La commune de Saint-Etienne-de-Boulogne organisait le 28 mai une formation “premiers secours” pour le personnel municipal et l’enseignante de la commune. La formation a aussi été ouverte dans la limite des places disponibles aux gérants de l’auberge l’Arbre à pain et aux membres des associations.
Ont ainsi été abordés la mise en sécurité des victimes, la prise en charge des étouffements, des hémorragies ou encore des accidents cardiaques. L’usage du défibrillateur a aussi été mis en pratique.
Une formation complète qui a intéressée les participants et qui pourrait être suivie d’une autre sur l’usage des extincteurs.
Merci à Mustapha Saidou pour sa patience et sa pédagogie.
“Je, tu elles” au village.
La prochaine séance de cinéma au village sera consacrée à un film portant sur la place des femmes dans l’agriculture et le monde rural intitulé “Je, tu, elles, femmes en agriculture”. Elle aura lieu le 23 septembre à 20 h 30 à la salle polyvalente en présence de la réalisatrice.
Cathy est chevrière sur la montagne ardèchoise ; Julie s’installe en Drôme ; Monique a vécu la vie à la ferme au sein de sa belle famille et est maintenant retraitée ; Frédérique s’est installée seule avec deux jeunes enfants ; Claire s’est battue pour obtenir son statut d’exploitante agricole ; Guillaine se demande si elle peut s’installer seule en élevage ; toutes vivent leur activité d’agricultrice au sein d’un territoire rural où leur place de femme les questionne régulièrement.
Accompagnées par les CIVAM, elles et douze autres femmes agricultrices de la Drôme et de l’Ardèche s’autorisent durant l’hiver à faire un pas de côté ; prendre un peu de recul par rapport à leur quotidien et se poser certaines questions, plus ou moins confortables, parfois bien plus bouleversantes qu’elles n’y paraissent…
Cette aventure est à la fois une réflexion collective via la recherche action, et une introspection individuelle d’un groupe de femmes qui se questionnent, qui avancent, qui se rencontrent.
Le film retrace le projet dans ses différentes étapes, sa méthodologie et son approche innovante: ce sont les femmes participantes qui, elles-mêmes, définissent le contenu des entretiens qu’elles partent réaliser auprès de 44 autres femmes.
Entre paires, elles interrogent leurs parcours, leurs réalisations, leurs difficultés et parfois leurs combats, pour se réaliser dans ce métier.
Éclairé par la caméra d’Aurélia Étienne, ce film part à la rencontre de ces femmes et présente quelques résultats de l’étude réalisée tout au long de ce projet. Ce film de 38 minutes vous propose un regard dynamique sur l’agriculture au féminin et peut servir de support pour animer des débats sur la place des femmes en agriculture auprès de publics divers (Ex: Lycées, médiathèques, centres culturels, cafés associatifs, centres de formation agricoles, …).
Teaser Je, tu, elles par aureliaetienne
A la production : Les CIVAM de Drôme et d’Ardèche
Les Centres d’Initiatives pour Valoriser l’Agriculture et le Milieu rural (CIVAM) sont des groupes d’agriculteurs et de ruraux qui, par l’information, l’échange et la dynamique collective, innovent sur des territoires pour des campagnes vivantes et solidaires.
Avec le concours de la région Rhône-Alpes, les CIVAM de la Drôme et de l’Ardèche ont animé le projet « Place des Femmes en Agriculture » et produit ce film.
A la réalisation : Aurélia Étienne
Agronome de formation, Aurélia a travaillé auprès d’associations de paysans et de ruraux en France et à l’étranger.
Elle a réalisé 3 films documentaires depuis 2007.
2007: « Chemins de développement, rencontres et non-rencontres », un film co-réalisé avec Nicolas Bordier, tourné au Pérou et qui propose une réflexion sur les programmes de coopération au développement agricole.
2011: “Je suis là”, retrace sa rencontre avec René Chautard, paysan ardéchois de 99 ans ; lui est fasciné par ses voyages, elle par son ancrage.
2015: “Je, tu, elles… Femmes en Agriculture”.
L’occitan à l’honneur
Durant l’été, la commune de Saint-Etienne-de-Boulogne a posé des panneaux d’entrée de village en occitan. Une installation complétée par une conférence qui vient d’avoir lieu le 9 décembre.
