Un cours de NIA

_ Pascale Foucault (de Barjac) proposait Samedi 28 septembre à la salle polyvalente de St Etienne de Boulogne un cours de NIA, et ce pendant une bonne heure et demi ! Quelques “sportives” ont répondu présentes pour la deuxième fois et comptent bien remettre cela la prochaine fois !

Le Nia s’inspire des mouvements et concepts des arts martiaux, des arts de la danse et d’autres approches corporelles (yoga…). La pratique du Nia permet de développer la force, la flexibilité, la mobilité, l’agilité et la stabilité.

A partir de chorégraphies simples et ludiques, cette approche nous apprend à bouger d’abord pour soi, pour le bien-être et le plaisir que cela procure, plutôt qu’en fonction d’un esthétisme ou d’un idéal à atteindre. Les mouvements sont innovants, offrant de grandes plages de liberté et d’expressivité personnelle, et les chorégraphies sont réalisées sur une musique à la fois stimulante et agréable. C’est tonique, ludique et l’effet relaxant est garanti !

En cours, chacun est libre d’accentuer ou de diminuer le rythme, l’intensité ou encore l’amplitude des gestes et des déplacements, sans jugement, sans comparaison ni compétition, juste en suivant son intuition et son inspiration. Chacun peut à tout moment adapter sa pratique en fonction de sa forme, de ses possibilités et de ses motivations.

Tout cela dans une ambiance détendue, rires et sourires au programme…

Vous pourrez d’ailleurs venir le vérifier par vous-mêmes lors du prochain cours qui aura lieu le 19 octobre prochain à 14h30.

Prévoir une tenue adaptée aux pratiques sportives (le NIA peut se pratiquer pieds nus ou en ballerines, chaussettes antidérapantes…), une bouteille d’eau et si possible un tapis de sol pour les étirements.

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Nouvel article

visite_prefet-jpgLa châtaigne, le trésor d’automne de l’Ardèche. C’est l’ensemble de la filière que Bernard Gonzalez, préfet, est venu découvrir dans le Sud-Ardèche. La première étape était une halte chez Pascale Augstein, castanéïcultrice à Saint-Étienne-de-Boulogne depuis treize ans.

Durant plus d’une heure, avec passion, elle a présenté son travail, les investissements réalisés, la réintroduction du marron vincent, une variété ancienne et peu courante. Elle a aussi évoqué son désarroi face aux voleurs, parfois très bien organisés et qui viennent de nuit, et aux dégâts causés par les sangliers.

Les membres du syndicat de défense de la châtaigne d’Ardèche sont également revenus sur les maladies (encre ou cynips) qui touchent les vergers et qui impactent les productions.

La filière se porte bien mais…

« Planter aujourd’hui, c’est créer une culture pour la génération suivante. C’est pourquoi, en parallèle, la chambre d’agriculture et le parc naturel régional mènent une opération de reconquête de l’existant », explique Jean-Luc Flaugère, président de la chambre. L’exploitante confirme : « C’est un investissement à très long terme ». « Seul un quart des arbres greffés arrivent en production », souligne de son côté Daniel Vernol, président du syndicat de défense de la châtaigne. Mais tous d’assurer : « La châtaigne est un fruit d’avenir ».

Après la découverte de la production de la châtaigne, la suite de la visite a porté sur le conditionnement et la transformation. Christophe Sabaton, président du comité interprofessionnel de la châtaigne d’Ardèche, rappelle que « la filière se porte bien », « que l’AOC a attiré du monde » mais que les problèmes d’approvisionnement vont apparaître à cause du cynips et des changements climatiques.

Ensuite, le préfet de l’Ardèche a découvert le calibrage et le conditionnement de la châtaigne. La coopérative, qui compte 300 adhérents, emploie huit salariés permanents et traite 1 800 tonnes de châtaignes par an, ce qui représente 75 % de son activité.

Durant une après-midi, le préfet a donc pris le pouls d’une filière importante pour le département et de la situation paradoxale dans laquelle elle se trouve.

Le règlement architectural approuvé

logocaue-gifLa commune est soucieuse de garantir autant que faire se peut la qualité architecturale des nouvelles constructions comme des rénovations. Pourtant, la règlementation dans laquelle s’inscrit l’examen des permis de construire ne permet pas d’être assez précis pour émettre un avis juridiquement fondé sur certaines demandes.

Jusqu’à présent, il était difficile de faire prévaloir un avis négatif de la commune basé sur l’aspect architectural du bâtiment : les services de l’État qui instruisent et délivrent les autorisations refusaient de prendre en compte ces avis négatifs car non fondés sur un règlement local.

