dommages ne sont pas négligeables et ont imposé diverses interventions à réaliser dans l’urgence à la minipelle juste à la veille du réveillon sur plusieurs secteurs.
En la matière, 2013 a sans doute été la pire année depuis 2007…
La Pétanque en assemblée générale

L’association de pétanque de Saint-Etienne, La Boulogne, vient de tenir son assemblée générale annuelle. La forte participation témoigne de la bonne santé de l’association présidée par Sébastien Goulard.
L’occasion pour les membres d’évoquer le programme de l’année qui vient, avec plusieurs concours dont le Challenge Martaresche qui aura lieu en juin, et le Maître Joueur du 1er mai. Mais il fut aussi question de voyages au National de Millau par exemple, et d’organisation de rencontres amicales les vendredis de l’été.
L’assemblée générale a aussi été marquée par la reconduite du bureau sortant, avec Sébastien Goulard comme président, Cédric Guénard comme secrétaire et Christophe Coulomb comme trésorier.
Une année à venir qui s’annonce sous les meilleurs hospices.
Le camion à histoires s’arrête à Saint-Etienne
Le dernier jour de classe avant les vacances d’hiver, le “Camion à histoires” faisait relâche à Saint-Etienne, à l’invitation de l’Amicale Laïque et de la Commune, sur une proposition de Cécile Gustinelli.
Un camion pompier, repris en main par Dominique Lardenois, metteur en scène de théâtre et directeur du théâtre de Privas.
A l’intérieur, on entre dans une petite salle de spectacle où l’on se met à l’aise, chaussures et manteaux retirés, et on ouvre grand les yeux, les oreilles et tous ses sens pour aller, sur un chemin de papier, comme le dit joliment Nadine Demange, la conteuse, s’approprier l’histoire de « Terrible » le loup qui faisait peur à tout le monde parce qu’il ne savait pas aimer, racontée dans un beau livre d’Alain Serres, illustré par Bruno Heitz.
Des moyens techniques très simples, quelques marionnettes, des images du livre projetées, et voici les petits à l’intérieur même de cette adaptation théâtrale du livre, car surtout à l’ère du numérique, l’objet-livre est un support privilégié pour développer l’imaginaire et instaurer un dialogue enfants-adultes.
L’histoire du loup Terrible et de sa famille leur a été contée, puis ils sont repartis avec l’album de Terrible d’Alain Serres, et une poupée “tracas” du Guatemala à qui on peut confier toutes ses peurs et tous ses secrets.
Et surtout, des enfants qui sont sortis émerveillés de leur visite…
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Travaux de printemps sur la voirie

Avec les premiers jours de beau temps, le cantonnier s’active sur les chemins et les routes de la commune pour effacer les traces de l’hiver.
Pas moins de quatre tonnes d’enrobé ont été étendues à la main pour boucher les nids de poules et cassures du revêtement sur les routes goudronnées en attendant les travaux effectués par une entreprise, qui interviendront en été.
Sur les chemins ruraux, plusieurs interventions urgentes ont eu lieu au moment même des pluies sur les pistes les plus dégradées et qui servent souvent. Cependant, restaient à traiter celles qui, moins fréquentées ou plus abîmées n’avaient pu faire l’objet d’un entretien immédiat. L’occasion aussi de complètement terminer les travaux entamés dans l’urgence. Des terrassements ont ainsi eu lieu à la mini-pelle sur les chemins des Gras, du Serre de l’Eglise, du Vernadel, du Col d’Auzon et du col de Valaurie.
Sur les chemins communaux