Bernard Salques est revenu le temps d’une soirée sur les origines de l’occitan, sur sa géographie, sur son évolution actuelle. Mais il a aussi très utilement rappelé ce qu’est une langue, comment elle naît et évolue en permanence, en lien des mouvements de populations et des influences multiples. Il a aussi fortement insisté sur l’absurdité qu’il y a à vouloir figer la langue dans une “pureté” imaginaire, comme à la régler par la Loi.
Autant de principes généraux déclinés à la naissance et à l’évolution de l’occitan, passant du statut de langue culturelle élaborée du Midi de la France actuelle à celui de langue régionale déprécié sous la domination linguistique française.
Enfin, Denis Capian, responsable de l’Institut d’Études Occitanes pour l’Ardèche a présente de nombreux ouvrages ainsi qu’une exposition sur la toponymie.
Les renforcements électriques sont engagés
Les travaux de renforcement électrique du centre du hameau d’Auzon se terminent le 13 mars. Rendus nécessaires par l’aménagement de deux logements de plus, ils ont été conduits et financés par le Syndicat Départemental d’Énergies de l’Ardèche pour le compte de la commune.
Ce renforcement a donné l’occasion d’enfouir la ligne qui dessert le centre du hameau, améliorant ainsi la vue.
Une opération retardée par un riverain s’opposant aux travaux, mais qui se termine et qui permettra dans les prochains jours d’alimenter les nouveaux appartements, et donc aux locataires d’emménager.
D’autres travaux de renforcement ont été planifiés au Mas de Chevalier, ou à l’Escrinet. Par contre, les mesures d’affaiblissement réalisées dans le secteur du Moulin Artige n’ont pas démontré la nécessité d’y réaliser le renforcement, un temps envisagé.
Colette Levine, peintre de La Conchy
_ Née à Paris, où elle vit, Colette travaille majoritairement dans son atelier parisien, mais elle passe quelques séjours dans sa maison en Ardèche où elle s’inspire des paysages, des lumières, ou des visages de Saint Etienne de Boulogne.
Après des études artistiques chez André Lhote (Montparnasse, 1954) puis chez Yves Hersent (La Grande Chaumière, 1956) et enfin chez Robert Lesbounit (Place des Vosges, 1960) elle entame une recherche autour du corps et de sa lumière.
Puis elle aborde le paysage et la nature dans une facture plus ouverte, plus colorée où les frontières entre le figuratif et l’abstraction disparaissent, laissant la couleur et le trait s’exprimer de façon plus éclatée. Elle utilise plusieurs techniques : fusain, sanguine, pastel, huile.
On la sollicite pour de nombreuses expositions en France et à l’Etranger ; et ses toiles demeurent en permanence dans plusieurs galeries.
Exposition d’une vingtaine de ses tableaux en mairie toute la semaine du 07 au 11 août 2017 inclus.
http://www.colette-levine.com/index.html
Débroussaillage et châtaignes à La Conchy
Les habitants de La Conchy se sont retrouvés pour une matinée débroussaillement des chemins autour du hameau. En particulier, ils sont intervenus sur le chemin des Richards à Maumalle ouvert l’année dernière.
Une intervention citoyenne qui permettra aux promeneurs de découvrir de nouveaux secteurs de balade.
La matinée s’est terminée par une sympathique castagnade sur la place du hameau.
L’inventaire général du patrimoine de la commune
En 2009, la communauté de communes de la Roche de Gourdon, les communes qui la composent, et le Parc naturel régional des Monts d’Ardèche ont réalisé un inventaire général du patrimoine.
Plus de 500 fiches recensant les éléments de patrimoine ont été dressées sur la commune de Saint-Etienne-de-Boulogne. A ce jour, elles ne sont pas encore consultables sur internet, mais la conversion de la base de donnée pour la rendre accessible en ligne est en cours.
Une première synthèse sur le patrimoine de la commune a été rédigée à l’issue du travail par Céline Chambon, archéologue qui a été chargée du travail.
Voir la première synthèse
Inscriptions au car scolaire : pensez à anticiper…
Afin de gérer au mieux les effectifs en matière de transports scolaires pour la rentrée 2013, il est INDISPENSABLE que les parents inscrivent leurs enfants dès le début du mois de juin.
Le service en ligne du Conseil Général permettant cette inscription ouvre le 4 juin.