Pour éviter cette situation et afin de définir le cadre de ce qui est souhaité ou pas, la commune a décidé l’année dernière de réaliser un cahier de prescriptions architecturales. Ce travail a été confié au CAUE de l’Ardèche, qui vient de rendre son rapport.

Sur huit pages, le règlement détaille successivement de manière claire et pédagogique :

 l’implantation de la construction sur la parcelle ;

 l’adaptation de la construction à la pente ;

 les soutènements ;

 les volumes des bâtiments ;

 les toitures ;

 les éléments architecturaux ;

 les ouvertures ;

 les clôtures ;

 les enduits.

Télécharger le règlement architectural.recommandations_haute_ceven-jpg

Ce cahier décline au niveau local les règles de bonne construction définies à l’échelle du Parc Naturel Régional des Monts d’Ardèche.

Ce document a été approuvé lors du conseil municipal du 8 novembre 2013. Il permettra à tous de savoir ce qui est permis ou pas, et d’éviter ainsi des erreurs architecturales flagrantes, ou des complications dans l’instruction des permis de construire.

A l’avenir ce cahier architectural complètera donc la carte communale en précisant comment construire.

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Aides à l’élagage des châtaigniers

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Reconquérir 8000 ha de châtaigneraies

Avec 5000 tonnes de châtaignes produites, l’Ardèche est le premier département producteur de France. Cependant la production de châtaignes n’est pas suffisante face à la demande croissante des transformateurs et donc des consommateurs. Le programme de reconquête vise à combler le déficit de production estimé par les industriels du secteur à environ 2000 tonnes pour l’Ardèche. Et si le châtaignier est un arbre fruitier, l’intérêt de son bois, notamment pour les charpentes et la menuiserie, ne doit pas être oublié. C’est pourquoi le programme de reconquête contribue également au développement de la sylviculture du châtaignier dans les Monts d’Ardèche (6000 ha).

Pendant l’hiver 2012-2013, plus d’une cinquantaine de castanéïculteurs a déjà bénéficié de l’aide à l’élagage et 2000 châtaigniers ont été entretenus. Ces travaux d’élagage sont toujours soutenus pour la campagne 2013-2014, et les débroussaillages et abattages sont désormais éligibles sous réserve de la réalisation d’un diagnostic préalable. Le Parc prend en charge 50% du coût de ces travaux.

A noter que cette année, ces aides aux travaux de rénovation s’ouvrent aux propriétaires non agriculteurs. Ils peuvent aussi bénéficier d’un diagnostic gratuit et individualisé de leurs parcelles. Les conditions d’accès à ce programme sont disponibles auprès du Parc.

CONTACTS au Parc
(04 75 36 38 60) :

Camille Demené (châtaigniers fruits): cdemene@pnrma.fr

A l’heure des galettes

photo_galette_2014-jpgphoto2132-jpgLes aînés ruraux de Saint-Etienne, club des Genets d’Or, ainsi que l’association de gym La Boulognette viennent de marquer le début de l’année avec une traditionnelle galette des rois.

Leurs membres se sont ainsi réunis dans une bonne ambiance pour bien débuter 2014 sans perdre les habitudes de convivialité.

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Le Préau à l’ordre du jour

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Les travaux d’aménagement du bureau coopératif Le Préau se terminent, et il entrera en fonctionnement fin février au plus tard.

Ces locaux, aménagés par la commune de Saint-Etienne-de-Boulogne au village seront loués à une association regroupant cinq travailleurs indépendants qui partageront et installeront leur activité dans ce bureau.

Installés jusqu’à présent chez eux, ils cherchaient un espace qui leur permette de sortir leur activité de leur domicile, sans pour autant louer chacun un bureau individuel. Il n’était pas question non plus pour eux de faire construire un local neuf, alors que chacun travaille seul. Le partage d’un bureau commun s’est imposé. C’est un mode de travail collectif qui se développe, venu des pays anglo-saxons sous le nom de “co-working”‘, littéralement “travaillant ensemble”.

Un mode de travail innovant

Innovant, ce nouveau mode de travail permet de mutualiser les charges immobilières, mais aussi des frais comme la reprographie, les fluides (électricité, eau, abonnement téléphonique, serveur informatique par exemple).

C’est justement le caractère innovant de ce projet qui lui a permis de bénéficier de subventions conséquentes, au taux maximum autorisé, de la part de la Communauté de communes de la Roche de Gourdon, du Département, de la Région et de l’Union Européenne. Le projet a même été sélectionné dans le cadre d’un appel à projet sur les espaces de télétravail lancé par la Délégation interministérielle à l’Aménagement du Territoire et à l’Attractivité Régionale (DATAR) Massif-Central.