Parmi les travaux que le cantonnier de la commune doit régulièrement effectuer, l’entretien des murs de soutènement des routes n’est pas l’un des moindre : avec plus de 40 kilomètres de routes et de chemins, il est fréquent que les pluies malmènes ces constructions bien utiles, surtout en fin d’hiver et au printemps.
Il vient de consacrer deux semaines de son temps pour consolider plusieurs murs dont la fragilité voir l’éboulement risquaient de compromettre la tenue des chemins.
Les aînés en assemblée générale
Les aînés ruraux de Saint-Etienne-de-Boulogne tenaient leur assemblée générale mercredi 03 décembre 2014.
L’occasion pour eux de revenir sur une année d’activités bien remplie en rencontres, en animations et en voyages. Un bilan satisfaisant à mettre au crédit de l’ensemble des membres actifs et du bureau conduit par le président Jean Vincent. Ce dernier a d’ailleurs été reconduit dans ses fonctions de même que l’ensemble des autres membres du bureau.
Les activités de l’année prochaine ont aussi été évoquées et seront prochainement proposées aux membres.
Souhaitons une bonne continuation aux aînés de la commune.
Sylvie Van Haeken expose à la Mairie
Sylvie Van Haeken expose durant tout le mois de février à la Mairie de Saint-Etienne…
A nouvelle exposition, nouvelle forme de création, nouvelle technique, nouveau support à découvrir.
Des masques, des lunes et des soleils… de drôles de visages malicieux, éclairés de grands yeux verts ou bleus. Les mêmes yeux que ceux de Sylvie, animés, étonnés, curieux et enjoués. La résonance, la connivence entre tous ces regards donnent à cet atelier une ambiance joyeuse et colorée, presque enfantine. « Depuis plus de 20 ans que je travaille la terre, je n’ai qu’une idée, qu’une envie : lui donner un visage ! »
Écrasée, aplatie, l’argile ou la terre de grès devient le support d’un dessin mis en relief au couteau. Après cuisson, chaque pièce est émaillée pour un rendu aux couleurs vives. La craquelure vient ensuite, révélée par de l’encre de Chine. Ces sculptures une fois encadrées s’apparentent à des tableaux jouant sur le contraste entre les techniques. Ni totalement céramique, ni totalement tableau !
Séverine Falcoz expose à la mairie
Les céramiques de Sylvie Van Haeken ont laissé la place aux photographies de Séverine Falcoz.
Cette dernière, autodidacte, est passionnée par la photographie depuis une quinzaine d’années, et en particulier par la photo de nature. Macrophotographies et gros plans de végétaux ou d’insectes n’ont plus de secrets pour elle. Jouant sur les formes et les couleurs, elle fait découvrir ou redécouvrir ce qu’on ne sait plus regarder au quotidien et qui finalement offre un spectacle ordinaire mais non moins remarquable.

Transport à la demande : nouveaux horaires
La commune de Saint-Etienne est desservie par le transport à la demande de la communauté de communes du Pays d’AUbenas-Vals et du Département.
Depuis le 1er juin, de nouveaux horaires plus pratiques sont entrés en vigueur.
Un service est créé le mercredi après midi, tandis que les horaires du samedi sont décalés afin de permettre de disposer de plus de temps à Aubenas, le service du mardi restant inchangé.

Les Salmonelles à l’auberge
Les Salmonelles à l’auberge ! Non, ne prenez pas peur : aucun souci d’hygiène en vue, vous pouvez venir y manger sans crainte. Pour ceux qui auraient oublié qu’il y a un restaurant à Saint-Etienne, et bon en plus…
Il y avait tout simplement affluence dans une très bonne ambiance à l’Arbre à pain le vendredi 4 au soir pour le concert des Salmonelles. Le groupe, emmené par Michel Faure, de Saint-Pierreville a su mettre une très bonne ambiance avec son “Rock-Acoustico-Bacterien-Engagé” tout à la fois dansant et entraînant.



Exposition : Vincent Debonne – photographe
_ Vincent Debonne prend le parti de nous révéler ce qu’il y a de beau et de sensible dans notre quotidien architectural qui peut nous sembler triste et monotone, auquel nous ne prêtons plus attention.
Il aime partager l’émotion, la poésie, la sensibilité qui en ressort.
Il n’a pas la prétention de vouloir bouleverser les codes, mais il espère juste inspirer les autres par son travail.
Pari réussi ? A vous de laisser travailler votre imagination…
http://www.vincentdebonne.fr/

«sans titre»

«rivière de diamants»
Une chaufferie à bois à la Mairie : le projet avance
Le conseil municipal a décidé de changer de mode de chauffage pour le bâtiment de la mairie, de l’école et de la bibliothèque. A l’heure actuelle, il est chauffé à l’électricité, ce qui est coûteux, inconfortable et peu respectueux de l’environnement.
Il y a une dizaine d’années, une réflexion avait été engagée pour installer une chaufferie à bois déchiqueté, mais cette piste n’avait pas été poursuivie devant les contraintes liées au lieux (impossibilité d’assurer un bon emplacement pour le silo de plaquettes).
Aujourd’hui, les techniques ont considérablement évoluées et permettent de rouvrir le dossier en s’orientant vers une chaufferie à bois granulés diffusant sur un réseau de chauffage central. L’association Polénergie a été missionnée pour accompagner la commune à ce sujet.
La chaufferie serait implantée dans la cour de la bibliothèque dans un petit local construit à cet effet. Ce système permettrait de réduire considérablement la facture énergétique, et d’assurer une meilleure régulation du chauffage, tout en mobilisant une source d’énergie produite dans la région et non au bout du monde.
Ce projet s’inscrit aussi de manière concrète dans la démarche “Territoire à énergie positive” (TEPOS) engagée par la communauté de communes du Pays d’Aubenas-Vals qui devrait permettre de mobiliser des subventions complémentaires à celles de la Région et du Département.
Une visite de terrain
Afin de voir une telle chaudière en fonctionnement et de rencontrer des utilisateurs pour connaître les points forts et les faiblesses de la technique, la commission des travaux s’est rendue à Lablachère. Au programme, la visite de l’installation qui chauffe la Maison de l’Enfance et de la Jeunesse aménagée par la communauté de communes du Pays Beaume-Drobie. Reçus par Valentine Dal Fiume, en charge de la gestion du bâtiment, les élus de Saint-Etienne ont été surpris par la compacité et la simplicité de l’installation, tout comme par sa fiabilité.
Le projet technique sera donc poursuivi dans la perspective d’une mise en service pour l’hiver 2016-2017.