Il est très difficile de prévoir le nombre de places nécessaire quand certains enfants ne sont pas encore inscrits au jour de la rentrée. De même, il n’est pas possible de savoir s’il est nécessaire de prévoir un renfort de service par voitures particulières en ce qui concerne le transport entre Saint-Etienne et Saint-Michel dans le cadre du RPI.
Alors, ayez le bon geste : inscrivez vous à l’avance sur le site internet http://www.ardeche.fr rubrique transports/scolaires-inscription en ligne, ou en cliquant sur les liens ci-dessous :
Elections européennes de 2009
Abstention : 51.53%
- RIVASI Michèle (EELV), 21.05%
- LOUIS Patrick (DVD), 18.05%
- GROSSETETE Françoise (UMP), 18.05%
- PEILLON Vincent (PS), 12.78 %
- JENNAR Raoul (extr. gauche), 9.02 %
- VERGIAT Marie-Christine (Front de gauche), 6.77 %
- BENNAHMIAS Jean-Luc (MODEM), 5.26 %
- LALANNE Francis, 3.76 %
- LE PEN Jean-Marie (FN), 3.01 %
- ARTHAUD Nathalie (LO), 1.50 %
- ESPINOSA Victor Hugo, 0.75 %
- VITAL Annie, 0.00 %
- HAMEL Dominique, 0.00 %
- BARIOL Philippe, 0.00 %
- AUTRON Jacques, 0.00 %
- RICERCHI Christophe, 0.00 %
- DUFRENEY Daniel, 0.00 %
- VIANES Michèle, 0.00 %
- GARINO Christian 0.00 %
- MEDEVILLE Jérôme, 0.00 %
- HAUVIN Matthieu, 0.00 %
Une nouvelle déchetterie plus pratique
Les déchets encombrants ne doivent pas être déposés dans les poubelles, mais dans les bennes de la communauté de communes de la Roche de Gourdon mises à disposition deux fois par an au village, ou apportées en déchetterie.
Jusqu’à présent, la déchetterie la plus proche de Saint-Etienne-de-Boulogne était celle de Labégude. Souvent saturée, elle est maintenant doublée par celle de Saint-Etienne-de-Fontbellon qui ouvre le 1er juillet.
Facilement accessible depuis la commune par la nouvelle déviation d’Aubenas, elle sera ouverte du lundi au samedi de 9 h à 11 h 45 et de 14 h à 17 h 15.
Elle accepte quasiment tous les types de déchets des particuliers, qui sont recyclés à 80 % (alors que s’ils sont jetés dans les poubelles classiques, ils ne peuvent être recyclés).
Comment y accéder :
Prendre la déviation d’Aubenas, puis continuer en direction d’Alès. Environ 500 m après le début de la déviation, sortir comme pour aller au supermarché Leclerc. La suite est fléchée. C’est simple.
Aménagements sur la place d’Auriolles
Depuis plusieurs années, la commune aménage progressivement les emplacements des poubelles collectives le long des routes et des hameaux. Cela permet de correctement délimiter l’espace des conteneurs, de les cacher partiellement à la vue, et de les empêcher de rouler ou de basculer avec le vent.
Un travail réalisé progressivement en fonction des disponibilités du cantonnier, avec des palissades en bois traité à l’huile de lin. Il a débuté par les points de collecte situés sur des pentes (Auzon), ou au bord des routes (Le Pradal, Les Taupenas, La Conchy), pour des raisons de sécurité évidentes. Avant que ces encadrements soient posés, combien de fois les poubelles ont été ramassées au milieu de la route, poussées par le vent ! L’aménagement se poursuit maintenant dans les autres secteurs, dont Auriolles.
C’est ainsi que le cantonnier vient de couler une dalle qui permettra aux bacs de mieux rouler, et qu’il monte un entourage en bois pour dissimuler les conteneurs.
Après Auriolles, ce sera au tour des bacs de La Lauze d’être traités.
Au soin des ponts
Chaque année le cantonnier se transforme en peintre pour conserver en bon état barrières et garde-corps des ponts. Un labeur de plusieurs jours pour couvrir l’ensemble des partiesà repeindre.
L’occasion aussi de resceller divers barrières éprouvées par des véhicules dont le plus souvent les conducteurs omettent de laisser leurs coordonnées. Il serait pourtant si simple de faire une déclaration d’assurance, mais pourtant, la facture et le travail de réparation restent à la charge de la collectivité !