Les partenaires du projet en visite

Afin de faire le point sur l’avancée du dossier, de rencontrer les travailleurs indépendants qui vont intégrer cet espace de travail, les représentants de ces structures, mais aussi du Pays de l’Ardèche Méridionale, de la coopérative d’activité Pollen-Scop, du SIVU des Inforoutes de l’Ardèche, du Parc Naturel Régional, entre autres, se sont retrouvés à Saint-Etienne.

Accueillis par deux membres de l’association Le Préau, et par la commune, ils ont pu le temps d’une après-midi échanger sur le projet, et évoquer la possibilité de créer d’autres espaces similaires dans d’autres communes.

Une réflexion collective fructueuse qui permet déjà de préciser les pistes pour la reproduction d’une telle expérience ailleurs. C’est d’ailleurs bien à ce titre que le projet a pu bénéficier de crédits européens via la DATAR, de sorte qu’il constitue une affaire financièrement blanche pour la commune.

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Salon du livre, pleine réussite pour la vingtième édition

img_4645-jpgLe salon du livre ancien et régional se tenait à Saint-Etienne-de-Boulogne le 9 mars. Après avoir eu lieu à Aubenas, à Vals-les-Bains, il se déroule maintenant au pied de l’Escrinet, où il est organisé par Dominique Manent et Patrick Carle, gérants de librairies anciennes à Coux et Saint-Etienne-de-Boulogne.

Cette vingtième édition a été une pleine réussite. Près d’une dizaine d’exposants se sont retrouvés avec des stands présentant des pièces rares et de grande qualité, le plus souvent consacrées au Vivarais ou plus généralement au Languedoc.

De quoi satisfaire le public exigeant qui s’est déplacé à la recherche d’ouvrages parfois exceptionnels, ou d’archives rares.

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La cour de l’école fermée

photo2227_reduit-jpgPour faciliter le passage de la cour de l’école à celle du Préau et de la Bibliothèque, la barrière en place a été changée et remplacée par un portail. Les enfants pourront ainsi aller plus facilement à la bibliothèque.

La cour de la bibliothèque a aussi été recouverte de terreau et semée d’herbe afin de rendre les lieux plus accueillants.

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Les bornes incendie vérifiées

Chaque année, les services d’incendie et de secours passent sur la commune pour vérifier le bon fonctionnement des bornes incendie.

La conformité du branchement et son état, mais aussi le débit de l’eau et sa pression sont contrôlés pour les douze bornes que compte la commune.

A l’issue de cette vérification, elles ont toutes été déclarées fonctionnelles, et seront donc maintenues sur l’atlas cartographique qui figure dans chaque véhicule incendie.

Les trois nouvelles bornes posées à l’automne avaient déjà fait l’objet d’une vérification lors de leur mise en service en janvier.
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Le Azuli Duo ravit son public

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Le Duo Azuli s’est produit à la salle polyvalente de Saint-Etienne pour le plus grand plaisir du public présent malgré le très mauvais temps.

Un homme, une femme, quelques rares instruments, et une soirée en chants, sons et rythmes. De la musique corporelle à laquelle les spectateurs sont aussi conviés à participer, donnant du rythme à une belle prestation.

Comment un vieux bidon et des verres deviennent instruments de musique et de jonglerie, comment le corps humain peut résonner et bruiter, comment l’ensemble dégage tour à tour mélancolie ou envie de danser, comment l’ensemble débouche sur une soirée de plaisir.

Une belle prestation pour Eglantine Rivière et Barth Russo qui présentent un spectacle complet, pour une soirée d’évasion pour un public conquis.

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Si vous les avez raté à Saint-Etienne :

Vendredi 7 novembre à 21 h

Au P’tit Bistrot à St Montan : Le Village 07220 Saint-Montan

Entrée 8 euros ! gratuit pour les enfants

Résa : 04 75 00 15 79

Dimanche 9 novembre à 17 h

Au théâtre du Fenouillet : 535 Chemin du Fenouillet – 26160 SAINT GERVAIS SUR ROUBION

Tarif 10 euros

Résa : 04 75 53 84 74

Mardi 11 novembre à 17 h

Au Mas d’Andenas : 07220 Viviers

Prix libre

Résa : 04 75 52 69 94

Extension de la durée de validité des cartes d’identité

_ Certains habitants venus en mairie afin de faire renouveler leur pièce d’identité ont eu la surprise de découvrir que la durée de validité des cartes d’identité est passée de 10 à 15 ans pour les personnes majeures uniquement et ce, depuis le 1er janvier 2014.