Pendant la visite

Sur un pas de danse
Il y avait affluence samedi 9 avril à la salle polyvalente de Saint-Etienne-de-Boulogne à l’occasion du repas dansant organisé par les Genets d’Or. _ Le repas daube au feu de bois a attiré plus d’une centaine de convives avant que l’après-midi se prolonge en musique sur un pas de danse.
Une belle réussite à mettre au crédit du nouveau bureau de l’association et de sa présidente Nicole Lagier qui a succédé à Jean Vincent lors de la dernière assemblée générale, en compagnie de Jean-Pierre Pélissier, secrétaire et de Marie Cogez, nouvelle trésorière.


La chasse en assemblée générale
L’association de chasse de Saint-Etienne-de-Boulogne vient de tenir son AG le 3 juin. Au programme pour les chasseurs de la commune, un bilan de la saison 2015-2016 et bien entendu la préparation de la saison 2016-2017.
L’année écoulée s’est passée dans de très bonnes conditions, avec 72 membres au total, qui ont cumulé un tableau de chasse de 144 sangliers, 11 renards et 24 chevreuils.
Si le tableau de chasse est bon, les comptes le sont aussi puisque l’exercice écoulé s’est terminé à l’équilibre après trois années déficitaires. En cause, la baisse des dégâts de sangliers indemnisés.
Pour finir, l’organisation des trois équipes de chasse au grand gibier a été débattue, ainsi que leurs territoires respectifs et leur accès à la réserve de chasse.
Pour finir, le bureau a été reconduit à l’exception de Roger Bosio, remplacé par Noël Coulomb, Gérard Coste demeurant président, Jean-Claude Dubois secrétaire et Jean-Guy Chazalon trésorier.


Grand ménage à la salle polyvalente
Les utilisateurs associatifs de la salle polyvalente assurent le ménage régulier après chacune de leur rencontre, de même que lors des locations privées. Un état des lieux avant et après est d’ailleurs dressé et annexé au contrat.
Cependant, malgré ce suivi régulier, un grand ménage s’imposait afin de laver en profondeur vitres, filtres de la hotte aspirante, ou encore électroménager et sols derrière les éléments de cuisine. Deux solutions ont été proposées aux associations communales qui utilisent la salle gratuitement : assurer ce ménage approfondi elles-mêmes dans le cadre d’une journée citoyenne, ou prendre sur les sommes allouées à leurs subventions communales pour payer une entreprise de nettoyage. Cette dernière solution a été retenue à l’unanimité des associations.
L’opération confiée à une société de nettoyage vient d’avoir lieu pour redonner du lustre à la salle utilisée quasiment tous les jours de la semaine.
Une salle utilisée gratuitement, mais des réservations impératives…
L’occasion aussi de rappeler aux associations qui utilisent la salle gratuitement sans limite de fréquence, qu’elles ne sont toutefois pas dispensées de signaler en Mairie leurs dates d’activités, reprises de séances, ou encore évènement particulier. A ce sujet, une fiche de réservation est à remplir en Mairie et sans le retour de ce document au secrétariat, la salle ne peut être considérée comme réservée.
Les étudiants à la campagne
Un groupe d’une quinzaine d’étudiants en master de géographie de l’université Lyon 2 a passé la journée du 11 janvier à Saint-Etienne-de-Boulogne.
Au programme de ce groupe conduit par Agnès Bonnaud, maître de conférence en géographie, des rencontres sur le thème du développement local.
Ils ont ainsi passé la journée avec Franck Brechon, maire de Saint-Etienne-de-Boulogne et Nathalie Mallet-Torrès, maire de Saint-Etienne-de-Serre pour évoquer l’intercommunalité, les projets de leurs communes respectives, ou encore les perspectives de développement et le portage de projet en zone rurale.
Ils ont aussi rencontré à titre d’illustration Thierry Malinski, de l’auberge communale l’Arbre à pain, ou encore des membres de l’espace de co-working Le Préau, ainsi que la présidente de la recyclerie Trimaran, à Privas.
Un stage de terrain qui se poursuit en sud Ardèche par plusieurs autres rencontres avec le monde agricole, ou encore des acteurs culturels, sociaux et économiques durant trois jours.
L’occasion pour les étudiants d’aborder des cas concrets de réalisations locales afin d’en peser les atouts, les faiblesses, ainsi que les facteurs de réussite ou d’échec.












































