Démonstration de tri de châtaignes
Dans le cadre de la “Quinzaine de la Bio”, une opération à l’initiative de la Chambres d’Agriculture et des associations de producteurs bio a eu lieu à Saint-Etienne. Daniel Vernol et Frédéric Pontal, qui ont accueilli les visiteurs sur leurs exploitations, ont présenté le matériel dont ils disposent pour trier leurs châtaignes et la façon dont ils s’organisent pour ce travail.
Les châtaignes n’étant pas encore tombées, c’est la coopérative Vivacoop qui a prêté quelques sacs de Précoces des Vans pour les besoins de la démonstration.
Un tri de qualité est essentiel pour bien valoriser ses châtaignes auprès des grossistes et coopératives (mais aussi en vente directe). Les petits “trucs” de Frédéric et Daniel auront certainement donné des idées à certains pour rendre ce travail le plus efficace et le moins pénible possible, de retour sur leur exploitation.
La demi-journée a été complétée par une intervention sur la conservation des châtaignes de Hélina Deplaude, technicienne de la chambre d’agriculture.
Au total, 17 personnes y ont participé.
En hommage aux combattants de 14-18
Une quarantaine de personne ont pris part à la commémoration de l’Armistice du 11 novembre 1918 devant le monument aux morts de Saint-Etienne-de-Boulogne.
Le Maire a d’abord rappelé les sacrifices consentis par les poilus durant quatre années, avant de s’interroger sur le sens de cette guerre qui n’a nullement apporté la paix en Europe, les nationalismes les plus extrêmes se libérant presque immédiatement.
Allocution prononcée en la mémoire des anciens combattants de 14-18 et en l’honneur de la paix.
Après cette cérémonie, la municipalité a convié l’assistance à la salle polyvalente pour visionner le film “L’Afrique dans les tranchées, l’étrange aventure”, qui traite de l’enrôlement des troupes coloniales d’Afrique et de leur intervention dans le Premier conflit mondial. Un documentaire très instructif qui traite de tous les aspects de cette question au travers d’une série d’entretiens, mais qui sait aussi employer le juste ton humain.
La matinée s’est terminée par un verre de l’amitié partagé entre les participants.
Un peu de civisme ne ferait pas de mal !
Certains, heureusement rares, sont prompts à souligner tel ou tel manquement ou retard dans l’exécution de travaux de voirie, parfois à juste titre, mais le plus souvent sans chercher à comprendre le pourquoi de la situation. Qu’un fossé ne soit pas curé, que des pierres tombent d’un mur de soutènement, et rapidement ils se plaignent qu’ils paient des impôts et que pourtant les travaux ne sont pas faits.
Mais que se passe-t-il quand c’est l’inverse ? Quand quelqu’un porte atteinte à un bien public ? Chaque citoyen étant responsable, il vient immédiatement en mairie se signaler et propose de régler la note ou de faire le nécessaire pour remettre les choses en état, c’est bien connu ! Ne rêvons pas, cela arrive, mais c’est rare : le plus souvent les personnes concernées, dans un grand élan de civisme, imaginent que le bien public n’est à personne, ce qui est collectif n’ayant pas de propriétaire, cela aussi, c’est bien connu !
C’est sans doute ce que s’est dit le conducteur du camion qui a accroché le parapet du pont des Gouzis, au point de le démolir sur plusieurs mètres… Le tout sans laisser d’adresse ! Et étant donné les dommages, il est inimaginable qu’il ne se soit aperçu de rien.
Pas vu pas pris, et ne restera que le montant des travaux pour le Département ! Quelques milliers d’euros qui auraient pu être pris en charge par une assurance, mais qui pèseront sur les budgets publics et qui ne seront pas employés pour faire des travaux d’amélioration ou d’entretien du réseau, autrement plus utiles à la collectivité.
Pour une meilleure sécurité des réseaux d’eau
Les trois principaux réservoirs d’eau potable, à Auriolles, Auzon et aux Blaches, ont fait l’objet de travaux il y a quelques semaines pour changer leurs portes.
Vétustes et fermant mal, elles ont été remplacées par des portes en acier neuve. Seule celle du Pradal, plus récente, a été conservée car encore en bon état.
La sécurité de l’approvisionnement en eau s’en trouve ainsi renforcée puisque les chambres de vannes sont maintenant complètement fermées à clef.
Tout acte de malveillance est donc plus difficile à accomplir.