L’allongement de 5 ans pour les cartes d’identité concerne :

* les nouvelles cartes délivrées à partir du 1er janvier 2014 (date d’entrée en vigueur),

* les cartes d’identité délivrées depuis le 2 janvier 2004.

Si votre carte a été délivrée après le 02 janvier 2004, la prolongation de 5 ans de la validité de votre carte est automatique. Elle ne nécessite aucune démarche particulière. La date de validité de votre carte d’identité ne sera de toute façon pas modifiée. Elle sera donc valable jusqu’en 2019 pour une délivrance en 2004.

Certains magasins ou organismes n’ont apparemment pas eu cette information et risquent de vous faire remarquer qu’elle est périmée… Ce n’est pas le cas.

Par ailleurs, de façon à éviter tout désagrément durant votre voyage, vérifier les documents de voyage requis dans les différents pays. Il est d’ailleurs fortement recommandé de privilégier l’utilisation d’un passeport en cours de validité à une carte d’identité portant une date de validité dépassée (même si elle est considérée par les autorités françaises comme étant en cours de validité).

Pour plus d’informations : www.diplomatie.gouv.fr et www.interieur.gouv.fr

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“Full naan party” à l’auberge

wp_20150404_005-jpgIl y avait affluence à l’auberge l’Arbre à pain où plus de 70 personnes se sont déplacées à l’occasion de la soirée “naan” organisée avec Michel Garreau.

Ce dernier, qui habite au village, est spécialisé dans la cuisine indienne (restaurant ambulant Nepal Food). Il vient d’investir dans un four à naan, qui lui permet de réaliser ces spécialités indiennes. Il a donc décidé d’en faire profiter les villageois qui ont ainsi pu découvrir ces pains et leur garniture.

Une belle réussite dans une très bonne ambiance, pour une soirée festive qui s’est poursuivie jusqu’à une heure avancée de la nuit.

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Une souscription pour Pramailhet

La chapelle Notre-Dame de Pramailhet est un lieu bien connu, et le pèlerinage qui s’y déroule chaque année y contribue grandement. Mais cette chapelle, dont les murs ont été rénovés en 2002, suivi de travaux sur les vitraux en 2006 puis que le campanile en 2012 a encore besoin de travaux.

En effet la toiture qui a été refaite en 1984 a été réalisée avec des tuiles anciennes de type “marseillaises” qui, c’est de notoriété publique, sont très fragiles. Si la charpente est encore en bon été, il n’est plus possible aujourd’hui d’éviter les gouttières sans changer la totalité des tuiles et sans refaire la zinguerie. Un chantier conséquent estimé à près de 30 000 €, montant qui sera affiné par une consultation en bonne et due forme selon les prescriptions du Code des Marchés Publics.

C’est une charge importante pour la commune qui ne peut aujourd’hui mobiliser aucune subvention sur ce projet dans le contexte de baisse des dotations financières. C’est pourquoi, comme lors de la rénovation des vitraux financée par la paroisse, une souscription vient d’être lancée par le diocèse afin d’accompagner ses travaux.

Organisée en accord entre la mairie et le père Michel Martin, cette souscription ouvrant droit à une défiscalisation des dons permettra aux fidèles mais aussi aux amoureux du lieu, de contribuer à son entretien. En effet, sans cette aide, la commune ne serait pas en mesure de prendre en charge seule cette dépense.

Renseignements et dons : contacter

Calligraphie ou l’art de bien écrire

_ Dans la cadre de la Semaine Bleue en octobre, un atelier de calligraphie avait eu lieu à Saint-Etienne. Les personnes alors présentes avaient souhaité renouveler l’expérience, tandis que des absents avaient manifesté leur intérêt. L’expérience a donc été renouvelée avec un autre atelier de calligraphie de type médiéval, toujours mené par Colette Dubreuil.

C’est dans une ambiance amicale et non moins studieuse que quatre apprenties calligraphes ont pris la plume pour tracer des lettres avec précision, après avoir choisi un style de lettres qui lui convenait (onciale, caroline, gothique…), ainsi que la taille adéquate de la plume, et la couleur de l’encre.

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La patience et le calme sont les maîtres-mots. Lettre après lettre, ligne après ligne, sous les conseils, les encouragements et les félicitations de Colette, la gestuelle s’apprivoise.

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C’est un travail de longue haleine et de persévérance.

Rendez-vous l’an prochain pour une nouvelle séance.

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Un repas des jeunes réussi

Près de 140 personnes ont pris part au repas des Jeunes de Boulogne organisé samedi 6 janvier.

Une belle réussite qui a permis de se retrouver dans une très bonne ambiance autour d’un excellent coq au vin, qui fut aussi… abondant !