Au bon soin des objets historiques
Depuis la loi de séparation de l’Église et de l’État de 1905, les bâtiments de culte antérieurs à cette date, de même que tous les objets alors inventoriés, ainsi que les archives paroissiales appartiennent à la collectivité, État ou Communes selon les cas.
Afin de veiller sur ce patrimoine, l’État désigne un Conservateur des Antiquités et Objets d’Art pour chaque département. Agissant sous l’autorité du Préfet, il est rattaché au Ministère de la Culture. (en savoir plus sur les Conservateurs des Antiquités et Objets d’Art.
Rencontre amicale de pétanque
Mardi 19 février, le club de pétanque Les joyeux pétanqueurs livronnais (Livron – 26) ont reçu les membres de La Boulogne afin de se préparer pour la coupe de France des clubs. 14 membres ont fait le déplacement, dont trois filles. Les deux présidents Sebastien Goulard et Luc Pellat ont eu envie de s’allier pour se préparer, au lieu de se mettre en concurrence, ce qui change des mentalités habituelles.
Une rencontre que La Boulogne a remportée avec 7 parties gagnées sur 10, mais certains des meilleurs joueurs de Livron étaient absents…
Pour finir, Les Joyeux pétanqueurs Livronnais les ont fait profiter leurs invités de leur infrastructure et d’un casse croute en fin de rencontre.
La partie retour se fera à Saint-Etienne-de-Boulogne courant Juin.
Mais d’ici là, mettant à profit le nouvel esprit interclub qui se développe suite à cette rencontre, le 9 mars aura lieu au Pouzin un marathon triplette féminin, auquel Pauline Estrade et Aurore Goulard participeront avec Corinne Ravel, de Livron.
L’Arbre à pain à l’heure indienne
Michel Garreau, Mélanie Bancel, stagiaire à l’auberge, et Thierry Malinski
Il y avait affluence pour le repas indien préparé par Michel Garreau, du restaurant ambulant ”Nepal food”, qui a officié pour l’occasion à l’Auberge communale l’Arbre à pain.
Un festival de saveurs exotiques pour ce menu végétarien surprenant : pakoras, riz au curry, chutney à la pomme; papadama, ladou, burfi, srikand, et autres curry bengali. Riz et légumes apprêtés aux épices, dessert au safran, galettes de farine de lentille par exemple. Le tout arrosé d’un tchai épicé de cardamome, clou de girofle et gingembre.
De multiples plats et sauces qui ont ravi les quarante convives.
Michel Garreau
Michel Garreau possède une expérience de la cuisine indienne de plus de 30 ans. Il enseigne et pratique la cuisine indienne depuis l’âge de 20 ans. Son expérience s’est enrichie à travers de nombreux voyages sur le continent indien.
Gérant de “L’Arbre à Souhaits” en 1987 à Paris (au forum des halls) puis de “La route des Indes” en Ariège. Depuis 1987 il enseigne la cuisine indienne à Paris, en Ariège et en région Toulousaine puis dans le Var (Carnoules).
Il exerce aussi une activité de restauration ambulante sur les spectacles, festivals, foires et grands évènements.
Il est maintenant installé à Saint-Etienne, au Village.
Mademoiselle Patraque expose à la mairie
Après Ingrid Meyer, Jipi, Guy Chambon puis Denis Sauvage, “Mademoiselle Patraque” expose à la mairie durant tout le mois de mai.
“Mademoiselle Patraque”, alias Elodie Latchimy, est une jeune artiste-peintre-illustratrice Drômoise, autodidacte, à la recherche de rêveries, de poésie et de lumière dans ses gribouillages picturaux. Grande adepte des nocturnes picturales et verveine citronnée avant d’aller se coucher, Mademoiselle Patraque est en général une “Insomniaque sous la lune Gibbeuse” qui collectionne l’inspiration dans sa boîte à idée.
Mademoiselle Patraque c’est aussi cette artiste réunionnaise qui n’oublie pas d’où elle vient, et qui garde le doux souvenir de son île comme la plus précieuse source d’inspiration qui n’est jamais été donnée, en se rappelant de sa nature foisonnante, jeune et multiple, de sa population mélangée, métissée et de ses paysages grandioses et mystiques à la fois.
Et c’est donc tout naturellement, après un parcours artistique que Mademoiselle Patraque devient en 2011 Artiste-Peintre-illustratrice, et décide à ce moment là de se consacrer à sa peinture et à ses illustrations.
Cliquez sur l’image pour voir le site de Mademoiselle Patraque.