Merci aux jeunes pour l’organisation de cette soirée qui s’est prolongée en musique jusque tard dans la nuit.
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Les hostilités sont ouvertes au bar.
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Des cuisiniers de talent s’affairent en cuisine. Merci à Julien qui a piloté ce gros travail.wp_20160206_009-jpg
L’équipe rassemblée

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Zone de l’Escrinet : une nouvelle entreprise s’installe

La zone d’activité intercommunale de l’Escrinet voit arriver une nouvelle entreprise. Les travaux de construction du bâtiment viennent de démarrer le 7 novembre.

Il s’agit de M. Mermier, ébéniste, qui déplace son activité à Saint-Etienne-de-Boulogne.

L’occasion pour lui de se réorienter sur un nouveau créneau. Après la création de meubles anciens, il s’oriente maintenant vers les créations contemporaines et vers de l’agencement intérieur. D’expliquer que son choix de venir à Saint-Etienne-de-Boulogne est lié à la qualité de la zone, dédiée à l’artisanat, pas isolée mais pas non plus perdue dans une grande zone commerciale sans cachet.

Les travaux qui débutent maintenant se poursuivront jusqu’à l’été 2017 et seront suivis immédiatement du démarrage d’activité sur les lieux.zaec_ebeniste-jpg

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Les logements d’Auzon terminés

Depuis un an, les travaux d’aménagement de logements locatifs que la commune réalise dans des ruines acquises au hameau d’Auzon battaient leur plein. Ils sont terminés et la réception du chantier a eu lieu.

La commission municipale des travaux accompagnée des entreprises et de l’architecte, Fabrice Burtheret, a ainsi fait le tour des logements afin de constater le parfait achèvement des travaux.

-Pourquoi ces travaux ?

Le centre du hameau d’Auzon était totalement en ruines. La commune a engagé il y a quelques années une procédure d’abandon manifeste à l’encontre des propriétaires de ces ruines, et les a donc expropriés après qu’ils aient fait connaître leur refus de faire eux-mêmes des travaux. Ce choix a été fait pour des raisons de sécurité et de salubrité sur les ruines les plus dégradées alors.

-Les travaux ont consisté en quoi ?

Ceux qui connaissent les lieux savent que ces deux logements étaient en ruine totale, mais qu’il présentaient un caractère architectural intéressant. L’ensemble a aussi été traité en sauvegardant au mieux le caractère architectural de ces vieilles pierres datant du XVIIIè siècle.

Un soin particulier a été apporté à la performance énergétique de ces logements afin qu’ils puissent répondre aux meilleurs impératifs en vigueur actuellement : isolation renforcée, pose de panneaux solaires en toiture, VMC double-flux, chauffage au bois granulés et par le sol.

-Pourquoi des logements locatifs conventionnés ?

À ce jour, la demande de logements locatifs est forte sur la commune, et la municipalité a souhaité répondre à son niveau aux préoccupations générales en matière de politique du logement.

Aujourd’hui, plus de 60 % des ardéchois ont accès au logement conventionné, et nous avons donc décidé de conventionner ces logements avec l’Etat, comme les quatre autres appartements que la commune possède (à la cure et au-dessus de la Mairie).

Ces logements ont fait l’objet du même type de conventionnement que les autres logements communaux situés sur la place (au-dessus de la mairie et à l’ancienne cure). Ils sont donc destinés au même profil de locataires. Des locataires qui ont d’ailleurs été choisis par la commission d’attribution prévue par la réglementation et qui vont prochainement entrer dans les lieux.

-Et d’un point de vue financier ?

Après plusieurs années de procédure, lancée étant donné la vétusté de lieux qui menaçait la sécurité, la commune est devenue propriétaire des parcelles par expropriation. Avec le soutien de la Région, du Département, du Pays de l’Ardèche Méridionale et de la Communauté de communes, elle a pu investir près de 200 000 € dans cette opération. Un programme financièrement excédentaire qui permettra de proposer à la location de nouveaux logements mais aussi de dégager quelques revenus propres pour la commune.

-Et ensuite ?

Les logements sont terminés, mais leur raccordement électrique n’est pas effectif suite à un retard lié au refus d’un voisin de laisser enterrer les réseaux d’alimentation. Ce contretemps est maintenant réglé et les travaux de branchement vont se faire, mais cela aura fait perdre trois mois de location pour la commune. C’est stupide et dommageable pour la collectivité.

Si les travaux des logements eux-mêmes sont terminés, les abords des logements restent encore à traiter, par l’aménagement d’une place publique au cœur du hameau.

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